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La société “Genius Technology Company” (GTC) a été inaugurée officiellement, hier. Il s’agit du prestataire chargé du déploiement de la puce électronique aux bovidés. Lantosoa Rakotomalala ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (MICA), Augustin Andriamananoro, le directeur général des projets présidentiels (DGPP) et Andry Ratsivahiny, députés d’Atsimondrano ont assisté à l’évènement à Avarabohitra Itaosy. Il s’agit avant tout de la réalisation de la promesse présidentielle durant sa campagne électorale dans le renforcement de la lutte contre le vol des bovidés.

Obligatoire. Tsimialonjafy, Ambanin’Ampamarinana, Ankadilalana, Ambatovinaky et Amparibe ainsi que Tsarafaritra Tsimbazaza, sont actuellement classés zones à 80% de risque d’éboulements rocheux et de glissement de terrain à Antananarivo. Selon Raholinarivo Paolo Emilio Solonavalona, directeur des études et de la gestion des risques auprès du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), plus de 400 toits occupés par près de 2 000 personnes doivent immédiatement déménager de ces zones rouges.

Rupture avec les mauvaises pratiques du passé. Tel est l'un des caractères distinctifs du régime sous la présidence d'Andry Rajoelina. Les régimes successifs ayant été à la tête du pays ont chacun eu des faiblesses qui ont conduit directement ou indirectement à leur chute. Aujourd'hui, le Président Andry Rajoelina a le mérite de vouloir apporter des révolutions dans le mode de gouvernance du pays. En effet, il est l'un des rares dirigeants qui ont osé rompre avec les mauvaises pratiques politiques du passé.

Le processus entrant dans la réalisation de la route reliant la ville d’Antananarivo à la nouvelle ville de Tana-Masoandro Imerintsiatosika (VROT) est en bonne voie. Un appel à manifestation d’intérêt international a été lancé le 9 février dernier pour la sélection des entreprises qui vont accompagner le Gouvernement de Madagascar pour le financement, la conception et la construction de ladite route. Le Conseil des ministres a adopté ledit appel à manifestation d’intérêt la semaine dernière. L’avis d’appel d’offres est ouvert jusqu’au 10 mars prochain.

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LA UNE DU 12 FEVRIER 2021

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La une du 11 février 2021


Le drapeau rouge, signe d’un danger imminent dans la zone habitée, est hissé du côté de la Haute-Ville. Selon Jeannot Ranaivojaona, président du Fokontany d’Ambanin’Ampamarinana, sept familles enregistrées dans sa zone d’intervention se trouvent actuellement sous le menace d’éboulements rocheux et de glissement de terrain. « Environ une trentaine de maisons sont hautement exposées à la menace. Mais avec le temps, des occupants se sont installés ailleurs. Par contre, il reste encore sept familles qui n’ont pas déménagé à défaut de logement », a expliqué ce président. Et d’ajouter que six autres familles victimes du drame lié à l’éboulement meurtrier survenu le 3 février 2019 sont actuellement accueillies au CEBA, Isotry.
« Heureusement, même avec le temps pluvieux persistant depuis quelques jours, nous n’avons pas rencontré d’importantes difficultés. Il faut savoir qu’en décembre dernier, avec des dizaines de familles, nous nous sommes préparés à travers une formation axée sur le système d’évacuation, la nutrition et l’application des mesures de sécurité sanitaires face à la Covid-19. A cela s’ajoutent les actions de sensibilisation et la mise à disposition, en cas de besoin, d’un site d’hébergement installé au sein de l’Institut national de formation professionnelle, situé à Mahamasina », a poursuivi Jeannot Ranaivojaona.
Ce jour, une délégation sous l’égide du Bureau national de la gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) et du ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la Femme, accompagnés par la Préfecture d’Antananarivo ainsi que d’autres acteurs engagés dans la prévention des dangers au niveau de ces zones, a effectué une descente sur terrain. Pour la énième fois, il s’agissait d’une occasion pour les hauts responsables de déterminer les actions de prévention liées à ce problème de glissement de terrain.
Rappelons que l’année 2019 a été meurtrière dans la partie de Tsimialonjafy, Ambanin’Ampamarinana et ses environs. Les autorités ont déjà procédé à l’évacuation des habitants. Cependant, cette fois-ci et pour diverses raisons, entre autres le problème de logement, cette opération demeure jusqu’à présent une mission impossible.
K.R.

