Publié dans Sport

Stade Barea - Des pourparlers entre les autorités malagasy, la CAF et la FIFA en cours

Publié le dimanche, 29 août 2021


Des pourparlers entre les autorités malagasy, la CAF et la FIFA sont en cours, d'après le ministre de la Jeunesse et des Sports. En effet, une lettre a été envoyée aux instances du football pour demander de « reconsidérer l'interdiction d'accès des spectateurs pour le match Madagascar # Bénin du jeudi 2 septembre », révèle Hawel Mamod'Ali. Et ce, afin d'obtenir une « exception comme pour certains matchs », rajoute-t-il.
Les autorités insistent sur la possibilité d’une exception pour le match entre les Barea et les Ecureuils du Bénin et ce avec la présence du public.
En effet, celles-ci tentent une démarche auprès desdites instances du football pour le match à huis clos décidé par la Confédération africaine de football (CAF) entre Madagascar et le Bénin pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 le 2 septembre.
Toujours d’après le ministre de la Jeunesse et des Sports Hawel Mamod’Ali, « les autorités compétentes ont écrit une lettre à la CAF et à la Fédération internationale de football association (FIFA) pour que celles-ci reconsidèrent leur position, lors d’une conférence de presse ce samedi à Mahamasina. La lettre plaide pour une exception « comme c’est le cas de certains matchs ». Il évoque, entre autres, la rencontre entre les Barea et les Eléphants ivoiriens à Toamasina ou encore certaines rencontres en Afrique pour soutenir la possibilité d’une rencontre assistée par les spectateurs.
Rappelons que les organisateurs avaient misé sur la présence de 20 000 personnes pour le double événement. La distribution des tickets a commencé samedi dernier. Et certaines personnes sont venues à Mahamasina dès vendredi soir pour pouvoir obtenir le ticket d’entrée. L’espoir de pouvoir infléchir la CAF et sa décision d’un match à huis clos est perceptible chez les gens autour du stade rénové.
Recueillis par E.F

Fil infos

  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs
  • Perquisitions abusives et musclées - Les Forces de l’ordre invoquent la sûreté de l’Etat
  • RN7 en chantier  - Le calvaire jusqu’à la fin des pluies
  • A défaut d’armes et d’argent cachés - Pillage et vandalisme à Mantasoa
  • Lutte contre la corruption - L’ENMG plaide pour une transmission rapide des preuves
  • Groupe Sodiat - Des comptes réduits à zéro

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff