Economie

Préserver tous les ménages et entreprises. Dès le début du confinement de deux semaines, le Président de la République a mis en place des mesures économiques pour répondre aux nombreuses demandes du peuple malagasy. Pour la majorité des employés, arrondir les fins de mois n’est pas toujours évident. De ce fait, le fait de ne pas travailler pendant quinze jours, dans le mois, implique un manque conséquent dans leur budget mensuel. Alors qu’ils ont des factures à payer et des prêts bancaires à rembourser. Les décisions prises au niveau de l’administration publique mais aussi privée ont ainsi été adaptées à…
L’économie doit continuer à tourner. Face à la crise sanitaire qui sévit actuellement dans le pays, les entreprises ont dû notamment opter pour des changements pour pouvoir continuer de fonctionner. Que ce soit au niveau des PME (Petites et moyennes entreprises) ou des grandes entreprises, de nouvelles dispositions ont alors été prises d’un côté pour leur permettre de continuer leurs entreprises et d’un autre pour préserver au maximum leurs employés. Il ne faut pas oublier que le Président a déclaré l’Etat d’urgence sanitaire, le 19 mars dernier. Des entreprises, travaillant dans divers secteurs d’activités comme les télécommunications ou encore les…
La contribution de tous est la bienvenue. Aujourd'hui, le monde fait face à une importante crise sanitaire. De ce fait, tout le monde doit s'engager pour que toute la population mondiale, et en particulier la population malagasy, puisse vaincre ce virus, d'où la multiplication des dons faits par des entreprises engagées dans cette cause commune. Dans ce contexte, l'industrie minière Ambatovy a ainsi offert des produits de première nécessité (PPN) pour appuyer le Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) de Toamasina.
Un coup de pouce pour le secteur privé. Le Gouvernement favorise les entreprises qui œuvrent dans la lutte contre la propagation du coronavirus. Après l'annonce d'un vaste et généreux Plan d'urgence sociale par le Président de la République, les autorités ont lancé un appel à la solidarité à l'endroit du secteur privé. Afin de motiver les entreprises, les dépenses complémentaires ou dons utilisés directement dans la lutte contre le Covid-19 seront déduits de l'impôt sur le revenu. « C'est une mesure exceptionnelle en cas de catastrophe ou état d'urgence. Auparavant, le Fisc accepte uniquement les charges normales dans la déclaration…
Inquiet. Certains salariés se sont encore retrouvés avec un salaire amputé en cette fin du mois de mars. Apparemment, les banques n’ont pas encore appliqué leur accord avec le Gouvernement. Pour rappel, le ministère de l’Economie et des Finances a publié la semaine dernière une note concernant les mesures économiques et fiscales pour affronter cette crise sanitaire. La rencontre entre le Gouvernement et le secteur bancaire a permis de mettre en place un moratoire en matière de remboursement d’un crédit bancaire. Ce rallongement de la date de paiement s’applique aux entreprises et aux particuliers ayant contracté du crédit à la…
Des entreprises soucieuses de la vie de leurs concitoyens. Le restaurant Trois Métis (Antaninandro), Au rendez-vous des pêcheurs (Ambatolampy), Royal Palace (Antsirabe), le Coin du foie gras (Behenjy) ainsi que le Combava ont communiqué au grand public les résultats du dépistage de leur équipe. En effet, ces établissements ont accueilli le touriste italien atteint du coronavirus au cours de la deuxième quinzaine du mois dernier. Suite à l’annonce du Président de la République, ils ont officiellement publié leur situation respective. « Votre santé comme celle de nos collaborateurs est importante pour nous. Ainsi, nous souhaitons limiter au maximum les risques…
Eviter toute possibilité de rupture des stocks. Les actions menées par le ministère de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat (MICA), dans le cadre du programme « Tsinjo », n'ont pas cessé. Au cours du week-end dernier, les collaborateurs du ministère ont effectué une descente auprès du 3ème Arrondissement, du côté d'Ankorondrano. « Outre les environs de la Capitale, chaque Arrondissement de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) a respectivement droit à cent sacs de 50kg de riz. Cette quantité sera répartie entre les différents détaillants au

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Editorial

  • Ultra-sensibles
    Le riz et la vanille, deux grandes stars, en bien et en mal, de la Grande île. Deux grands produits hautement et éminemment politiques notamment en cette période chaude pré-électorale. Et les candidats potentiels, encore non-déclarés, s’affrontent autour de ces sujets ultra-sensibles.Le riz, produit de consommation alimentaire par excellence des Malagasy, qu’ils soient du sud ou du nord, de l’est ou de l’ouest. Tout malagasy, du commun des mortels, prend le riz pour repas quotidien trois fois par jour. Etant donné l’insuffisance chronique de la production rizicole qui colle à la peau du pays, le pain le supplante peu à peu. Mais le riz reste le plat quotidien préféré des Malagasy qui se respectent. Il est très difficile au Malagasy lambda de s’en débarrasser. Par la force des choses, ce produit de « luxe », un sujet aux enjeux ultra-sensibles, devient un instrument dangereux que des politiciens n’hésitent point à…

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