J-50. « Analamanga Park » rouvrira à partir du 2 avril prochain, après quelques mois de travaux de rénovation totale. L’inauguration de ce complexe de détente et de loisirs appartenant à la Région d’Analamanga sera marquée par un festival de 4 jours, clôturé par un grand spectacle avec divers artistes à l’affiche, le lundi de Pâques du 5 avril. Près de deux- tiers des travaux sont actuellement entrepris. La première phase, comprenant la réhabilitation en pavé des ruelles dans l’enceinte du parc, la réhabilitation des 20 bungalows, l’approvisionnement en eau potable ou encore la reconstruction d’une petite piscine et de celle chauffante, est actuellement achevée. A cela s’ajoutent le restaurant et la salle de remise en forme ou le sauna. « Pour la phase II du projet, la construction d’un petit Coliseum, pouvant accueillir des spectacles et festivités, du terrain synthétique, du boulodrome, fait partie des travaux à achever d’ici mars. L’aménagement d’une aire de jeux pour enfants et de la canalisation d’eau, sans oublier le renforcement des branchements électriques, constitue également des chantiers prioritaires », avance Michel Rabetokotany, directeur des Infrastructures et du Développement (DID) auprès de la Région d’Analamanga.
Pour la promotion du tourisme local   
Le portail d’entrée de la Capitale depuis le Sud. « Analamanga Park » se situe à 30 km de la ville d’Antananarivo, plus précisément dans la Commune d’Ambalavao Atsimondrano. Après quelques années de fermeture suite à la vétusté et la destruction de ses infrastructures, ce complexe pourra bientôt accueillir de nouveau les associations, les institutions, les partis ou encore les familles, les amis et toutes les personnes en quête de détente, de loisirs et de pique-nique. La réouverture de ce parc constitue une stèle pour la Région d’Analamanga, laquelle a alloué un investissement conséquent pour réaliser les travaux de rénovation ainsi que pour la construction de nouvelles infrastructures. « A travers ce site, nous avons comme ambition de promouvoir le tourisme local, avec les multiples activités proposées aux visiteurs », affirme Hery Rasoamaromaka, gouverneur de la Région d’Analamanga. « L’accès au parc se fera à un tarif abordable, à déterminer avec le futur gérant », ajoute-t-il. Notons que l’appel à manifestation d’intérêt pour la gestion du parc sera lancé prochainement.
Patricia Ramavonirina


