Economie

Crainte des spéculations. « En chemin pour me rendre chez mon quincaillier habituel, mes voisins m'ont interpelé en m'informant que le ciment à prix raisonnable importé par les autorités est à présent disponible dans le quartier. Etant donné que je suis en train de finir les travaux de rénovation d'une partie de ma maison, j'ai sauté sur l'occasion et me suis rendu chez un autre quincaillier qui fournissait le fameux ciment "Lucky" à bas prix », explique un père de famille habitant dans le quartier d'Ampefiloha.

Energie - La JIRAMA rattrapée par ses vieux démons

Publié le vendredi, 26 novembre 2021
Gouffre financier. Les états financiers du Projet d'amélioration de la gestion des opérations du secteur de l'électricité (PAGOSE), au titre des années d'exercice 2018 et 2019, provoquent des émules après que la Banque mondiale ait demandé à la compagnie nationale de l'eau et de l'électricité (JIRAMA) de mener un audit de son système de gestion pour déterminer les montants des anomalies constatées durant ces deux années d'exercice.

Prix du savon - Une hausse continue en vue

Publié le jeudi, 25 novembre 2021
Au cours des deux dernières semaines, chaque matin est une épreuve pour Vao, une lavandière. Elle doit en effet expliquer à ses clients que le prix du savon a encore augmenté. «C’est difficile pour mes patrons, surtout en ces périodes de crise, de débourser un peu plus qu’à leur habitude pour acheter du savon. En une semaine notamment, le prix du savon que j’utilise régulièrement a particulièrement haussé. Du savon que j’achetais à 700 ariary, s’achète désormais à 1 000 ariary. Je suis frustrée parce que dans certains cas, certains patrons ne sont pas compréhensifs. Ils pensent que je profite…
Les opérateurs touristiques à Nosy Be font la grève à l’heure actuelle. Ils réclament notamment la reprise des vols internationaux à destination de l’île aux parfums. Face à cette demande, le ministre du Tourisme, Joël Randriamandranto, a tenu à apporter quelques précisions sur la situation, notamment concernant les procédures de réouverture des frontières choisies par le Gouvernement. « Si nous avons décidé de rouvrir les frontières, c’est surtout pour les opérateurs touristiques. Nous sommes conscients que le secteur tourisme est aujourd’hui en souffrance dans le monde entier, mais plus particulièrement à Madagascar. Toutefois, avec la pandémie de coronavirus qui sévit…
Après Fianarantsoa, Antananarivo et Andekaleka, d'autres zones du pays pourraient également bénéficier des pluies provoquées pour les prochains jours programmées par le ministère de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène (MEAH) en collaboration avec la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA) et la Direction générale de la Météorologie (DGM). L'objectif étant de lutter contre les impacts de la sécheresse et du retard du début de la saison des pluies. « Nous pouvons constater aujourd'hui que le Sud du pays n'est plus la seule région à souffrir de la sécheresse.

Secteur BTP - Le prix du ciment « durcit » 

Publié le mercredi, 24 novembre 2021
Figé. En pleine phase de finition des travaux de construction de son château d'eau pour s'assurer de l'approvisionnement en eau quotidien, à défaut d'un service continu de la compagnie nationale de l'eau, Andriamihanta Rakoto, un médecin habitant du côté d'Atsimodrano vient de se rendre compte qu'il serait bientôt à court de sacs de ciment. Un stock qu'il s'est constitué il y a déjà quelques mois et qu'il devra alors réapprovisionner s'il veut que le château d'eau soit opérationnel avant les périodes de sècheresse.
Reconnus pour leur engagement en faveur de la préservation de l’environnement de Madagascar. Plus les années passent, plus les zones forestières du pays diminuent à vue d’œil. Toutefois, ce serait mentir si l’on disait qu’aucune action n’est entreprise pour inverser cette situation. Conscients de la gravité de la situation dans la Grande île, des défenseurs de l’environnement ont ainsi élaboré des projets bien pensés en vue de conserver les ressources naturelles du pays mais aussi pour reverdir l’Ile Rouge. Et ces projets ont permis à leurs instigateurs de briller à l’international. C’est le cas notamment de Julie Razafimanahaka, directrice exécutive…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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