Quid de la liberté de presse ! Le monde consacra dans la journée d'hier 3 mai 2019 la célébration de la « Journée internationale de la liberté de la presse ». Mais, quelle liberté s'agit-elle exactement ? La Déclaration Universelle des Droits de l'homme adoptée en Assemblée Générale des Nations Unies en 1948, par 58 Etats à Paris au Palais Chaillot stipule en Préambule, paragraphe 2 : « …les êtres humains seront libres de parler… ». Dans l'Article 1 : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits … », Art 2. 1 : « Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans cette Déclaration …, liberté d'opinion politique, … ». Quelques extraits jetant les bases fondamentales de la liberté d'expression et par extension la liberté de la presse qu'il fallait à juste titre mettre en exergue. Dans cette lutte par le biais de l'IEM contre tous les maux qui sévissent le pays, quelle liberté de la presse entendons-nous ?
Honneur pour les Malagasy ! Vatosoa Rakotondrazafy, coordonnatrice du réseau Mihary a remporté le prix de la conservation marine mercredi dernier à Londres lors du « Whitley awards 2019 ». « Madagascar est reconnu mondialement pour ses mangroves, ses récifs coralliens, ses plages et ses algues marines. Plus de 200000 personnes dépendent des ressources côtières et marines pour leur subsistance. Cependant, ces communautés côtières sont la plupart confrontées à un isolement géographique.
Le terrible accident de camion du Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC) et ayant coûté la vie à des militaires durant la récente journée de la fête du travail à Manakara, retient encore les esprits. Récemment, le nombre des victimes est revu à la hausse car l’on dénombre maintenant 6 morts, contre 5 initialement. Par ailleurs, sur les 29 soldats blessés, 9 ont été sévèrement touchés. Ils ont dû être évacués dans des hôpitaux situés dans deux villes du centre du pays.
C'est parti pour la 6e édition de l'émission de téléréalité « Kopi kolé », réalisée par la chaîne Tv plus Madagascar. Le groupe Sodiat est le principal sponsor officiel de cette émission phare, et ce, depuis la 1ère édition. Une fidélité qui a pour objectif de mettre en avant le partenariat entre les entreprises malagasy. En vue de réaliser la première étape du casting, l'équipe du « Kopi kolé » a quitté la Capitale hier, pour rejoindre la ville d'Antsohihy, puis Ambilobe, Antsiranana, Mahajanga, Toamasina, Fénérive Est et Moramanga.
La septième édition du Dialogue politique entre Madagascar et l'Union européenne, le premier depuis l'accession à la magistrature suprême du Président de la République Andry Rajoelina, a eu lieu hier au Palais d'Etat d'Iavoloha conformément à l'article 8 de l'Accord de Cotonou. La partie européenne a été composée des ambassadeurs de l'UE, de France, d'Allemagne, du Royaume Uni ainsi que des représentants de la Belgique, de l'Espagne et des Pays Bas. Le Président de la République de Madagascar Andry Rajoelina a conduit la partie malagasy composée notamment du Premier ministre, Chef du gouvernement, et de treize ministres ainsi que de hauts cadres de l'Etat. Cette rencontre régulière avec l'UE vise à encourager la compréhension mutuelle ainsi qu'à faciliter la définition des priorités et des principes communs.
Des publications notamment sur les réseaux sociaux semblent attribuer la paternité pour ne pas dire le mérite des projets de reconstruction de certaines routes de la Capitale à la Commune urbaine d'Antananarivo. Une version démentie par des sources qui précisent que la mairie d'Antananarivo n'est qu'un simple bénéficiaire dans ces projets. Il faudrait en effet savoir que la construction de ces routes de la Capitale entre dans le cadre du projet « post-disaster infrastructure reconstruction ».
Qui a peur de l'IEM ? Qui tremble face à la fulgurante percée de Zandry Kely ? La peur au ventre, les adversaires de l'émergence de Madagascar multiplient attaques et frondes. Des tirs croisés qui visent personnellement le numéro un de l'Etat. Principale cible, Rajoelina Andry Nirina se trouve au centre de leur assaut, en plein dans la visière de leur arsenal. Au Palais des sports à Mahamasina, ce cadre emblématique des décisions historiques, Rajoelina se désolait des comportements, pour le moins, bizarres des « ennemis jurés» de la Nation. Aussi fallait-il rappeler au passage que ce fut dans ce mythique Palais, des grandes rencontres, que Rajoelina annonçait officiellement et solennellement sa décision de se porter candidat à l'élection présidentielle.
Les éléments du Commissariat ont intercepté des armes vendredi matin dernier à un barrage routier à la sortie de la ville, sur la Nationale 6, à Ambanja. En effet, le contrôle sur un véhicule qui a transporté deux suspects, a permis aux policiers de confisquer les trois armes à feu que les deux hommes avaient sur eux. Il s'agit d'un fusil de fabrication russe ainsi que deux revolvers de fabrication locale. Les deux passeurs d'armes ont envisagé de rejoindre Sambava en voiture.
A Mahamasina, ce dimanche 28 avril, lieu mythique des grands rendez-vous, le Président de la République Rajoelina Andry Nirina annonçait lors de son historique intervention, des mesures hautement importantes, entre autres, la révision à la hausse du salaire du secteur privé. En effet, le salaire minimum des travailleurs, ouvriers et salariés confondus, fixé à 168.000 ariary, sera revu pour atteindre la barre de 200.000 ar. Rajoelina a pris un engagement de batailler auprès du patronat. De toute évidence, la « bataille » sera âpre pour la simple raison que les chefs d'entreprise rejetteront toute option de hausse de rémunération pour des raisons que l'on sait déjà. Du côté du Chef de l'Etat, un dirigeant profondément sensible à la tourmente des concitoyens, il s'agit d'une juste revalorisation. Combien de fois n'avait-il pas répété qu'il regrette de voir les petits travailleurs malagasy touchant un minimum de salaire de 168.000 ar. « C'est trop bas. Il ne permet pas à une famille de vivre », rajoutait-il pour enfoncer le clou !