Economie

La première concertation nationale sur les systèmes alimentaires à Madagascar s’est déroulée hier à travers un dialogue inclusif en ligne. Cette concertation vise notamment à recueillir les solutions et les propositions issues des différentes parties prenantes tant au niveau du secteur public et des opérateurs, sans oublier les consommateurs.
Les PME et les micro-entreprises souhaitant bénéficier des tarifs spécifiques élaborés par la « Jiro sy Rano Malagasy » (JIRAMA) doivent obligatoirement s’inscrire auprès de leur agence respective. La JIRAMA compte appliquer le nouveau tarif dédié aux « petits » entrepreneurs à partir de ce second semestre de l’année.
La Commission de l’océan Indien, le COMESA ou le marché commun de l'Afrique orientale et australe mais aussi la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Les opportunités sur le marché africain sont nombreuses pour Madagascar. « Sauf que nous sommes encore loin de connaître le marché africain actuellement.
Consensus difficile. La campagne qui a débuté avant-hier dans la Région de SAVA s’est traduite, comme à son habitude chaque année, en une confrontation entre les producteurs de cette Région et les collecteurs venus acheter de la vanille verte. Ces derniers proposent un prix d’achat au kilo oscillant les 40 000ariary tandis que les producteurs de la SAVA comptent s’en tenir aux prix dicter par les autorités qui est de 75 000ariary le kilo de la vanille verte. « Les collecteurs nous proposent des prix dérisoires qui sont beaucoup trop loin de ce qui a été annoncé par les autorités,…
Renouer contact. C’est dans cette optique que le groupe TELMA organise des rencontres avec ses différents partenaires et collaborateurs dans les quatre coins de la Grande île. Après l’organisation de la première édition du Telma Business Customer’s meeting à Toamasina, en début d’année, une seconde édition a été organisée la semaine dernière à Mahajanga. Depuis l’année dernière, la pandémie de coronavirus a modifié le quotidien de tout un chacun, mais principalement celui des entreprises. « Avec ces rencontres, nous partons du principe qu’il est nécessaire de se retrouver après ces quelques mois de confinement éprouvant», a expliqué Patrick Pisal Hamida,…
L’usage du sachet en plastique reste une habitude ancrée dans le quotidien des consommateurs malagasy. C’est difficile pour eux de ne pas le demander lors de leurs achats, que ce soit pour emballer des fruits et légumes ou encore des vêtements et des chaussures. « Je fais souvent des achats imprévus.
Il est difficile d’imaginer que la valeur de l’euro redescendra en deça de la barre symbolique des 4 500 unités de la monnaie nationale. C’est le constat exposé par certains observateurs suite à la dégringolade de l’ariary ces derniers temps sur le marché interbancaire des devises. En effet, il y a encore une semaine, durant le week-end de célébration de la Fête nationale, la valeur d’un euro oscillait entre 4 505 et 4 521 ariary. Hier, la monnaie européenne était égale à 4 641,72 ariary.

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Editorial

  • Etat de droit (suite)
    Nous n’aurions pas un temps assez et suffisant pour décortiquer, décrypter et détaler dans son intégralité ce concept d’Etat de droit. Tellement vaste, tellement délicat et tellement basique, le sujet nécessite une analyse pointilleuse. Elle s’inscrit dans une logique rationnelle visant à essarter l’énorme chantier de la Refondation. Comme nous l’avions déjà eu auparavant, lors des précédentes communications, l’occasion de définir les règles de base relatives à la Refondation. Il nous est impératif d’insister à apporter notre part de brique dans cette œuvre si délicate et si compliquée de refondation de l’Etat et de la Nation malagasy. Nous jugeons, plutôt je le juge indispensable de bien créer une condition de visibilité maximale autour de l’Etat de droit. Une Refondation sans l’implication et l’interaction directe de l’Etat de droit claudique assurément. Elle avancera clopin-clopant.

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