Société

Une opératrice en cash point a été la cible des braqueurs, juste au moment où elle se trouvait à mi-chemin menant vers son lieu de travail à Ivato, vers 7h du matin hier. Les agresseurs, au nombre de deux, selon l'employeur de la jeune femme, ont alors attaqué celle-ci par surprise tout en lui appliquant du piment sur les yeux. Affolée et aveuglée par la douleur, la victime a lâché prise, abandonnant, malgré elle, le sac qu'elle transportait sur elle et qui contenait de l'argent liquide et des téléphones appartenant à l'employeur ! Mais les cris de la jeune femme…

Antananarivo - Les embouteillages s’intensifient

Publié le lundi, 01 décembre 2025
Hier, plusieurs quartiers d’Antananarivo ont connu de gros embouteillages. Ankorondrano, Marais Masay, Ankorahotra, Andraharo, Andravoahangy ainsi que d’autres zones ont été particulièrement touchées. La pluie qui sévit depuis plusieurs jours a rendu les routes difficiles à circuler. « Il nous a fallu deux heures pour aller d’Amboditsiry à Marais Masay », raconte Faniry, une mère de famille qui habite à Amboditsiry. Cette dernière explique que les routes goudronnées sont abîmées, les nids-de-poule s’agrandissent et les canaux sont bouchés par les déchets. « L’eau stagne partout et ça bloque la circulation », ajoute-t-elle. Les piétons cherchent aussi à s’abriter de la…
Le VIH se propage en silence ! Les chiffres en disent long, non seulement au niveau national mais aussi dans les différentes Régions. Pour Antananarivo, le réseau Mad’Aids enregistre 25 à 30 nouveaux cas positifs par mois dans ses zones d’intervention, à savoir le premier, le 3ème et le 6ème Arrondissement. Autrement dit, ils détectent une nouvelle personne séropositive par jour, rien que dans la Capitale. Ces nouvelles personnes porteuses du VIH (PVVIH) sont moyennement âgées entre 18 et 25 ans, à en croire Etienne Razafindratiana, responsable psycho-sociale dudit réseau. D’ailleurs, la ministre de la Santé publique, Dr Monira Managna,…
Nul n'est épargné des agressions de bandits à Toamasina, touristes notamment. Et même des gens du secteur du transport de cette ville portuaire de l'Est sont maintenant impliqués dans le vol et les agressions. C'est ce qui s'est produit hier ou deux hauts passagers visiblement distingués du paquebot Luminara Valetta se sont fait agresser et dévaliser au moment où ils ont voulu effectuer une tour de ville, en prenant, chacun, un cyclopousse.
Randriamiafara Mathieu Itokiana, un petit garçon de 4 ans, se bat depuis plusieurs mois contre un cancer du sang diagnostiqué à un stade avancé. « Tout a débuté au mois de juin dernier. Une tuméfaction au niveau du cou de Mathieu nous a alertés. Nous avons consulté un médecin. Un premier traitement avait permis d’atténuer momentanément les douleurs. Mais une semaine plus tard, l’état de l’enfant s’est brusquement aggravé avec des douleurs abdominales intenses et incessantes. Il a subi une opération d'invagination intestinale. Un ganglion avait été retiré dans son abdomen », raconte Razanadrakoto Nirintsoa, sa mère.
« Les matières scientifiques enregistrent de nombreux débouchés de nos jours, avec l’évolution des technologies. Pour ma part, je souhaite faire carrière dans la science, notamment en tant que développeur web, expert en informatique ou chercheur. Raison pour laquelle j’ai choisi la série scientifique pour le baccalauréat ». Andrianina R., lycéenne au sein d’un établissement de la Capitale, nous l’a confié. C’était lors de la « Journée scientifique - La science en action » qui s’est tenue le 28 novembre dernier à l’Alliance française de Tananarive (AFT).
Le procès tant attendu dans l’affaire de l’empoisonnement collectif d’Ambohimalaza, survenue en juin dernier, n’aura finalement pas lieu dans l’immédiat. Prévue pour se tenir dans les prochains jours, l’audience a été reportée à une date ultérieure, prolongeant ainsi l’angoisse et l’impatience des familles endeuillées. Pour rappel, ce drame avait endeuillé 34 convives sur un total de 50, victimes d’un empoisonnement particulièrement meurtrier lors d’une réception dont les circonstances demeurent troubles. Actuellement, quatre suspects restent placés sous mandat de dépôt et devront poursuivre leur détention pour une durée indéterminée. Ce renvoi du procès découle d’une décision de la ministre de la…

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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