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La une du 20 février 2019

Satisfaisant ! C’est ainsi que le Directeur Général du  la société SMMC ou Société de manutention des marchandises conventionnelles et son équipe résument son bilan à la tête de cette société d’Etat. Nommé depuis le mois d’août 2018 et succédant à l’ancien DG Jean Berthin, Tsirenge Niriko Rosalien tiens à défendre son bilan pendant ces quelques mois d’exercice. Parmi les réformes qu’il a apportées figurent l’amélioration de la gestion de la société, la considération de la condition sociale des employés en vue de les motiver. 07 sur les 15 salariés congédiés par l’ex – Dg ont également été réembauchés.
Rappelons que la SMMC, est une société d’Etat spécialisé dans le chargement de marchandises (hors conteneurs) dédiées à l’importation et l’exportation à bord des bateaux au Port de Toamasina. Elle emploie 532 salariés et est sous la tutelle du ministère des Transports. Depuis le début de l’année 2018 jusqu’en janvier 2019, les recettes de la société s’élève à près de 27 Milliards d’Ariary, d’après les informations émanant des dirigeants de l’entreprise.

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Pour l’intérêt supérieur... !

Lors de la première mission du nouveau Président malagasy à l’extérieur, au 32 ème Sommet de l’UA, Rajoelina Andry Nirina profitait de l’occasion pour tisser le maximum de liens au nom de l’intérêt supérieur de la Nation. En effet, la quête des intérêts des 25 millions de Malagasy dictait les mobiles des contacts dans la capitale éthiopienne. L’audience accordée à Akinwmi, Dg de la Banque africaine de développement (BAD), sortit du lot. Les problèmes récurrents de la JIRAMA figuraient au centre de l’entrevue. Le Président malagasy soumet à son interlocuteur la possibilité pour la JIRAMA d’importer directement du fuel lourd de l’extérieur, et cela, afin de pouvoir réduire à la baisse le coût du carburant faisant tourner les machines de la société nationale. Par voie de conséquence, on pourrait envisager l’opportunité, à la fois d’augmenter la production d’énergie et au même moment, réduire la facture à payer. Un double avantage qui correspond aux objectifs de l’IEM et qui, en même temps, répond aux attentes de la population.

Un des rares havres de paix de la Capitale va disparaitre. Il s’agit du jardin d’Antaninarenina qui relève du domaine public depuis les années 30 mais qui risque de ne plus l’être suite à la vente réalisée par la Commune urbaine d’Antananarivo. Bien que les biens du domaine public, selon la loi, soient insaisissables, imprescriptibles et inaliénables des autorités communales ont fait fi en la vendant à une particulière. Et là, tout le monde se laisse faire. Le dossier est porté depuis peu par une des futures victimes de l’expulsion devant le Tribunal, le verdict est attendu pour aujourd’hui.
Le plus étonnant dans cette affaire, c’est l’inertie de l’équipe actuelle de la Commune urbaine dirigée par Lalao Ravalomanana. D’après leurs aveux déguisés rapportés par un quotidien de la place, c’est seulement à l’issue d’une enquête interne diligentée certainement après  la révélation faite il y a un mois par notre journal que la CUA a su que le jardin d’Antaninarenina est « bel et bien vendu ». De la pure aberration tout de même étant donné que l’actuel président du conseil municipal, Andriambahoaka Rabetokotany Jean Faustin, a signé une attestation administrative datée du mois de septembre 2017 reconnaissant la vente du jardin d’Antaninarenina. Ainsi depuis cette date, la CUA s’est laissé faire en abandonnant cette partie de son patrimoine comme tant d’autres cédés ou vendus auparavant. Sauf erreur, il y a quelque part dans la mairie d’Antananarivo, un niveau de commandement qui fait de la rétention d’information, voulue ou involontairement.

Bien que la situation parait scandaleuse, la complicité de certains éléments des Forces de l’ordre est bien une réalité pour expliquer cette soudaine recrudescence de l’insécurité, aussi bien dans la capitale que dans les régions. La gendarmerie nationale n’échappe pas à cette règle. En deux semaines où les choses vont de mal en pis sur le terrain, 10 gendarmes avaient été arrêtés  et certains d’entre-eux  placés sous mandat de dépôt, depuis. Le Seg, le général Richard Ravalomanana regrette la situation où toutes ces arrestations ou autres emprisonnements surviennent peu de temps après sa nomination mais il se félicité de la collaboration des médias locaux pour informer les Forces de l’ordre.

Une situation qui ne concerne pas directement Madagascar, enfin pour le moment, mais qui devrait quand-même alerté l’Etat malgache et les ministères concernés même à en prendre des précautions rapides. En effet, selon les informations recueillies, la grippe mortelle H1N1 frappe de nouveau à Maurice, une île qui se situe pas loin de Madagascar et dont les habitants font des vas et viens dans notre territoire. Plusieurs cas ont effet été enregistrés la fin de semaine dernière, plus précisément onze ouvriers Bangladais malades et testés positifs, 90 placés en quarantaine, une fillette de 4 ans suivie d’un trentenaire en voyage à Pune en Inde décédés. Un cas inquiétant puisque dans le journal l’Express Maurice, Ram Nowzadick, président de la Nursing Association affirme que : « Nous sommes en pleine recrudescence, surtout auprès des enfants. Récemment, il y a eu une remontée de cette grippe avec des travailleurs étrangers. Ils l’ont contractée à cause des conditions d’hygiène. La contamination se fait comme ils bougent dans la communauté ». De son côté, le Dr Mike Sooknundun, directeur de la Clinique du Nord, constate même une augmentation variant entre 5 à 8 % des infections par voie respiratoire dans le secteur privé : «On note la hausse des infections des voies respiratoires ces jours-ci ainsi que la fièvre, la toux, les courbatures ». Selon le ministère de la Santé Mauricien, 4 619 infections aigues des voies respiratoires ont été recensées la semaine dernière. Comparativement, ce taux était de 4 385 la semaine précédente. En fait, la grippe H1N1 en est une infection contagieuse. Toutefois, sollicitée sur les statistiques détaillées sur la grippe H1N1.

