Economie

La Grande île a de nombreux atouts pour voir naître sur son territoire des entreprises technologiques performantes. Elle souffre toutefois d'un manque de financement et d'investisseurs. Un sujet sur lequel l’Organisme « Economic Development Board of Madagascar » (EDBM) a mis l’accent dans la dernière publication du rapport « Yearbook-économique-Madagascar-2021 ». « Dans le contexte actuel où la résilience post-Covid démontre les meilleurs potentiels, les principaux secteurs propices à l’investissement à Madagascar, à court et moyen terme, sont le secteur des technologies de l’information qui s’est développé à cause ou grâce aux mesures de confinement, ou encore l’agriculture biologique pour…
Le tourisme figure parmi les sinistrés de la crise sanitaire engendrée par la pandémie de coronavirus. A cet effet, tous les opérateurs réclament aujourd’hui la réouverture des frontières aériennes pour que le secteur puisse enfin reprendre. Pour le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM), cette éventualité est envisageable mais sous certaines conditions.
Suite à un concours de projets initié lors de la Semaine mondiale de la télécommunication qui s’est tenue récemment à l’Ecole supérieure polytechnique de Vontovorona, une poignée d’élites ont été sélectionnées pour présenter leurs travaux de recherche et de développement dans les locaux du ministère des Télécommunications et du Développement numérique.
Le potentiel hydroélectrique de la Grande île est encore largement sous exploité selon la Banque africaine de développement dans sa note de diagnostic pays publiée récemment. Selon ce document, la situation actuelle du secteur énergie est caractérisée par un taux global d’accès à l’électricité de 22% avec une puissance totale installée à environ 900MW et composée en grande partie de parc thermique malgré le potentiel hydroélectrique sous exploité. Selon les études de la BAD, le principal défi serait d’améliorer l’accès à une électricité fiable et à un coût abordable. Cependant, pour y arriver, il est primordial de passer par le…
De bon augure. Depuis le mois de mars 2020, l’industrie du textile à Madagascar était au plus mal à cause de la pandémie de coronavirus. « La production a considérablement diminué, approximativement de 20 à 50% selon l’entreprise et sa filière», d’après Hery Lanto Rakotoarisoa. Toutefois, cette situation tend à se renverser. « Le redémarrage économique à l’échelle mondiale commence à se faire ressentir. La consommation a ainsi repris avec ce redémarrage économique, principalement dans les pays comme les Etats-Unis ou encore ceux de l’Europe. Aujourd’hui, les consommateurs ne se limitent plus aux produits essentiels. Les commerces, notamment dans le…
Il était temps. Avant-hier, les premiers engins en pleine action ont été constatés par les usagers et transporteurs empruntant les quelques 370 km de route sur la RN 2 reliant la Capitale et la ville de Toamasina. De toutes les principales artères nationales, la RN2 serait celle qui contribue le plus au bon fonctionnement de la vie économique du pays. Toutes les marchandises arrivant du grand port de l'Est passent par cette route pour arriver à Antananarivo.
A la fin de la formation professionnelle, les jeunes malagasy, pour la plus grande majorité, souhaitent tous devenir des fonctionnaires de l’Etat. Ils forgent alors leur mentalité dans ce sens. Toutefois, quand cette option n’est pas viable, ils sont obligés de trouver une autre alternative pour avoir une source de revenus. Au cours des dernières années, l’entrepreneuriat a le vent en poupe.

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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