Publié dans Sport

Karaté – Jeux des îles 2023 - Les préparatifs débutent pour les combattants malagasy

Publié le dimanche, 20 février 2022

La barre est placée très haute. La Fédération malagasy de karaté-do (FMKD) est officiellement la première fédération qui débute la préparation de ses athlètes en vue des Jeux des îles de l’océan Indien, 11eme édition, qui aura lieu à Madagascar en 2023. Hier, dimanche, une prise de contact a été organisée par la FMKD avec les techniciens et les athlètes présélectionnés en vue de déterminer la liste des sociétaires de l’équipe nationale pour cette joute indianocéanique. Une manière de faire taire les détracteurs de l’équipe fédérale. 

« Moi et mon équipe, nous n’avons qu’un seul objectif. Celui de développer le karaté à Madagascar. Les débats devront être orientés sur la question, comment gagner la première place durant les Jeux des îles à Madagascar  », avance Solofo Andrianavomanana, président de la fédération. « Et cela demande beaucoup d’efforts et de travail en équipe », ajoute-t-il.

Notre interlocuteur a affirmé que la discipline karaté figure parmi celles porteuses de médaille pour le pays durant ces jeux. Le karaté fera tout son possible pour garder sa place parmi les meilleurs, comme autrefois.

Rappelons que la FMKD a récemment reçu une lettre d’attestation de la part de la fédération internationale et le comité olympique malagasy qu’elle est l’unique fédération reconnue à diriger le karaté à Madagascar.

Malgré les crises sanitaires, la FMKD n’a cessé de s’activer à travers plusieurs activités et assurer d’organiser des compétitions nationales. Cela a permis aux techniciens d’établir une liste de présélection de l’équipe nationale. Hormis les combattants de la ligue d’Analamanga, d’autres combattants originaires des Régions ont aussi assisté à cette prise de contact. Après cela, les athlètes ont débuté leur premier regroupement d’entrainement.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Entre deux bourdes
    Etre le fils d’une ancienne « célébrité politique » et tenter d’exhiber le nom de son père, d’une part, s’aventurer à devenir le premier magistrat de la ville des Mille, de l’autre, relèvent de deux erreurs voire deux bourdes. Entre ces deux erreurs grossières, il faut savoir en profiter pour se frayer le chemin de la victoire. Trois candidats parmi les sept en lice pour conquérir le fauteuil de l’Hôtel de ville d’Antananarivo tentent de « vendre » le nom de leurs pères. Point n’est plus besoin de les citer nommément, on les connait. Ils ont un point commun, aucun d’entre eux n’a eu ou effectué un rôle électif ou une responsabilité quelconque à Antananarivo. Leurs pères respectifs ont été déjà d’une manière ou d’une autre responsables soit étant élus ou étant nommés à Antananarivo-Ville, président du Fivondronampokontany, député ou maire ou au-delà Premier ministre, Chef d’Etat.

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