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Le député Fetra Rakotondrasoa et son confrère José Rakotondrazafy se sont présentés sur le plateau de la télévision nationale publique au cours d’une émission spéciale. Objectif pour l’élu dans la circonscription de Miarinarivo et celui élu dans le District d’Ambatondrazaka : Défendre les actions et le bilan face à des critiques « mensongères » émanant de l’opposition autour de la récente descente du Président de la République Andry Rajoelina dans le District d’Ambatondrazaka. Le député José Rakotondrazafy dit notamment que le Président de la République s’est uniquement borné à constater l’avancement des travaux du stade manara-penitra lors de sa visite. « 90% des travaux sont finis », dit-il. Une manière pour lui de répondre aux affirmations de l’opposition qui soutient que, le Chef de l’Etat a inauguré un stade non encore terminé. Aux allégations de l’opposition qui dit que du riz importé pas cher a été distribué à la population d’Ambatondrazaka dans le cadre du Vatsy Tsinjo, le député José Rakotondrazafy réplique que ce sont des mensonges et que des témoignages prouvent que le riz distribué n’est pas du stock tampon.
Désinformation
Les affirmations de l’opposition selon lesquelles une entreprise de réhabilitation de la RN44 était en cours sous le régime Ravalomanana mais a été stoppée par la crise de 2009, ont également été démenties par le député élu à Ambatondrazaka. Il rappelle que l’entreprise malaisienne ayant obtenu le marché en 2004 est partie bien avant 2009. Sur ce sujet, le député Fetra Rakotondrasoa pointe du doigt une certaine mauvaise foi de l’opposition, faisant en effet remarquer que le Président Ravalomanana est resté sept ans au pouvoir sans parvenir à réhabiliter ladite route. Pour lui, le pouvoir de l’époque avait la possibilité de réhabiliter cette route bien plus tôt, indexant ainsi un manque de volonté politique. Le député José Rakotondrazafy affirme en outre que le budget pour la réhabilitation de l’Ecole primaire publique d’Ambatondrazaka a été inscrit dans la loi de Finances contrairement aux allégations de l’opposition qui soutient que celle-ci a été construite grâce à des financements japonais. « Il existe une volonté manifeste de désinformer », affirme le député élu à Miarinarivo, Fetra Rakotondrasoa, réagissant aux affirmations récentes de l’opposition, particulièrement des députés élus sous les couleurs de l’opposition. « Contrairement aux nombreux dirigeants qui se sont succédé dans le pays, il existe une volonté des actuels dirigeants du pays de faire avancer les choses dans la Région Alaotra Mangoro, de mettre en avant toutes les potentialités de cette Région. La campagne de l’opposition pour jeter le discrédit sur les actions du Gouvernement est normale. Outre l’aspect économique, les actuels dirigeants ont la volonté de changer la pratique politique. Les tenants du pouvoir concrétisent leurs promesses », soutient le parlementaire. Il critique cependant la forme avec laquelle l’opposition critique les actions de l’Exécutif. Selon le député, les critiques de l’opposition s’apparente à du « filam-baniny ».
La rédaction







