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L’effet de domino !

L’interception de Mbola Rajaonah, jugée rocambolesque pour certains, courageuse pour d’autres, déclencha, qu’on le veuille ou non, des ondes de choc dont les fortes vibrations vont secouer d’autres « éléments ». Bien avant, après une petite semaine de leurs installations, les nouveaux responsables mirent aux arrêts une grosse tête de l’ancien régime HVM, Hugues Ratsiferana, pris en flagrant délit de vol et un gros poisson des trafics illicites des richesses naturelles et endémiques du pays, Eddy bois de rose. Ce dernier et Mbola Rajaonah, jusque-là intouchables, mettent en péril la vie des 25 millions de Malagasy. Certes, des « criminels » de leur gabarit existent en quantité dans le pays. Il faut les traquer sans attendre ! Il y a urgence.

Equilibrer les prix pour les intérêts de tous ! Ce sera l’objectif à atteindre pour toutes les parties prenantes, comme l’Etat ou encore les compagnies pétrolières, lors des différentes discussions afin d’élaborer la nouvelle structure des prix. A l’issue de la Semaine des hydrocarbures, les participants ont en effet fixé comme but l’actualisation de la structure des prix, d’ici la fin du mois. «  Au cours des différents échanges au cours de ces trois jours, nous avons pu constater qu’il est nécessaire de revoir la structure des prix, tout en préservant l’intérêt de tous. Un juste équilibre est donc à trouver. Pour ce faire, nous devrons en discuter dès la semaine prochaine afin d’avoir une feuille de route avant le 28 février prochain », maintient Hajatiana Rasolomanana, directeur des hydrocarbures au sein du ministère de l’Energie, de l’Eau et des Hydrocarbures, hier, durant sa présentation de la synthèse de la Semaine des hydrocarbures. Pour trouver ce juste équilibre, les associations représentant les consommateurs ainsi que les transporteurs veulent participer de près à ces négociations pour ne pas perdre de vue leurs intérêts. A noter qu’au cours des discussions durant les rencontres, les associations des consommateurs ont demandé à ce que « les prix soient revus à la baisse, en cohérence avec le pouvoir

Les enlèvements, qui ne connaissent aucun répit dans le district de Tsaratanàna, font sortir le général Njatoharisoa Andrianjanaka, le commandant de la gendarmerie, de ses gongs.
Puisque les bruits courent que certains gendarmes auraient été dans le coup, il a alors promis de pousser davantage l’enquête. “S’il est avéré que certains de nos éléments ont été vraiment dans le coup, nous ne le tolérerons jamais et ces brebis galeuses doivent payer. D’où la nécessité de pousser un peu plus nos investigations sur cette affaire”, a-t-il déclaré sans ambages.En attendant, les effectifs des commandos du GSIS envoyés sur place ont été augmentés. Ils sont prévus constituer des renforts pour les gendarmes basés dans la région. Cette tournure semble ne pas passer inaperçue  par les ravisseurs. Du coup, ils se montrent plus prudents, histoire de ne pas déclencher l’alerte.

Il a fallu que les premiers moments du choc  lié à la nouvelle de la mort suspecte en région parisienne (France) de la jeune étudiante malagasy Andotiana Randriamampianina (23 ans), passent, avant que la police, à l’issue de l’autopsie,  ne se prononce finalement sur la cause du drame.
En effet, la brigade de recherche des personnes disparues, en charge de l’enquête, privilégie l’hypothèse d’une mort par noyade. Pour cette entité, Andotiana se serait suicidée et elle confirme ses dires du contenu du journal intime de la défunte. Les écrits renfermés dans ce journal tendent vers la qualification de Andotiana comme déprimée.  Par ailleurs, la découverte également d’une bouteille de Tequila à moitié vide au domicile de la jeune malgache a conforté la police dans sa thèse de suicide.  Des arguments qui, pourtant, sont loin de faire l’unanimité non seulement au sein de la famille d’Andotiana mais également de ses amis et connaissances à Madagascar. Pour eux, il n’y a aucune raison pour que leur amie décide de mettre fin à ses jours.  La famille a d’ailleurs demandé à la police la restitution de ce journal intime pour qu’elle puisse vérifier les arguments de la police et comprendre ce geste d’Andotiana. Certains craignent en effet à une conclusion hâtive des enquêteurs locaux dans le but simplement de boucler au plus vite et à jamais le dossier.

Les détracteurs du nouveau Chef de l’Etat, visiblement frustrés par le succès électoral et diplomatique de ce dernier, se mettent à faire feu de tout bois afin d’essayer de déstabiliser un nouveau régime pourtant encore dans un état de grâce. Sans prendre le temps de guetter le moment opportun ainsi que les premiers faux pas du nouvel homme fort du pays, les anti-orange se lancent dans des critiques à tout-va, en pinaillant sur tout et sur rien, se décrédibilisant ainsi davantage auprès de l’opinion publique, tant nationale qu’internationale.
C’est ainsi que, même pas un mois après l’investiture du nouveau Chef de l’Etat, des soi-disant « déçus » du pouvoir en place ont déjà fait leur apparition sur les réseaux sociaux et ce, en se gardant de s’exprimer sur ce que pourrait être la source de ces pseudo-déceptions. En réalité, ces pseudos-déçus ne sont autres que de mauvais perdants  qui se refugient derrière des comptes « fake » pour y assouvir leur fantasme : celui de voir le nouveau régime sombrer rapidement dans l’impopularité. Certains de ces facebookers, d’ailleurs, ont perdu tout contrôle et se sont retrouvés derrière les barreaux pour avoir confondu critique et insulte. Pire, il est même apparu que certains en arrivent à se réjouir de la série de catastrophes naturelles qui ont frappé le pays ces derniers temps (inondations, éboulements,…). En effet, dans l’unique dessein de diaboliser le nouvel homme fort du pays, les adversaires de celui-ci se sont mis à lui en attribuer la cause. La raison toute trouvée est, bien entendu, l’investiture du nouveau Président de la République, strictement dans les formes  républicaines exigées par la Haute Cour constitutionnelle, c’est-à-dire sans la prestation de serment sur la bible à laquelle nous ont habitué les précédents élus à la magistrature suprême.

