La Fédération nationale vient de publier la liste définitive des 66 noms de joueurs et joueuse qui participeront aux championnats nationaux. A l'inverse de l’édition 2020, le plateau réunira ce qui se fait de mieux.
Cette fois, la Fédération Malagasy de golf a confirmé la liste des participants aux championnats nationaux pro qui se dérouleront les mardi 14, mercredi 15 et dimanche 19 décembre.
A noter qu’ils sont 66 messieurs et une dame qui disputeront le titre pro au championnat de Madagascar. Les quatre clubs sont représentés dans cette course pour le titre à savoir, le Golf du Rova, Galaxy Golf, Malaza, et Antsirabe. La bataille sera rude car chez les messieurs, Roalahy Emmanuel, champion en 2019, figure dans la liste. Sans oublier Ramarozatovo Jean Baptiste, tenant du titre 2020, qui sera bel et bien présent sur le green d’Andakana. La crème de la discipline avec notamment le seul joueur malagasy, actuel membre du PGA professionnel, Johary Raveloarison (DTN), sera aussi en lice. Tandis que Narraina Billy du Golf de Foulpointe, membre du « Professionnal Golf Association », vainqueur à l’île Maurice et ayant plusieurs titres et Faber Maverick, multiple champion de Madagascar, figurent aussi parmi les engagés dans l’épreuve pro qui débutera ce jour.
Apre bataille car déjà après l’aménagement du Golf du Rova Andakana, aucun golfeur ne connait le secret du parcours récemment dessiné notamment sur les index, les difficultés dont les obstacles en font partie.
Mais aussi après avoir réalisé un strokeplay de 36 trous « Cut », seulement la moitié des golfeurs inscrits, autrement dit les meilleurs 35 au classement disputeront les prochaines étapes après ledit «Cut ».
Elias Fanomezantsoa
La situation se dégrade. Des femmes malagasy qui travaillent comme domestiques dans les pays arabes, notamment le Koweït et l’Arabie Saoudite, vivent un calvaire au quotidien. Selon les informations recueillies auprès de l’association « Zanak’i Gasikara », une femme domestique a récemment perdu la vie en Arabie Saoudite. Après plusieurs mois de maladie, elle a été évacuée d’urgence par la Police à l’hôpital mais les soins fournis n’ont pas pu la sauver. Le rapatriement du corps de la victime aurait dû se faire le 6 décembre dernier, mais en vain. D’un autre côté, 180 travailleuses migrantes de nationalité malagasy sont actuellement emprisonnées au Koweït, contre 100 en Arabie Saoudite. Cinq autres femmes sont également détenues à Oman. Aux dernières nouvelles, 8 femmes malagasy viennent aussi d’être arrêtées par la Police saoudienne, faute de papiers. « Ces femmes n’ont commis aucune infraction mais ont été saisies par les autorités faute de papiers en règle. En voulant informer de leur situation ou dénoncer les cas de maltraitance aux responsables malagasy dans ces pays arabes, les travailleuses migrantes sont menacées », rapporte la présidente de ladite association.
Appels de détresse
L’association « Zanak’i Gasikara » a reçu des vidéos filmées secrètement par les femmes malagasy, montrant leur calvaire, outre les appels de détresse de leurs familles. Certaines d’entre elles sont devenues folles, d’autres malades. Elles dénoncent également l’indifférence des ambassades de Madagascar dans leurs pays d’accueil. Puisque les pays arabes veulent rapatrier tous les domestiques sans papiers, ils ont accepté de prendre en charge les billets d’avion de ces femmes malagasy. La compagnie aérienne Ethiopian Airlines a d’ailleurs été sollicitée pour ce faire. Cependant, aucune autorisation d’atterrissage sur le sol malagasy n’est accordée jusqu’ici. Pour sa part, Koweït a affrété un avion spécial pour le rapatriement de ces femmes. Mais cela n’a pas pu se faire, faute d’autorisation spéciale. « Nous sollicitons la collaboration avec le ministère des Affaires étrangères pour faciliter le rapatriement de ces femmes en détresse. Leur sort risque de s’aggraver dans les pays arabes, d’autant plus que bon nombre d’entre elles sont à la fin de leur contrat, outre celles qui sont déjà des sans papiers », implore la première responsable de ladite association. Notons que les cartes consulaires, en possession de ces travailleuses migrantes, ne sont pas reconnues dans ces pays arabes. Affaire à suivre !