Après Ambatondrazaka, les députés du « Tiako i Madagasikara » dirigés par Hanitra Razafimanantsoa et consorts ont choisi Fianarantsoa pour faire leur fameux compte rendu à la population. Voulant tenir un rassemblement dans l’enceinte du Magro dans la capitale de la Haute Matsiatra, samedi dernier, ces parlementaires sont finalement rentrés bredouilles. Les lieux ont déjà été quadrillés par des éléments des Forces de l’ordre. En effet, le régime avait toutes ses raisons de se méfier d’une telle manifestation qui prend l’allure d’une déstabilisation plus qu’autre chose. A défaut d’une rencontre au Magro, les parlementaires ont tenu un meeting improvisé et à la hâte dans la rue. Ils n’ont pas manqué de dénoncer une entrave à la démocratie et la liberté d’expression, pourtant, force est de constater que les réelles motivations de cette manifestation ont une fin de déstabilisation.
 Le fait d’associer un soi – disant compte rendu des parlementaires au mouvement du Panorama et du RMDM en dit long sur le caractère purement politique de cette démarche. En témoigne d’ailleurs la présence des ténors du TIM dans la ville de Fianarantsoa. Il ne manquait plus que la présence de l’ex – président, Marc Ravalomanana pour que les conditions d’un meeting politique de l’opposition soient réunies.
Meeting politique déguisé
Quelques jours plus tôt, une délégation dirigée par le secrétaire général du TIM, Riana Randriamasinoro a tenté de déposer une lettre visant à « informer » la Préfecture de Fianarantsoa, sur ce meeting politique déguisé en séance de compte rendu. La délégation n’a finalement pas pu déposer le document en question en l’absence du préfet. Du coup, l’absence d’autorisation ajoute un caractère illégal à ce genre de rassemblement. Vendredi dernier, le SG du TIM avait déjà tenu une réunion avec les partisans de cette formation politique dans le District d’Ambalavao Fianarantsoa. Une tournée qui a été mise sur le compte d’une redynamisation et d’une remobilisation des bases du TIM. Les élus du TIM évoquent un article de la Constitution qui stipule la nécessité pour un élu d’effectuer un compte rendu auprès de ses élus. Pourquoi la députée Hanitra Razafimanantsoa, élue à Antananarivo (Tanà I plus précisément) n’effectue – t – elle alors pas de rapport auprès de ceux qui l’ont élue dans la Capitale ?
Rappelons qu’à Ambatondrazaka, les parlementaires TIM sous la houlette de Fidèle Razara Pierre avaient tenté d’effacer les traces du Président, Andry Rajoelina en effectuant la même manœuvre. Si le rassemblement revêtait réellement un souci de recevabilité envers les électeurs, rien n’explique alors sa tenue juste au lendemain de la visite du Chef de l’Etat.
La Rédaction


L’intersectorialité et la coopération entre les différentes parties prenantes sont les seules garanties d’une meilleure application des lois. Dans le cadre du projet SOS Lemurs, financé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), une trentaine d’officiers et d’officiers supérieurs de la Police judiciaire, de journalistes et de gestionnaires d’aires protégées de la Région de DIANA ont bénéficié la semaine dernière d’un renforcement des capacités sur l’application des lois à travers le système judiciaire, et cela afin de protéger au mieux les ressources naturelles de la Région, plus particulièrement les lémuriens. « Nous formons les parties prenantes afin de les responsabiliser dans les actions de conservation des ressources du pays. En effet, une connaissance plus étendue des enjeux mais surtout du système judiciaire mis en place leur permettra de mieux agir. C’est également une occasion de renforcer la coopération entre ces différents acteurs pour que leurs actions aient plus d’impacts », soutient l’Alliance Voahary Gasy (AVG), membre du consortium du projet SOS Lemurs, en association avec le Groupe d'étude et de recherche sur les primates de Madagascar (GERP), ainsi que les gestionnaires des aires protégées concernées, à savoir l’ONG Service d’appui à la gestion de l’environnement (SAGE) pour l’aire protégée de Montagne des Français, l’ONG Fanamby pour l’aire protégée d’Andrafiamena-Andavakoera et l'Organisme Madagascar National Parks (MNP) pour la réserve spéciale d’Analamerana. « Cette rencontre est bénéfique dans la mesure où la collaboration avec les éléments de la Police judiciaire est renforcée, ce qui va permettre de punir tout individu détruisant nos ressources et le dissuader de recommencer », déclare l'un des participants.  
Outre la partie juridique, des sujets comme la transaction, le transport et la mise en vente des produits saisis, le « Dina » et le Code des aires protégées de Madagascar (COAP) ont été soulevés et débattus entre les participants. Les actions doivent être multipliées, surtout que la situation des lémuriens de Madagascar est particulièrement critique actuellement.
Rova Randria

Confiscation du permis de conduire ou de la carte grise, mise en fourrière des véhicules. Bien que le Président de la République, Andry Rajoelina, ait décrété la fin de l’état d’urgence sanitaire dans le pays, la vigilance est toujours de mise. Certes, Madagascar est déjà hors de danger, mais une éventuelle deuxième vague du coronavirus serait encore possible comme c’est déjà le cas dans les autres pays. Et cette deuxième vague sera encore plus forte qu’auparavant, selon les estimations des experts.