Voici les propos du Juvence Fabiency Ramasy dans sa thèse de doctorat en science politique présentée et soutenue le 26 mai 2010 à l’université de Toulouse I Capitole : « Après une tentative avortée de coup d’Etat en décembre 1974 sur l’initiative du colonel Bréchard Rajoanarison, et d’une demande de l’opposition, c’est-à-dire le Parti socialiste malgache (PSM), le Mouvement national pour l’indépendance de Madagascar (MONIMA), et le Mpitolona ho an’ny fandrosoan’i Madagasikara - Parti pour le progrès de Madagascar- anciennement parti pour le pouvoir prolétarien (MFM), réclamant l’instauration d’un gouvernement de coalisation, le Général Gabriel Ramanantsoa transmettait tous ses pouvoirs au profit du colonel de gendarmerie Richard Ratsimandrava, le 5 février 1975. Ce dernier fut assassiné par des éléments du Groupe mobile de police (GMP) quelques jours plus tard, soit le 11 février dans des circonstances qui restent encore non élucidées. »
Pleins pouvoirs
Beaucoup ont en effet tenté d’apporter un éclairage incontestable sur ce premier et dernier assassinat politique d’un Chef d’Etat à Madagascar sans y parvenir avec exactitude. A lire un écrit du Professeur Solofo Randrianja (2014), directeur de recherche à l’Institut d’études politiques à Madagascar, enseignant-chercheur à l’université de Toamasina et un membre du jury de Ramasy, le tragique événement s’accomplit dans le cadre de la politisation et de l’affaiblissement de l’institution militaire :
« Les militaires reprennent pratiques et artifices juridiques de la Première République après avoir capté à leur profit les bénéfices des mouvements de rue de 1972 et ceux du soulèvement paysan de 1971, contestation de la légitimité du précédent régime. Ceux-ci, pour rappel, militaient pour plus de démocratie. La transition vers la Seconde République tout comme le ‘recouvrement’ de l’indépendance, ne furent qu’une suite de manipulations des institutions sur le dos des citoyens, complices ou amorphes. La notion de ‘pleins pouvoirs’ fait son apparition à la chute de la Première République lorsque Tsiranana, le Président déchu, les confie à son chef d’Etat-major militaire. Mais ces pleins pouvoirs, les a-t-il jamais eus ? Aucun juriste n’est capable de les définir jusqu’à maintenant alors qu’ils reviennent épisodiquement lors des transitions et autres prises de pouvoir extra constitutionnelles. Ces fameux ‘pleins pouvoirs’, lorsqu’ils s’accompagnent de la déchéance des élus et de la mise au pas des juges et de l’appareil judiciaire, ne signifient pas autre chose que la mise en place d’une dictature. Même si les élus déchus ont été mal élus et même si l’appareil judiciaire n’a jamais été indépendant. Et toute dictature est toujours source de violence institutionnalisée venant de l’Etat d’abord et violence venant des citoyens qui n’ont que ce moyen pour s’exprimer.
Soldiers in mufti
« Les tensions au sein de l’Armée finissent par aboutir au transfert des ‘pleins pouvoirs’ du Général Ramanantsoa au colonel Ratsimandrava, qui sera le premier Chef d’Etat de l’époque contemporaine à se faire assassiner. En l’absence de toute explication officielle et malgré un ‘procès du siècle’, celle généralement admise plus ou moins implicitement est qu’étant descendant d’esclave, les ancêtres ne pouvaient pas le laisser diriger Madagascar ! Et le 11 février 1975, un quarteron d’officiers supérieurs autoproclamé directoire militaire s’institue à la tête de l’Etat. Le gouvernement formé par le colonel Ratsimandrava, le 5 février 1975, se dissout le 13 juin 1975 non sans avoir ‘élu’ le capitaine de frégate Didier Ratsiraka à la tête d’un Conseil suprême de la révolution, sorti du néant. »
« Les Forces armées vont ainsi se découvrir une vocation politique et devenir des acteurs politiques. Un membre des Forces armées, le colonel Richard Ratsimandrava, se voit attribué le pouvoir le 5 février 1975. A la suite de son assassinat le 11 février 1975, un directoire militaire dirigé par le Général Gilles Andriamahazo et composé de 18 membres fut mis en place. Madagascar se trouva en présence d’un régime militaire, des gouverneurs militaires furent placés à la tête des provinces accentuant ainsi la prétorianisation du système et la permanence des soldiers in mufti au sein de l’appareil d’Etat. Le remplacement du directoire militaire par le Conseil suprême de la révolution le 15 juin 1975 contribua au renforcement de la militarisation avec à sa tête le capitaine de frégate Didier Ratsiraka.
Livre Rouge
« L’entrée dans la République Démocratique de Madagascar se caractérisa par la politisation et l’affaiblissement de l’institution militaire. Afin de neutraliser cette dernière, Didier Ratsiraka en fit des militaires en uniformes (création des Forces armées populaires) en vue de l’application du ‘‘Livre Rouge’’. Si bien qu’il y a un abandon des fonctions classiques de défense du territoire. Dans la poursuite de sa politique, Didier Ratsiraka mettra à l’écart les ‘‘chefs historiques’’, c’est-à-dire ceux ayant occupé des postes de commandement de 1960 à 1975. La clientélisation des nominations et avancements fragilisa de plus en plus l’institution et contribua à une remise en cause de sa forme pyramidale. »
En 2010, Christian Feller et Frédéric Sandron de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) font le constat suivant : « Le 5 février 1975, le Général doit remettre les pouvoirs à un jeune colonel de gendarmerie Richard Ratsimandrava mais, six jours plus tard, celui-ci est assassiné. Pour lui succéder, le directoire militaire, constitué à la tête de l’État, suspend les partis politiques. Le 15 juin 1975, Didier Ratsiraka est élu Chef de l’État, chef du gouvernement et président du conseil suprême de la Révolution. Le 21 décembre, un référendum conduit à l’adoption d’une nouvelle constitution pour la nouvelle République de Madagascar, dont les principes fondateurs sont tirés du ‘Livre Rouge’ et constituent la charte de la ‘révolution socialiste malgache’. »
Loi martiale
En 2017, Mireille Razafindrakoto, François Roubaud et Jean-Michel Wachsberger de l’IRD apportent leur propre version en ces termes : « Ces événements conduisirent à la chute du régime et à un transfert quasi-légaliste du pouvoir. Tsiranana, tout en gardant la présidence de la République, remit les pleins pouvoirs au Général Ramanantsoa, militaire le plus gradé et le plus ancien dans le grade de Général, lequel organisa cinq mois plus tard un référendum par lequel les électeurs le placèrent à la tête de l’État. Ce dernier n’arriva cependant pas à assurer la stabilité politique. Coincé entre les revendications politiques des élites provinciales, sa loyauté envers l’oligarchie économico-politique merina et les pressions aux réformes économiques et politiques des partis maoïstes (MFM et MONIMA), il fut finalement conduit, après la rébellion du GPM (héritier des FRS), à remettre le pouvoir au colonel R. Ratsimandrava en février 1975. Six jours plus tard, ce dernier fut cependant assassiné, sans que les historiens n’aient réussi jusqu’ici à établir formellement qui étaient les commanditaires de ce meurtre. Un directoire militaire fut alors mis en place qui réussit à rétablir l’ordre public en réprimant par les armes la rébellion du GPM et en déclarant la loi martiale. »
Un mot sur le Fokonolona
La redynamisation du Fokonolona est une composante-phare de la politique du défunt colonel Ratsimandrava. Voici le point de vue de ces mêmes auteurs cités plus haut : « Le deuxième volet de la politique de développement visait à réformer les structures rurales. Porté par le colonel R. Ratsimandrava, ministre de l’Intérieur, il avait pour objectif le développement économique reposant sur une forme de décentralisation, en accordant aux communautés rurales traditionnelles (Fokonolona) plus de liberté de choix et d’organisation (en leur accordant notamment le contrôle des terres non cultivées) et en restructurant l’administration de manière ascendante, des cellules de base jusqu’au niveau national. »
Amnistie et hommages
L’article premier de l’ordonnance 75-012-O/D portant amnistie du 15 mai 1975 dispose en ces termes : « A l’exception de l’assassinat, la tentative d’assassinat et la complicité de ces crimes commis sur la personne du co1onel Richard Ratsimandrava et autres, sont amnistiés les faits constituant des fautes disciplinaires, des infractions d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat ainsi que les infractions connexes commis en décembre 1974, janvier et février 1975. »
Le colonel Richard Ratsimandrava sera élevé au grade de Général de brigade à titre posthume le 15 juin 1975.
Depuis 2014, la date du 11 février est déclarée jour de recueillement au même titre que le 29 mars pour la nation tout entière afin de rendre hommage aux gendarmes décédés en activité dans le cadre des services commandés.
Recueillis par M.R.


