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La compagnie minière indo-britannique "Tirupati Graphite" a récemment dévoilé des résultats encourageants quant à son expansion à Madagascar. Les données de fin décembre 2023 ont mis en lumière une croissance significative de ses opérations, marquée par une hausse substantielle de la production, de la commercialisation et des ventes. D'après les résultats intermédiaires, la capacité de production de graphite de qualité flake dans ses mines à Vatomina et Sahamamy a considérablement progressé. A Vatomina, la production a atteint une remarquable quantité de 12 000 tonnes par an, tandis que celle de Sahamamy a grimpé à 18 000 tonnes par an.

La nouvelle vient de tomber. Le « Top Chart Africa » a produit dans sa dernière livraison la liste des 100 Africains les plus influents de l’année. Un Malagasy figure dans le lot. Il s’agit de Nasser Goulamhoussen,  né à Madagascar, de mère malagasy, ayant grandi à La Réunion, plus connu sous le sobriquet de Nasser Ghivalla. 

Andohatapenaka, sur le by-pass et le boulevard Tokyo. Les remblayages sur des terrains de rizière n’auront pas échappé à l’œil attentif des Tananariviens. La question que se pose sans doute tout observateur de la vie publique est de savoir si tous ces remblais ont une autorisation en bonne et due forme. Une question que le Président de la République Andry Rajoelina se pose vraisemblablement également. Ce serait pour cette raison qu’il a récemment ordonné des enquêtes autour de cette situation. 

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Tourisme - Une très bonne année en vue

Réveil prometteur. Le ministère du Tourisme à Madagascar a publié, à la fin du mois de décembre 2023, un bilan sur l'état actuel de ce secteur dans le pays. Les acteurs du secteur touristique expriment leur satisfaction et leur enthousiasme pour l'année à venir. Après une année 2019 florissante pour le tourisme, 2022 a été marquée par une phase de relance due aux conséquences de la pandémie. Cependant, l'année 2023 a vu les fruits de ces efforts, avec un consensus parmi les professionnels du tourisme : les touristes sont de retour en nombre, laissant entrevoir une année 2024 prometteuse. Selon Ralph Rasolondraibe, directeur régional du tourisme d’Alaotra -Mangoro, la Région a ressenti cette reprise, avec des statistiques se rapprochant de celles de 2019.


L’année 2024 sera riche en achèvement d’infrastructures en matière de mobilité et d’allègement des embouteillages. En effet, du train urbain, en passant par le téléphérique et le « Fly over », font partie des grands changements dans la Capitale. Le ministère des Transports et de la Météorologie a annoncé début décembre que le train urbain sera opérationnel en CE mois-ci. Le parcours du train urbain d’Antananarivo est de 12 kilomètres. Il partira de Soarano pour rejoindre Ambohimanambola en traversant huit gares construites ou rénovées. Chaque train pourra transporter jusqu’à 300 personnes par voyage.
Il est à noter que le lancement de ce projet a été reporté afin de mettre en place des voies d’évitement et de permettre aux trains de se croiser et d’augmenter ainsi leur fréquence sur la ligne. « Le train tient une place importante dans le désengorgement des embouteillages en transportant des passagers venant essentiellement du sud de Tanà. De ce fait, des voyages aller-retour vont permettre de gagner du temps. On a donc décidé de mettre en place ces évitements », selon le ministre Valéry Ramonjavelo. Il a aussi ajouté que pour le début, le train urbain fonctionnera au gasoil. L’utilisation de l’électricité, finalité du projet, sera pour plus tard.
Le téléphérique, très prometteur
Du côté du transport par câble (TPC), le chantier est aussi à un stade avancé. Les cabines sont déjà sur place, et les pylônes entre Soarano et Anosy sont déjà érigés. En décembre dernier, le secrétariat en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat a prévu pour bientôt les premiers essais techniques entre le tronçon Anosy-Soarano. Si le train dessert le sud, le téléphérique concerne plutôt la parte nord de la Capitale.
Lors d’une visite de chantier en décembre, Gérard Andriamanohisoa a affirmé que « 80 % des travaux entre Anosy et Soarano sont terminés. Nous allons commencer l’installation des câbles, sur cet axe, au mois de janvier. Les travaux sont également en cours du côté des gares d’Analamahitsy et d’Ambatobe. « Nous n’allons pas attendre que tous les travaux soient achevés jusqu’à Ambatobe pour faire fonctionner le téléphérique. Une fois les travaux de Soarano terminés, nous pourrons commencer l’essai technique ». Néanmoins, il ne faut pas se précipiter. Il faut ainsi garantir toutes les normes de sécurité. C’est une fois que les normes internationales respectées qu’on pourra démarrer l’exploitation de la ligne. En outre, des tests techniques de trois mois sont obligatoires. Commencé fin 2022, les travaux auraient dû durer vingt-et-un mois. Mais vu l’état actuel des chantiers, ce délai sera probablement prolongé.