Cependant, bon nombre d’entre les citoyens et notamment les transporteurs dans la zone urbaine et suburbaine baissent la garde. Face à cette situation, une réunion d’urgence s’est tenue la semaine dernière entre les responsables des transports dans la Capitale et l’Agence des transports terrestres (ATT). A l’issue de cette réunion, il a été donc décidé le retour et le renforcement du contrôle routier. Les contrevenants aux règles établies seront sanctionnés à travers la confiscation du permis de conduire et des papiers du véhicule, allant jusqu’à la mise en fourrière de ce dernier. « Aucune tolérance n’est permise à tous ceux qui ne respectent pas les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre le coronavirus dans les transports en commun », avance le responsable.

Depuis ces dernières semaines, l’utilisation des strapontins est devenue un phénomène courant dans les bus, outre les mi-parcours que les usagers ont l’habitude de subir. Effectivement, nombreux « taxis-be » ne travaillent plus au-delà de 18h 30. Pourtant, la plupart des travailleurs dans les entreprises comme les zones franches ne rentrent qu’à des heures tardives. Sur ce, ils n’ont d’autres choix que de se plier aux exigences des chauffeurs et leurs aides, c’est-à-dire l’utilisation des strapontins. Ceux qui osent hausser le ton reçoivent des insultes et sont menacés de descendre du véhicule. « Avec la situation actuelle dans la ville, les consommateurs ne sont plus rois. Les transporteurs ne font qu’abuser de leur pouvoir, notamment à travers le non respect des primus et terminus, sans parler des mi-parcours », avance une mère de famille habitant à Ambohimanarina.

Anatra R.

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La une du 02 novembre 2020

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La une du 31 octobre 2020


Les derniers de la liste. Vu la situation actuelle en France mais aussi en Europe, avec la recrudescence de la pandémie de coronavirus, le Président de la République, Andry Rajoelina a annoncé le dernier vol de rapatriement pour demain. Pour ce dernier vol, Air Madagascar transportera entre 250 à 270 passagers, en provenance de Paris. « Ces chiffres ne sont pas encore précis parce que tout dépendra de l’arrivée de demain, mais surtout de l’exécution du protocole sanitaire mis en place par les autorités malagasy, notamment avec la réalisation des tests PCR à leur arrivée à Ivato. Des personnes pourraient en effet choisir de ne pas débarquer. Dans tous les cas, ce qui est sûr c’est que l’avion est rempli », explique un responsable au niveau de la compagnie aérienne nationale, hier, contacté au téléphone. Il faut noter que la suspension des vols est une mesure de sécurité afin que Madagascar ne subisse une seconde vague de la pandémie de coronavirus. Notre compagnie aérienne se retrouvera de nouveau en difficulté, une fois cette suspension effective, sachant que les activités d'Air Madagascar sont particulièrement limitées depuis la propagation du coronavirus à Madagascar et dans le monde entier.
En tout, la compagnie aura donc transporté entre 2 000 à 2 500 passagers, sur plus d’une quinzaine de vols de rapatriement. Pour rappel, exécutés par Air Madagascar en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères, ces vols ont débuté à partir du mois d’août dernier, suite à la déclaration faite par le Chef de l’Etat, le 9 août dernier pour répondre aux demandes de milliers de ressortissants restés bloqués à l’étranger depuis le début de la crise sanitaire et la suspension de tous les vols commerciaux entrants et sortants du pays. Pour les deux premiers mois, les passagers ont dû se soumettre à des critères de sélection pour définir les personnes prioritaires. Cette sélection a été allégée au fur et à mesure pour permettre à tous les ressortissants de rentrer au pays.   
En tout cas, après ce dernier vol, les frontières aériennes de Madagascar seront de nouveau fermées pour une durée indéterminée, sauf pour l'aéroport de Nosy Be qui continue d’accueillir des touristes en provenance de différents pays, excepté ceux qui sont dans la liste rouge publiée par l’Aviation civile de Madagascar. Une liste qui pourrait changer au vu de l’évolution de la situation sanitaire dans le monde.
Rova Randria