Alors que l’émission « miara – manonja » ne cesse de se livrer à la désinformation, la presse internationale s’y met également. Dans un article publié dans un journal français en ligne, une journaliste relate le meeting politique déguisé en excursion de l’Opposition, samedi dernier à Imerinkasinina. Lu de plus près, l’article écrit par une correspondante contient plusieurs informations incorrectes et des impertinences.
 «Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à l’appel des organisations de la société civile et de l’Opposition »  peut – on lire dès le début dudit article qui affirme que ce rassemblement visait à dénoncer la hausse du coût de la vie alors que les instigateurs martelaient qu’ils voulaient effectuer une simple excursion et présenter mutuellement des vœux de nouvel an. Le même papier n’hésite pas à faire le rapprochement entre ce rassemblement de l’Opposition et le soit – disant colère qui gagne les rangs du personnel médical et paramédical. Il est dit qu’aucun membre du personnel soignant n’a touché d’indemnités. Une information totalement fausse puisque le leader du syndicat des paramédicaux, Jerisoa Ralibera en personne avait affirmé que seuls 2 000 sur les 16 000 membres de ce corps ont perçu leurs indemnités.
Détournement de faits et omissions volontaires
« (…) quelque 5 000 personnes − militants politiques, députés, mais aussi vendeurs, restaurateurs, garagistes ou fonctionnaires − se sont rassemblées sur la colline de l’Imerinkasinina, (…) tous se disent déçus par la politique du gouvernement et inquiets de la hausse du coût de la vie », rapporte toujours ce journal français dans ses colonnes. La journaliste a néanmoins oublié de préciser l’appartenance politique de ces individus qui constituaient leur dénominateur commun et que les leaders du mouvement avaient même appelé à la rébellion contre le régime. Plus loin, l’article affirme que le rassemblement était le premier de la plate-forme « Miara-Manonja » laquelle regroupe des mouvements de la société civile et des partis politiques.
Sur un passage qui aborde l’inflation provoquant une hausse des prix des produits de première nécessité, le papier affirme que « le riz, qui se vend habituellement 2 000 ariary le kilo (45 centimes d’euros), avoisine maintenant les 4 000 ariary ». La journaliste enfreint ainsi l’une des  règles de base du métier : la précision. En effet, dire que le prix du riz avoisine les 4000 ariary n’est que de la pure exagération lorsqu’on sait que le coût maximal du kilo de riz à Madagascar est de 3000 Ariary. Avec autant de détournement de faits et d’omission volontaire, soit la journaliste auteur de l’article avait des sources peu fiables soit il s’agit d’une velléité de désinformer. Ce qui est bien désolant de la part d’un aussi grand journal qui semble avoir sa place dans le « monde » de la presse française !
La Rédaction



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Editorial

  • L’autre sommet !
     « Un train peut en cacher un autre ! » Au mois d’août prochain, le pays s’apprête à accueillir un autre sommet, celui de la SADC (South African for the Development Community) ou Communauté pour le développement de l’Afrique australe. Madagasikara, de sa situation géographique, fait partie intégrante de l’organisation sous régionale regroupant les Etats de la partie australe de l’Afrique.

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