« Fly over », l’ultime anti-bouchon
Le très attendu « Fly over », projet présidentiel et déjà annoncé durant les propagandes de 2018, pour amoindrir les embouteillages monstres qui gangrènent la partie ouest de Tanà comme Itaosy, Anosizato ou Ampasika, a reçu le feu vert pour démarrer cette année. En effet, cet ouvrage d’envergure est la véritable solution face à la congestion des véhicules empruntant cet axe. Les deux étroits petits ponts ne peuvent plus assurer une fluidité optimale de la circulation. Déjà déclarée comme une utilité publique, la démolition des maisons sur les lieux ne doit pas poser de problème. De plus, la plupart de ces constructions sont illégales. « Ceux qui sont touchés par le "Fly over" ont juste demandé un terrain pour construire leurs nouvelles maisons », selon Rado Ramparaoelina, maire de la Commune rurale d’Ampitatafika. Les propriétaires des terrains et des maisons à exproprier seront toutefois indemnisés. Côté technique, l’ouvrage sera l’intersection de la route nationale n° 1 et de celle n° 58 A. Il sera long de 183 m avec quatre rampes d’échangeur d’une longueur de 300 m, de quatre bretelles d’une longueur de 545 m, de deux ponts sur le fleuve d’Ikopa, mesurant 88 m chacun, de l’aménagement de la RN1 en quatre voies, et de la réhabilitation de la RN 58 A, d’une distance de 8,5 km, en deux voies.
Nikki Razaf


Adduction d’eau dans le Sud
La concrétisation du pipeline d’Efaho attendue !

Une priorité. L’adoption de solutions pérennes pour l’adduction d’eau potable dans tout Madagascar constitue l’un des sujets prioritaires abordés par le Président de la République Andry Rajoelina, lors de son discours de fin d’année. La finition du pipeline dans le sud de l’île en fait partie. En fait, ce projet d’envergure est actuellement dans sa phase de construction, et ce, depuis la mi-novembre 2023. Ceci après quelques mois d’études techniques et stratégiques, sans oublier le processus administratif, dont l’acquisition du permis environnemental. « Les diverses infrastructures construites dans le cadre de ce projet seront bientôt sur pied », d’après le ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène lors du lancement de la 2ème phase.
La phase de construction a pu démarrer suite à l’arrivée d’une première cargaison de 1.000 grands tuyaux qui font en tout environ 11 km, en septembre 2023. D’autres cargaisons sont attendues incessamment pour livrer les pipelines restants. Au total, le projet « Efaho » comprend un pipeline géant de 97 km, desservant les Régions d’Androy et d’Anosy. Il va desservir 60 villages, dont 40 dans l’Anosy et 20 dans l’Androy.
Le pipeline permettra d’assurer l’adduction d’eau potable dans ces localités, où la sécheresse constitue un frein au développement. 500.000 habitants en constitueront les principaux bénéficiaires. De plus, 80.000 ha de terres agricoles seront irrigués et 120 points d'eau destinés au bétail également mis en place.
Le projet « Pipeline Efaho » est une vision du Président Andry Rajoelina, dans le but de changer l’histoire du grand Sud de Madagascar. Sa réalisation résulte ainsi de son leadership. «Nous avons fait une promesse et nous l'avons tenue. Donner l'eau, c'est donner la vie à la population et développer les Régions du Sud », s’est-il exprimé lors du lancement des travaux, en avril 2023. Le Chef de l’Etat n’a pas manqué de le rappeler dans son discours de fin d’année.
P.R.