Recueillis par E.F.
Après la billetterie, le Golf international du Rova à Andakana ouvre les inscriptions, pour les compétitions en pro senior hommes et amateur hommes, dames et junior mixte qui se dérouleront sur le parcours d’Andakana, et seront clôturées ce 14 décembre à midi. A la dernière info 111 amateurs et une soixantaine de pros ont déjà confirmé leur engagement.
Jeudi dernier, les images de cette petite albinos de 12 ans dont il n’y avait plus que deux trous béants à la place des yeux car volés par des assassins à Betroka, mais qui a heureusement survécu à ces amputations inhumaines, a fait la manche des quotidiens du pays. L’acte du ou des suspects a été dicté par une croyance abjecte, barbare, voire simplement criminelle. Malgré pourtant le triste sort réservé à l’enfant, il y a pourtant un espoir afin de trouver la lumière sur ce drame. Car la Gendarmerie aurait déjà appréhendé un suspect.
Rien ne va plus ! A plusieurs reprises, les usagers des transports en commun, plus précisément les taxis-be exerçant dans les zones urbaines et suburbaines, se sont plaints des comportements barbares des chauffeurs et leurs aides. Outre le changement des itinéraires, l’abandon des voyageurs à mi-parcours, l’augmentation des tarifs, ils insultent les passagers et se montrent intouchables. Dernièrement, en raison de cette anarchie dans le domaine des transports en commun, une étudiante a été dépouillée de toutes ses affaires par des voyous. La jeune fille a été abandonnée à mi-chemin par un bus de la ligne 172, alors qu’il faisait déjà tard dans la soirée et la pluie tombait abondamment.
Tout le monde plaide non coupable ! Jusque-là, tous les préjugés coupables de l’affaire « Apollo 21 », la tentative de coup d’Etat principalement d’atteinte à la vie de quelques hauts dirigeants du pays dont le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, se dédouanent d’une manière ou d’une autre. Durant le procès, toute la semaine passée, du lundi à vendredi, de Paul Rafanoharana en tandem avec Philipe Marc François à Ramahatra Victor en passant par Randriazanakolona dit Sareraka, on ne se donne pas le moindre souci d’écarter d’un revers de la main à l’accusation de vouloir attenter à la vie du Président de la République Rajoelina. Le procès reprendra ce jour, gageons qu’on aura encore droit au même refrain. Mais qui est donc le coupable, le vrai ?
Depuis plus d’une semaine, les abonnées de la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA) dans les quatre coins d’Antananarivo subissent des coupures à répétition. Effectivement, la JIRAMA rencontre de nouveau des problèmes en termes d’approvisionnement en électricité. Selon les explications du directeur général par intérim de la compagnie, Rivo Radanielina, la JIRAMA est obligée d’opérer à un délestage ces derniers jours pour des raisons techniques.
Dans le cadre de la 12ème édition du Mois de la Photo et du festival « Sar'Nao », en collaboration avec l'ambassade d'Espagne à Pretoria (Afrique du Sud) , le Consulat honoraire d'Espagne à Madagascar, l'ambassade de France à Madagascar à travers le Service de coopération et d'action culturelle (SCAC), la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) à travers la Direction des arts, culture et vie communautaire (DACVC), convie le public à découvrir l'exposition photographique « Fotciencia 17 » qui se tiendra jusqu'au 17 décembre dans le hall de la Mairie de la CUA.
« Votre droit, votre défi : dites non à la corruption ». Ce fut sous ce thème universel que Madagascar a célébré la journée internationale de lutte contre la corruption le 9 décembre. Un thème que le directeur général du BIANCO, Laza Andrianirina, n’a pas manqué de mettre en avant dans un discours pour l’occasion. Il a particulièrement insisté sur l’éducation de la jeune génération à laquelle son organe s’attèle pour cultiver le refus de la corruption et qui s’inscrit dans le processus de prévention. Sur cette lancée, il souligne les dispositifs en place pour éradiquer le népotisme et l’inégalité dans le recrutement des agents publics, à cela s’ajoute la digitalisation de l’administration.