Publié dans Sport

Stade Barea - Les Barea assisteront à l’inauguration officielle

Publié le vendredi, 03 septembre 2021

Le départ des Barea retardé. Prévus partir le soir même après le match contre le Bénin (0-1), les Barea de Madagascar s’envoleront pour la Tanzanie cet après-midi afin de disputer leur deuxième journée de la qualification Mondial de Qatar 2022. Ils assisteront à l’inauguration officielle du stade Barea, indique Eric Rabesandratana.

 

L’équipe nationale malagasy a dû s’envoler pour la Tanzanie dès la fin du match face au Bénin, jeudi, ont pourtant indiqué des sources autorisées au sein de la Fédération malagasy de football (FMF). « L'objectif étant d’éviter les éventuelles mauvaises surprises », avaient-elles expliqué. Mais ce ne sera finalement pas le cas, à en croire les propos d’Eric Rabesandratana.

La participation des Barea à l’inauguration du stade à leur nom n’est que logique, estime le sélectionneur malagasy.  "Ce n’est ni politique ni sportif", affirme le sélectionneur, tout en soulignant que "les Barea sont concernés par l’inauguration du stade".

 La présence des Barea à cette inauguration n’aura aucun impact sur la performance de l’équipe. "Ce n’est pas bien grave", estime le coach. « L’équipe ne jouera que mardi et les joueurs pourront récupérer ce vendredi », avançait Eric Rabesandratana.

Le déplacement en Tanzanie est déjà décisif. Les Barea sont déjà dos au mur dans le groupe J après leur défaite de jeudi contre les Ecureuils du Bénin (0-1). Madagascar pointe à la dernière place du groupe J avec aucun point, juste derrière la RDC et la Tanzanie qui ont chacun un point, et le Bénin, premier du groupe, avec trois points.

Les Malagasy n’auront pas droit à l’erreur à Dar-Es-Salaam. Une défaite en Tanzanie mettra Madagascar dans une situation cruciale. Seul le premier du groupe, à l’issue des six journées, participera aux play-offs pour désigner les cinq représentants africains à la Coupe du monde 2022.

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Entre deux bourdes
    Etre le fils d’une ancienne « célébrité politique » et tenter d’exhiber le nom de son père, d’une part, s’aventurer à devenir le premier magistrat de la ville des Mille, de l’autre, relèvent de deux erreurs voire deux bourdes. Entre ces deux erreurs grossières, il faut savoir en profiter pour se frayer le chemin de la victoire. Trois candidats parmi les sept en lice pour conquérir le fauteuil de l’Hôtel de ville d’Antananarivo tentent de « vendre » le nom de leurs pères. Point n’est plus besoin de les citer nommément, on les connait. Ils ont un point commun, aucun d’entre eux n’a eu ou effectué un rôle électif ou une responsabilité quelconque à Antananarivo. Leurs pères respectifs ont été déjà d’une manière ou d’une autre responsables soit étant élus ou étant nommés à Antananarivo-Ville, président du Fivondronampokontany, député ou maire ou au-delà Premier ministre, Chef d’Etat.

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