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Et le savon !

Trop occultée par les affres et les fantasmes de la politique, l’économie s’éclipse et meurt à petit feu! Elle peine à subsister. Des mesures d’urgence s’imposent.
Le samedi 12 janvier 2019, le premier responsable de l’Autorité nationale en charge des mesures correctives commerciales (ANMCC) donna une conférence de presse en présence de certains opérateurs locaux. L’objet étant de faire état des dispositions engagées afin de « donner un nouveau souffle à l’industrie nationale ». D’après Barthélémy, directeur Général de l’ANMCC, des mesures de sauvegarde ont été arrêtées touchant les importations de certains produits comme les pâtes alimentaires, des détergents en poudre ainsi que des couvertures. Pour une durée de 4 ans, renouvelable, les importations de ces produits ciblés seront soumises au droit additionnel de 30%.  Il n’est jamais tard pour bien faire ! Les acteurs nationaux de l’industrie ont dû attendre des années des mesures pour protéger nos produits face à l’importation ... sauvage des marchandises moins chères en provenance des pays comme la Chine. Il ne faut pas avoir honte de recourir au protectionnisme quand l’industrie nationale est menacée.

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La une du 16 février 2019

Après 47 jours de suspense total  mais aussi d’espoir, la triste nouvelle de la mort de la jeune malagasy Andotiana Andriamampianina (23 ans) dans la banlieue parisienne, tombe comme un couperet ! Le corps d'Ando a été finalement  retrouvé par la police le lundi 
4 février dans la Seine, à Bougival, proche de Rueil Malmaison, où elle résidait.  Et il a fallu  10 jours pour ses proches et le pays entier pour qu’ils apprennent finalement à leur tour la très mauvaise nouvelle. C’est en effet mercredi dernier que la police a notifié la famille de la découverte du corps d’Andotiana. Pour le moment encore, la police française n’a divulgué aucun autre complément d’information sur la cause, ni les circonstances exactes du décès d’Ando. La police française promet de continuer toujours l'enquête de manière rigoureuse.

Réduire au maximum le problème de logements dans la Capitale. C’est l’objectif annoncé par le régime actuel qui, lors du Conseil des ministres de mercredi dernier, a pris une décision importante.  En effet, il a été décidé lors de ce Conseil que l’Etat procédera à la construction de logements sociaux du côté d’Ivato sur un terrain de 58 ha. « Les terrains appartiennent à l’Etat mais ont été cédés à un prix dérisoire de 100 ariary le mètre carré à des privés. Le Président de la République a ordonné la récupération de ces terres et d’y  construire des logements sociaux », a déclaré hier la ministre Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, porte-parole du Gouvernement. L’Etat est prêt, selon la ministre de la Communication et de la Culture à rembourser les acheteurs mais à hauteur du prix d’achat.

Pourquoi ne trouve-t-on pas toujours de solution à ce grand problème ? Le délestage revient de plus en plus dans la Capitale comme dans les régions mais les consommateurs ne peuvent rien faire à part se plaindre sur les réseaux sociaux et sur la page officielle de la JIRAMA. Deux heures par jour de coupure dans plusieurs quartiers et les conséquences  sont nombreuses. « Nous n’arrivons pas à nous concentrer sur notre travail. Je suis propriétaire d’un cybercafé et depuis que le délestage sévit de nouveau, j’ai déjà abimé deux de mes PC. Maintenant, j’ai peur pour mes autres matériels. Ainsi, j’ai décidé d’utiliser des stabilisateurs et des onduleurs pour protéger mes ordinateurs, cela m’a coûté encore plus d’argent mais je préfère protéger mon gagne- pain », confie un père de famille propriétaire d’un cybercafé à Ambohidratrimo. D’autres affirment que les coupures arrivent au moment où ils ont  le plus besoin de courant. De son côté, la JIRAMA se contente de publier des avis sur sa page facebook, or on n’a pas tous accès à Internet.

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Editorial

  • Agir ensemble !
    Dans le cadre des préparatifs du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) prévu les 24 et 25 avril derniers, la conférence ministérielle des pays membres ont jeté les bases du pourtour des actions à entreprendre au sein de l’espace indianocéanique. Les membres de Gouvernement de chaque Etat ont tracé au mois de mars les fondamentaux sous la forme d’engagements à soumettre aux Chefs d’Etat pour le Vème Sommet de ce mois d’avril passé à Anosy Antananarivo, Madagasikara.

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