Cette première semaine de la nouvelle année 2024 sera déterminante. En effet, elle marque une étape importante dans la formation du nouveau Gouvernement. Mais auparavant, le Président Andry Rajoelina aura la lourde tâche du Premier ministre, chef de Gouvernement sur proposition de la majorité à l’Assemblée nationale. Concernant le choix des membres de l’équipe gouvernementale, le Chef de l’Etat se montre intraitable !
« Les visions que nous mettons en place pour le développement de Madagascar sont trop importantes. Par conséquent, la nomination des ministres exigent des conditions rigoureuses car la population malgache a grand besoin de résultats rapides et concrets », souligne le Président de la République au cours de son message à la Nation lors du réveillon du Nouvel An, dans la nuit de dimanche. Il donne ainsi le ton quant au processus de sélection de l’équipe exécutive en insistant sur l’engagement de chaque membre du Gouvernement à servir le peuple. Et d’ajouter que « ce n’est pas les campagnes de communication ni les pétitions en faveur d’une personnalité qui détermineront les nominations mais la volonté de mettre une personne qualifiée pour la mise en œuvre des visions du développement ».
Sous le signe de la continuité
 « Je n’ai pas du tout l’intention de vous tromper et je ne vais pas décevoir le peuple malgache », a déclaré le Président Andry Rajoelina, avec un air déterminé et engagé. Des propos visant à rassurer les électeurs qui lui ont massivement accordé leur confiance pour un nouveau mandat de cinq ans. Il n’a pas manqué d’adresser une pensée pour les vulnérables, les malheureux, mais également ceux qui traversent une période difficile.
Il a rappelé les trois piliers de sa politique pour ce nouveau quinquennat à savoir le capital humain, l’industrialisation et la bonne gouvernance. Dans le domaine de la santé, il a promis des soins adéquats pour tous les citoyens. Sur cette lancée, la vitesse supérieure sera enclenchée en vue de l’opérationnalisation des hôpitaux  « manara – penitra » et des 123 CSBII répartis dans toute l’île. Afin de maîtriser la croissance démographique, le Président réitère l’accès gratuit aux services de planification familiale.
L’Etat continuera de veiller au bien-être de la population en améliorant la qualité de l’éducation. Il annonce aussi d’autres grands projets liés à l’industrialisation et l’économie, ou encore la digitalisation dans l’administration. Le Président crève l’abcès sur un autre fléau qui gangrène la société actuelle : les litiges fonciers. Le Chef de l’Etat annonce des sanctions fermes pour démanteler les réseaux d’accaparement de terrains sans oublier le renforcement de la sécurité. Le mot d’ordre est clair pour cette année 2024 : place à l’action !
La Rédaction

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La une du 2 janvier 2024

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Nouveau départ !