Offrir un environnement adéquat aux élèves malagasy afin qu’ils puissent se concentrer à leurs études et être assidus. Tel est l’objectif du Président de la République du Madagascar, Andry Rajoelina concernant l’éducation. Pour cette année scolaire 2020-2021, 14 établissements « Manarapenitra » composés de 10 écoles primaires publiques ( EPP), à savoir celle de Soamandrakizay, Mahajanga I, Fenoarivo-Atsinanana, Ambilobe, Betafo, Ambositra, Ifanadiana, Farafangana, Toliara et Ambatondrazaka ainsi que 4 lycées, notamment celui de Toliara, Antsiranana, Antananarivo-Atsimondrano et Toamasina  ont officiellement ouvert leurs portes. Chaque établissement peut accueillir en tout 600 élèves et dispose d’une médiathèque équipée, une infirmerie, une cantine avec cuisine, une salle pour le personnel administratif. Les enfants ont déjà ainsi bénéficié de nouveaux kits scolaires, des livres d’apprentissage ainsi que des dictionnaires.
Dans le cadre du « Velirano », 1 100 nouvelles salles de classe seront construites sur tout le territoire national, dont 4 salles équipées par District - soit 476 salles et à la demande des élus dans les 119 Districts, 30 EPP à 12 salles, 8 Collège d’enseignement général (CEG) à 24 salles, 6 Lycées « Manarapenitra » à 12 salles. L’éducation est l’affaire de tous et l’Etat malagasy s’y engage afin de promouvoir son équité et sa qualité. D’ailleurs, la construction de ces infrastructures aux normes à travers le pays témoigne sa volonté et son engagement à offrir une éducation de qualité pour la jeunesse.
En rappel, une somme de 16 milliards d’ariary a été retirée du budget de chaque ministère pour financer le projet « Caisse-école ». Ceci dans l'objectif d'assurer la gratuité de l'éducation et d'alléger ainsi les difficultés subies par les parents d'élèves.
Anatra R.



« Ce matin, j’ai été testé positif au Covid-19. J’ai des légers symptômes, mais je vais bien ». C’est le tweet lancé par le président de la Confédération africaine de football (CAF) hier depuis l’Egypte où il se trouve après un séjour au Maroc. A l’isolement et pour au moins 14 jours, Ahmad affirme avoir informé toutes les personnes qui étaient en contact avec lui de sa situation sanitaire. « Prenez soin de vous et des vôtres », conseille le président de la CAF en guise de conclusion du tweet largement partagé non seulement par les médias mais également par des simples citoyens.
D’après les informations, non encore officielles, il se pourrait que c’est durant son séjour à Casablanca (Maroc) pour assister à la finale de la Coupe de la Confédération que le numéro un du ballon rond africain a contracté ce virus qui fait fureur actuellement en Europe. Injoignable au téléphone hier, c’est une des employées de la CAF qui a confirmé que Ahmad est en consultation. « Il est un peu fatigué mais il n’y a rien à craindre », précise notre interlocutrice.
C’est à son arrivée au Caire mercredi, que le président de la CAF a présenté des symptômes grippaux. Il s’est soumis au protocole sanitaire avant de passer le test qui a révélé dans la matinée d’hier sa positivité à la Covid-19.
Mardi dernier, la FIFA, à travers un communiqué, a elle aussi annoncé que le président Infantino est atteint du coronavirus et placé de suite en quarantaine de 10 jours.
Pour rappel, c’est en début de cette de semaine que le président Ahmad a déposé sa candidature à sa propre succession à la tête de la CAF. Elu en 2017, il ambitionne de diriger pour les quatre années à venir l’instance suprême du football africain et ce suite au soutien obtenu auprès de 46 présidents de fédération sur les 54 membres votants. Un soutien massif ressenti comme une douche froide pour ceux qui envisagent de se présenter contre lui au mois de mars prochain au Maroc à l’assemblée générale élective de la CAF. De ces 46 engagements en faveur du président actuel, celui-ci pourrait être le candidat unique à cette élection. Cette issue ne plaît pas à ses détracteurs, dont certaine presse internationale, qui quelques heures seulement après cette annonce de la candidature d’Ahmad, ont fait véhiculer l’information comme quoi, il risque d’une suspension du comité d’éthique de la FIFA. Le but inavoué à travers cette information, qui s’apparente plutôt à un harcèlement, est de pousser les autres candidats à ne pas reculer devant cette défaite plus que certaine. Plus d’un observateur se demande en effet la raison pour laquelle le comité d’éthique de la FIFA n’a pas sanctionné Ahmad depuis, si faute il y a, mais le ferait une fois seulement que ce dernier a annoncé son intention de rempiler pour un second mandat…
La Rédaction

