Publié dans Sport

Mondial 2022 - Pas de répit pour les Barea

Publié le vendredi, 08 octobre 2021


Eric Rabesandratana et son équipe ont rallié Antananarivo où ils attendent de pied ferme les Léopards. En effet, Malagasy et Congolais s’affronteront de nouveau pour le compte de la 4è journée des éliminatoires du mondial, ce dimanche au stade Barea Mahamasina.
Pas de séance sur terrain pour les Barea, ce vendredi. Le staff annonce une session d'entraînement en salle pour "ceux qui n'ont pas joué ou ont peu joué à Kinshasa".
Les Barea  ont pris un vol immédiatement après le match  à Kinshasa. Et ils ont débarqué à l'aéroport d’Ivato, hier matin. Rabesandratana et ses hommes ont pris leur quartier au Novotel Alarobia.
A le comprendre, Rabesandratana fait certainement allusion aux arbitres qui, selon lui, seraient du côté de l’équipe nationale congolaise.
Le sélectionneur malagasy Eric Rabesandratana n’était pas content de l’arbitrage du match de Madagascar contre la RDC. Il accuse le juge central Dungula Antonio Caluasi d’avoir pris des décisions contre son équipe.
Le pénalty sifflé en faveur de la RDC et celui non sifflé pour Madagascar sont les principales décisions contestées par Eric Rabesandratana. Le coach malagasy a décrié l’arbitrage durant la rencontre. Selon lui, les décisions de Dungula Antonio Caluasi seraient à l’origine de la défaite des Barea.
« Ça n’a pas marché surtout à un premier et gros paramètre, ce que c’est difficile de jouer à 14 contre 11 parce que l’arbitrage a été très catastrophique. Mon équipe est en progression, en transition par rapport à l’année dernière. Mais aujourd’hui, on a fait un très bon match. Sauf qu’on ne peut pas lutter contre ça. Les arbitres qui prennent des décisions complément douteuses, vraiment, je suis désolé. Je n’ai jamais eu cette excuse mais pour aujourd’hui, je ne sais pas faire autrement », a laissé entendre le coach Eric Rabesandratana.
E.F

Fil infos

  • Actu-brèves
  • Réunion de l’OMC nationale à la Primature - Sécurité et stabilité au menu
  • Tentative de dissolution de la Fédération - Le football malgache en danger
  • Université d'Antsiranana - La paix restaurée
  • Sahara Marocain au Conseil de sécurité l’ONU - Victoire du Maroc et consécration de l’initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine
  • Vie de la Nation - Madagascar, cobaye des politiciens
  • Perquisition au groupe Sodiat Talatamaty - Pillage et razzia sur des véhicules
  • Actu-brèves
  • Gouvernement - Un ministère d’Etat chargé de la Refondation de la République
  • Ministres de la Refondation - Deux mois pour faire leurs preuves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

A bout portant

AutoDiff