Un second souffle pour un nouveau départ. Et l’ « autocar », la planète Terre, portant un nouveau numéro de série 2024 et transportant à bord l’humanité repart de nouveau. Plus exactement, astronomique parlé, continue sa course folle en faisant le tour de l’astre brillant Soleil. Obéissant naturellement à la Loi de la gravitation universelle, notre planète tourne et re-tourne en orbite autour du soleil. Depuis zéro heure le jour du 1 er janvier, en voilà 24 h et quelques morceaux déjà, la nouvelle année 2024 est là ! Et ainsi va la vie !
Nombre de défis attendent chaque pays. Pour le cas de Madagasikara, entre autres, après l’euphorie des fêtes de fin d’année, c’est le retour au dur train-train de la vie quotidienne avec son lot de galère. Un retour brutal plutôt un crash en pleine figure aux réalités de la vie. Chacun n’a pas le droit de rater le coche en ce début d’année. Il va falloir prendre au sérieux d’entamer ce nouveau départ pour une nouvelle percée.
Du côté des gouvernants dont en particulier le numéro un du pays qui vient de rempiler pour un second mandat de cinq ans, il faut s’atteler immédiatement à relever les défis qui couvrent en réalités les besoins urgents du peuple. Les coupures et les délestages qui commencent à gâcher le quotidien des gens et la fragile situation sécuritaire, entre autres, doivent connaître sans délai des issues sérieuses et pérennes. Sur ce, il importe de signaler qu’il ne faut pas attendre que le ras-le-bol atteigne le paroxysme c-à-d le point de non-retour pour qu’on daigne agir. Mais, avant tout cela, il appartient à notre Président nouvellement réélu de former dans les meilleurs délais  le nouveau Gouvernement. Une entreprise des plus urgentes que prioritaires mais aussi délicates. L’histoire récente nous a révélé la complexité de mettre sur pied une équipe gouvernementale. Et ce pour plusieurs facteurs entrant en lice. D’abord, il y en a trop de prétendants. Rien qu’à voir la multitude d’éléments de divers horizons ayant soutenu le candidat n° 3 qui rôdent et qui au final espèrent bien figurer dans la liste des retenus. Parmi ces postulants, il existe des loups dans la peau des agneaux qui gravitent autour. Ce sont de véritables prédateurs, des fauves, des corrompus et corrupteurs prêts à croquer voire à dévorer. Il importe également de souligner que l’option consistant à démultiplier le nombre des membres du Gouvernement ne serait pas forcément la meilleure. A notre humble avis, il faudrait plutôt primer la voie de l’austérité. Un pays pauvre, voire le plus pauvre, que le nôtre ne peut pas se permettre le luxe de supporter un nombre pléthorique de ministres et consorts. Nous n’avions de cesse d’attirer l’attention ou de tirer la sonnette d’alarme sur le danger de ce piège ! Il va falloir « éduquer » nos politiciens qu’il existe mille manières de servir le pays.
Quoiqu’on dise, le pays franchit maintenant le seuil de la nouvelle année 2024. Un nouveau départ pour tout le monde sans exception et que tout le monde doit s’appliquer à y mettre le sien. Que tous les efforts nécessaires pour démarrer pour … de bon soient mis en branle.
Félicitations et bon courage à tout le monde !
Ndrianaivo

 


Une affaire de litige foncier à Isahafa, Anosy Avaratra, a conduit à l’arrestation d’une directrice du ministère de l’Aménagement du territoire et d’un responsable politique du parti TGV. Ces individus sont actuellement en garde à vue. Confrontés à des accusations sérieuses de trafic d’influence et d’abus de fonction, ils devraient être présentés au Parquet de la justice dans les heures qui viennent.
L’affaire a été mise à la connaissance du grand public par une manifestation de riverains et de propriétaires de terrain à Isahafa, qui ont vivement protesté contre ce qu’ils considèrent comme un accaparement de leurs propriétés. La situation s’est tendue vers mi-décembre lorsque des personnes, dont un géomètre, ont entrepris de délimiter les terrains litigieux en y plantant des piquets. Les propriétaires, mécontents, ont déposé une plainte, soutenant posséder des documents légaux tels que les cadastres des parcelles 1091, 1088 et 1198, prouvant leur droit de propriété.
L’enquête des Forces de l’ordre a révélé des éléments à charge contre la directrice de ministère. Anciennement directeur de cabinet d’un chef d’institution, elle aurait sollicité l’aide d’un chef d’institution actuel et d’un responsable du parti TGV pour influencer l’issue du litige foncier en sa faveur.
Ces allégations sont assorties d’accusations de faux et usage de faux en écriture authentique publique. Les propriétés au cœur de cette controverse, selon la directrice, auraient été acquises légalement par sa mère en 2022. L’enquête en cours a cependant soulevé des suspicions de faux dans le processus d’acquisition, donnant lieu à une procédure qui prendra le temps nécessaire pour rassembler les preuves.
Dans l’attente des développements futurs, cette affaire jette une lumière crue sur la politique de tolérance zéro adoptée par l’Etat, dirigé par le Président de la République Andry Rajoelina, à l’égard de l’illégalité. Cette position ferme s’applique sans distinction, même aux personnalités influentes de l’administration et aux membres éminents du parti au pouvoir. La manifestation des propriétaires à Isahafa souligne l’importance de résoudre de tels litiges de manière juste et transparente, et cette affaire servira probablement de cas d’école sur la manière dont les autorités traitent les cas de violation de la propriété foncière.
La Rédaction

