Economie

Pêche - Un nouveau souffle au projet SWIOFISH 2

Publié le mardi, 27 juillet 2021
Pour des actions impactant directement le quotidien des bénéficiaires. Au cours des trois dernières semaines, le nouveau coordonnateur national de projet SWIOFISH 2, lors de la deuxième phase du projet de gouvernance des pêches et de croissance partagée dans le Sud-ouest de l’océan Indien, s’est particulièrement indigné face aux résultats actuels du projet et de l’impact de celui-ci sur les personnes cibles dont les pêcheurs.
Insécurité, techniques archaïques, données non fiables, manque d’infrastructures… Le secteur de l’élevage à Madagascar rencontre aujourd’hui d’innombrables difficultés, empêchant le développement accru de la filière. En effet, les produits d’élevage ont encore beaucoup de mal à satisfaire les besoins locaux, freinant ainsi l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire. « Pour soutenir les opérateurs, mais surtout les éleveurs, tout doit être remis au goût du jour. C’est pourquoi l’élaboration d’une nouvelle politique de gouvernance, adaptée au contexte actuel et répondant aux attentes de tous les acteurs pour les appuyer dans l’amélioration du rendement national et notre compétitivité, est plus que primordiale actuellement. La…
Insuffisant ou quasi inexistant. Le trafic aérien sur la plupart des aérodromes secondaires de Madagascar représente un frein au développement. C’est pour cette raison que la société Aéroports de Madagascar (ADEMA) vient de relancer, hier, un appel à manifestation d’intérêt. A rappeler qu’en 2017, elle a déjà lancé la même opération en vue de la gestion et de la remise aux normes d’une quarantaine d’aérodromes secondaires à travers tout le territoire, tout cela à l’image de l’évolution de l’aéroport de Fascène et celui d’Ivato qui sont présentement entre de bonnes mains. Sur la quarantaine d’aérodromes ayant fait l’objet d’un appel…
 Développer les activités liées à l’océan tout en la préservant. Les négociations pour le renouvellement de l’accord de pêche entre Madagascar et l’Union européenne suivent leur cours. Après une situation de stagnation de quelques mois, elles vont donc reprendre au mois de septembre prochain. « Les prochaines réunions se dérouleront les 2 et 3 septembre prochains.
Limite prohibitive, le prix de l’huile de table, sur les étals des commerces de la Capitale ainsi que sur presque tout le territoire malagasy, devient de plus en plus inaccessible pour les ménages à revenu moyen. Le fait est que la situation n’est pas un cas isolé qui arrive uniquement à l’habitant de la Grande île.
La pratique du feu, volontaire, mal maîtrisée ou intentionnelle, par la population locale constitue un des facteurs majeurs de dégradation des ressources naturelles à Madagascar. Pour mieux gérer ces feux, le ministère de l’Environnement et du Développement durable se dote ainsi des outils adéquats avec un stratégie dédié. En effet, en partenariat avec le GIZ, la coopération allemande, le ministère vient de lancer un géoportail de suivi des feux. Le pays n’aura plus besoin des géoportails internationaux vu qu’il en dispose. Il pourra ainsi avoir des données fiables en premier lieu, et en second lieu agir à temps pour une…
Limité. Afin de lutter contre l’accroissement du phénomène de fuite de capitaux et la sortie illégale de devises, de nouvelles dispositions ont été prises par le ministère de l’Economie et des Finances. « Désormais, la limitation du montant de devises sous forme de billets de banque que les voyageurs qui vont sortir de Madagascar peuvent emporter avec eux est plafonnée à 10.000 euros ou son équivalent en d’autres devises », annonce le MEF dans son bulletin de communication de ce mois de juillet. En effet, une mise à jour de la réglementation régissant ce secteur a été entamé à travers…

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Editorial

  • Conscience éthique
    Perle rare. Trésor caché. L’homme est toujours à la recherche d’objet rare, invisible ou caché. Seuls les fortunés de ce monde sont capables, quel que soit le coût, de s’acquérir de ces objets d’art ou de culture rares voire rarissimes. La droiture, la probité, l’intégrité et l’honnêteté font partie de ces « objets rares » que l’homme cherche désespérément à acquérir. Madagasikara figure parmi nombre de pays qui ambitionnent formellement à dompter la corruption en particulier, et l’impunité en général. A ce titre, le pays dispose d’un ensemble de dispositifs de lois soutenus par une armada d’entités de lutte, allant du Comité de la Sauvegarde de l’Intégrité (CSI) au Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO), Parquet Anti-corruption (PAC) en passant par le « Sampan-draharaha malagasy miady amin’ny famotsiam-bola » (SAMIFIN) à l’Agence de recouvrement des Avoirs illicites (ARAI), etc. Le tout sous la bannière d’une Nouvelle stratégie de lutte contre la corruption…

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