Moins de 100 contaminations dans les prisons. Le directeur général de l’administration pénitentiaire a récemment rapporté une information relatant plus de 80 détenus testés positifs au coronavirus à Madagascar, enregistrés à Toamasina, Arivonimamo et Antanimora. Pour cette dernière prison, le bilan fait état de 12 prisonniers testés positifs sur plus de 600 tests PCR effectués. « Sur ces 12 cas positifs figurent 4 hommes, dont un séropositif. Avec son état, celui-ci s’est affaibli, d’où son évacuation dans un hôpital pour y suivre un traitement adéquat. Il va mieux maintenant, tout comme les autres détenus testés positifs déjà guéris de la Covid-19 », fait part le Dr Holisoa Razafimahefa, médecin traitant au sein de la maison centrale d’Antanimora. « Contrairement aux craintes de la population, l’on peut dire que les risques de propagation de la pandémie dans les prisons ont été maîtrisés. L’isolement pendant 14 jours des nouveaux détenus, notamment ceux considérés comme des cas suspects et ceux testés positifs au coronavirus, a largement contribué à cette maîtrise », indique le Dr Manitra Rakotoarivony, directeur de la Promotion de la santé auprès du ministère de tutelle.
Application stricte des mesures sanitaires
Reprise de la visite des détenus depuis la mi-octobre. Cela a été suspendu depuis plus de 5 mois, avec l’état d’urgence sanitaire. Cette mesure implique l’application stricte, voire le renforcement des mesures sanitaires dans les prisons. Le lavage fréquent des mains, le port de masque obligatoire ou encore la distanciation sociale et le nombre limité des visiteurs en font partie. A cela s’ajoutent la poursuite du contrôle régulier de la température des prisonniers et des agents pénitentiaires, ainsi que la désinfection des cellules de détention et des salles de visite. D’un autre côté, l’isolement des nouveaux détenus reste maintenu, malgré les problèmes d’infrastructures liés à la surpopulation carcérale. « La construction de nouvelles prisons constitue une solution pour améliorer les conditions carcérales et le respect des droits des détenus », suggère notre source.
La prévention et la prise en charge des détenus face à la Covid-19 en milieu carcéral fait partie des thèmes abordés lors du lancement officiel du projet « Lutte contre la détention préventive abusive - Phase II à Madagascar », hier au Carlton, Anosy. Une occasion pour l’Association des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT Madagascar) et les acteurs de discuter en ce qui concerne les rôles des agents de santé dans la maîtrise des risques de propagation de la pandémie dans les prisons, entre autres.
Patricia Ramavonirina


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Editorial

  • Mission délicate
    Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) change de main. Le suspense sur celui ou celle qui va assurer le relais pour succéder à Sahondra Rabenarivo prend fin. Jean Louis Andriamifidy, magistrat de son état, a été nommé président du CSI par le Conseil des ministres du 19 avril. Il va tenir les rênes de cet organisme public ayant la haute charge de veiller à la bonne marche de la Nouvelle stratégie de la lutte contre la corruption à Madagasikara. Sahondra Rabenarivo, juriste de classe internationale, sortante de la célébrissime université privée américaine Harvard (School of law) – Cambridge, a été à la manette pendant 6 années, 2019 - 2025. Arrivée en fin de mandat, Sahondra Rabenarivo quitte la présidence du Comité après avoir milité, à bras-le-corps, contre ce fléau. C’est une citoyenne imprégnée de la conviction sur la nécessité de battre à plate couture la « bête »…

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