La fête du 31 décembre est devenue une tradition à ne pas manquer dans la Grande île. Chez les jeunes branchés et fêtards de la place, c’est un moment sérieux mais en même temps festif. De nombreux jeunes ont voulu célébrer cette fête dans un contexte bien explosif et inoubliable. Parmi les rendez-vous de réveillon 2024, ce fut encore une fois un véritable succès pour la soirée « Big Bounce » qui ne cesse d’étonner de nombreux jeunes. Et ceux qui ont assisté à cet évènement organisé par l’agence Dix Zéro Neuf ont été bien servis.
Malgré quelques retards des artistes invités, la soirée s’est déroulée dans une ambiance survoltée et faisait partie de celle que les jeunes n’oublieront pas de sitôt. Vers 19h, une foule a commencé à faire la queue pour avoir le sésame d’entrée. Tandis qu’à l’intérieur, des jeunes fêtards ont déjà envahi la salle du Cask PK0 Antanimena pour assister à ce concert rarissime. Certainement, c’est un grand privilège d’assister à un show réunissant des artistes les plus populaires de la musique urbaine. Avant l’arrivée des artistes, les quatre ambianceurs, à l’instar de Dj Gouty, Dj Cyemci et Dj MbintsJmsh commençaient à chauffer la piste de danse. Ce n’était que vers 20h que les prestations des artistes ont débuté. Agrad, Ceasar, Raouto, Ortegah, l’interprète du « Mode Voay » nommé Johan Blouts, le duo phénoménal Wada & Yoongs,  ainsi que Tsanta - la seule artiste féminine invitée à cette soirée - ont rendu le public heureux.
Dès les premières notes de musique, le public s’est mis tout de suite dans l’ambiance. Les chansons ont été fredonnées à tue-tête par des jeunes totalement en transe. Les fêtards, assoiffés d’ambiance et venus en masse, ont été bien servis. Le show a duré jusqu’au petit matin avec diverses animations. A minuit pile, le compte à rebours passé, les DJ, du haut de leurs pupitres, continuent de mettre en œuvre pour faire monter la température et chauffer à bloc l’assistance. Sur scène, ils ont lancé des bombes les unes après les autres, incitant les jeunes à danser dans une ambiance ultra positive. Et le public ne pouvait être que satisfait. Nombreux sont les jeunes fêtards qui ont assisté à cette fête dont l’appréciation se résume en sensations insensées et une ambiance volcanique remplie de surprise. Bref, la soirée « Big Bounce » était un bon moyen de clore en beauté l’année 2023 et de fêter dignement 2024 qui s'ouvre…
Si.R

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  • Sécurisation foncière - L'Etat mène une offensive numérique

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Editorial

  • Prudence !
    Nous sommes en pleine période de vacances. Tous les examens officiels de l’enseignement secondaire général et technique terminés, il reste à attendre pour les aînés la publication des résultats du baccalauréat. Les parents, du moins ceux qui en ont les moyens, profitent de l’occasion pour emmener leurs ouailles et enfin savourer l’air marin. Il faut bien s’ioder directement sur les bords de la mer. Mahajanga, la « ville des fleurs » rafle la mise grâce à ses atouts climatiques. Mahajanga est littéralement prise d’assaut par les touristes locaux et internationaux. La chaleur quasi permanente de la côte ouest attire les vacanciers. La Région d’Atsinanana avec ses agréables côtes n’en déméritent pas. En effet, Toamasina (ville), Foulepointe, Mahambo, Sainte-Marie, etc. talonnent de près Mahajanga. Mais, handicapée par les aléas climatiques, tantôt chauds tantôt froids et pluvieux, Atsinanana se voit quelque fois lésée. Ampefy, Vatomandry,Toliara et Morondava doivent se contenter des arrivées …

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