Hier, la pluie était rendez-vous dans plusieurs régions de la Grande Ile notamment Antananarivo, Toliary, Fianarantsoa, Sava, Melaky, Menabe, Atsimo Andrefana et Androy et bien d’autres encore. En effet, c’est l’amas nuageux dense dans le Canal de Mozambique restant en activité provoque de fortes pluies accompagnées des vents fort atteignant 45Km/h avec rafales supérieure à 60Km/h surtout dans les quatre dernières régions citées. Les prescriptions d’avis d’alerte verte sont toujours ainsi maintenues pour les districts de Besalampy, Maintirano, Antsalova, Belo Tsiribihina, Morondava, Mahabo, Manja, Morombe et Beloha. Avis d'alerte rouge cependant pour Morombe, Toliary I et II, Betioky atsimo, Ampanihy, Bekily, Ambovombe, Beloha, et Tsihombe. Selon le service météorologie, ceux qui travaillent en mer devront prendre un break puisque la sortie en mer est déconseillée, des vagues de 3m à 5m pourront y être observées.

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Chicky - Du poulet dans le palais !

Chicky, connu également sous l’image de KFC malgache est un « fast food » spécialisé dans la commercialisation de « wings » ou ailes de poulet, mais également de « tender » ou blancs de poulet. « Crée en juin 2017, l’idée de Chicky consiste à vendre des produits à la fois bons mais surtout préparés de manière naturelle, c’est-à-dire sans produits chimiques. En plus, tous nos poulets sont frais », explique Yohann Cattiau, directeur de l’établissement. En gros, Chicky œuvre dans la restauration à la fois rapide et saine. Le choix des consommateurs s’oriente généralement vers les ailes de poulet. « Le restaurant commande au total 200 kg de poulets par semaine. Les 100 kg sont consacrés spécialement aux ailes de poulet, tandis que les 100 kg restants sont destinés aux blancs. Les clients préfèrent beaucoup plus les ailes de poulet vu notre dépense hebdomadaire car les blancs sont encore transformés en boulettes et steaks », explique Fabiola, manager du restaurant.

Bon nombre de citoyens préconisent de ne pas rester sur place mais de rejoindre immédiatement le Poste de police le plus proche en cas d’accident corporel. L’on justifie cette attitude par la très forte éventualité de justice populaire à laquelle les témoins oculaires sont enclins à se livrer, surtout lorsque la victime est issue de la classe sociale défavorisée. Pour d’autres fuyards, c’est la crainte de se retrouver derrière les barreaux, notamment lorsqu’il s’agit d’un accident mortel quelles qu’en soient les circonstances, comme le dispose la politique pénale en vigueur. 

Il est néanmoins étonnant de constater que, même pour des accidents non corporels, certains chauffeurs se mettent à fuir leur responsabilité pour on ne sait quelle raison. Comme ce qui est arrivé samedi 16 février dernier dans le quartier d’Ilanivato vers 9h 30. En effet, en raison de l’étroitesse de cette rue menant vers Anosipatrana, les véhicules roulant dans les deux sens se croisaient avec mille précautions, un fourgon de marque Mercedes Sprinter, encore sous immatriculation étrangère (photo) se mit à forcer le passage, allant jusqu’à emboutir violemment une voiture légère roulant en sens inverse. 

Entre les délestages et les coupures incessantes de l’eau, les usagers de la JIRAMA, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, commencent à en avoir marre. Les plaintes fusent de plus en plus. « Pour y remédier, des solutions pérennes seront proposées d’ici vendredi », a affirmé Vonjy Andriamanga, ministre de l’Energie, de l’Eau et des Hydrocarbures, hier, lors de l’ouverture officielle de la Semaine de l’énergie à l’hôtel Panorama. Effectivement, durant cette semaine, toutes les parties concernées, à savoir l’Etat, la JIRAMA, les compagnies pétrolières ainsi que les investisseurs se réuniront autour d’une même table afin de solutionner les différents problèmes liés au secteur énergétique. « Cette semaine est une occasion pour discuter des différents problèmes auxquels l’énergie fait face en ce moment, et trouver des solutions durables et pérennes pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, notamment de doubler la production du pays d’ici cinq ans et de permettre à plus de la moitié de la population d’accéder à l’électricité. C’est aussi une opportunité de revoir les contrats de fourniture d’électricité entre la JIRAMA et les parties prenantes », explique le ministre.

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Editorial

  • Agir ensemble !
    Dans le cadre des préparatifs du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) prévu les 24 et 25 avril derniers, la conférence ministérielle des pays membres ont jeté les bases du pourtour des actions à entreprendre au sein de l’espace indianocéanique. Les membres de Gouvernement de chaque Etat ont tracé au mois de mars les fondamentaux sous la forme d’engagements à soumettre aux Chefs d’Etat pour le Vème Sommet de ce mois d’avril passé à Anosy Antananarivo, Madagasikara.

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