Culture

La 20ème édition du « Madagascourt Film Festival », orchestrée par le comité des Rencontres du Film Court Madagascar, ainsi que les Etats généraux du droit d’auteur dans la Région SADC, a été annulée en raison des préoccupations liées à la sécurité. Ce rendez-vous incontournable de la scène culturelle malagasy est reporté à une date ultérieure en raison de la situation actuelle, jugée peu propice à une organisation sereine et sécurisée d’un évènement. Par le biais d’un communiqué publié mercredi, les organisateurs ont exprimé leur regret concernant cette décision complexe mais incontournable. Avec l’événement programmé pour débuter dans un mois,…
Le Festival international du film de l’océan Indien (FIFOI) s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre avec sa troisième édition, qui se tiendra sur l’île de La Réunion. Cet événement cinématographique, conçu pour mettre en valeur la richesse culturelle et la diversité des récits provenant des territoires de l’océan Indien, se veut un véritable lien entre les cultures, traditions et enjeux spécifiques à cette région particulière. Prévue du 25 au 30 avril 2026, la compétition offre une tribune incontournable aux cinéastes, qu’ils soient émergents ou confirmés, afin qu’ils puissent partager leur vision, leurs histoires et leurs défis. L’appel à candidatures est…
Suite au succès de l’édition précédente, l’Alliance française d’Antananarivo (AFT), située à Andavamamba, donne une nouvelle fois rendez-vous aux adeptes de suspense et de sensations fortes à l’occasion de la troisième édition du Festival des livres « Thriller ». Programmé du 25 au 31 octobre, cet événement gratuit investira les locaux de l’AFT pour une semaine sous le signe du mystère, de l’effroi et de la littérature noire. Véritable hommage à ce genre de récit qui provoque des sensations fortes, ce festival rassemble chaque année un public grandissant.

Festival des œufs - Le rendez-vous maintenu  

Publié le lundi, 06 octobre 2025
Malgré la tourmente sociale et les manifestations qui secouent Madagascar, le Festival des œufs d’Antanetibe-Mahazaza fait preuve d’une résilience remarquable en maintenant sa quatrième édition. Ce rendez-vous annuel, devenu un pilier de la vitalité régionale, se déroulera du 10 au 12 octobre sur le terrain Mahazaza, situé à une quarantaine kilomètres d’Antananarivo.
Depuis le 25 septembre, la Grande île vit au rythme d’un silence pesant en termes d’évènements culturels. La capitale et ses alentours semblent figés : rues désertes, scènes vides, festivals et concerts suspendus à une incertitude qui s’éternise. La crise sociale qui secoue le pays a plongé le secteur culturel dans une torpeur inquiétante, laissant artistes, organisateurs et acteurs culturels dans une attente douloureuse, entre colère et résignation. Les mesures de sécurité, telles que le couvre-feu, les barrages ainsi que la montée des tensions, ont mis fin à toute forme de rassemblement culturel. Les expositions, les spectacles et les événements…
Après une première participation remarquée l'année dernière, la Grande île se prépare à s'imposer une nouvelle fois sur la scène internationale. Cette fois-ci, trois jeunes artistes, toutes des filles, représenteront fièrement l'île lors de la grande finale du concours « Our Generation » qui aura lieu le 11 octobre en Russie. Michella, Brenda et Riantsoa, âgées de 9 à 16 ans, incarnent l'énergie créative et l'ambition d'une jeunesse malgache, déterminée à se faire entendre à travers la musique.
Deuxième tentative. La belle Hendry Tsiky se prépare à écrire une nouvelle page dans son parcours déjà remarquable. La jeune femme, qui s’était distinguée l’an dernier lors de la compétition « Miss Earth », se prépare cette fois-ci à représenter Madagascar au prestigieux concours « Miss Tourism International », prévu se dérouler du 4 au 20 octobre en Malaisie. Agée seulement 22 ans, dotée d’une stature impressionnante de 1,90 m, d’un charisme inné et d’une détermination sans faille, elle incarne l’espoir et la fierté d’une Nation qui aspire à briller au-delà de ses frontières.

Fil infos

  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff