Economie

45 % des recettes de l’Etat sont destinées au paiement de la solde des agents de l’Etat qui comptent à présent environ 200 000 fonctionnaires et autres contractuels. Ces 45 % de recettes représentent environ 5 % du PIB national, soit une part plus que conséquente sur les finances du pays qui nécessitent une gestion contrôlée afin d’éviter toute dérive budgétaire. Raison pour laquelle tous les ministères et institutions doivent enregistrer leurs agents dans la version 2.0 de l’Application Unique pour la Gestion Uniforme des Ressources humaines de l’Etat (AUGURE). Une application qui vient d’être déployée dans les démembrements étatiques…
Dans le secteur économique mondial, les grandes enseignes rivalisent d’ingéniosité pour mieux appréhender le marché. Dans la Grande île, la société « Baolai » est tout aussi active dans ce challenge. Avec du neuf, elle gâte le public. En effet, ces nouveautés sont déjà disponibles, auprès de la société
Perte de revenus conséquente. C’est, en somme, la manière dont les entreprises ont défini l’impact de la Covid-19 d’après les vagues d’enquêtes menées par l’Institut national des statistiques (INSTAT) avec l’appui financier et technique de la Banque mondiale. Les résultats de ces enquêtes ont été présentés, hier, conjointement par ces deux institutions.
Défi de taille, la transparence budgétaire est encore à parfaire pour la Grande île. Raison pour laquelle, afin d’améliorer davantage la performance du pays, le ministère de l’Economie et des Finances en partenariat avec l’UNICEF a organisé, hier et avant-hier, un atelier sur le thème « Principes et bonnes pratiques de la transparence budgétaire selon les normes « International Budget Partnership ». Cet atelier a abordé des points relatifs aux bonnes pratiques des pays ayant obtenu le meilleur score Open Budget Survey 2019 et identifiera des opportunités pour Madagascar. La participation d’un plus grand nombre d’acteurs notamment les Organisations de…
A l’heure de la révolution technologique qui souffle un peu partout dans le monde, les produits « high tech » suscitent un véritable engouement. Madagascar n’est pas en reste car ces différentes innovations sont déjà présentes sur le marché local. D’ailleurs, les grands magasins de produits issus de la nouvelle technologie ne lésinent pas sur les moyens pour mettre ces articles à la disposition de leur clientèle à l’instar de la société « Baolai » via ses magasins à Analakely , Soarano et Bazar Be - Toamasina.

Pêche - Un nouveau souffle au projet SWIOFISH 2

Publié le mardi, 27 juillet 2021
Pour des actions impactant directement le quotidien des bénéficiaires. Au cours des trois dernières semaines, le nouveau coordonnateur national de projet SWIOFISH 2, lors de la deuxième phase du projet de gouvernance des pêches et de croissance partagée dans le Sud-ouest de l’océan Indien, s’est particulièrement indigné face aux résultats actuels du projet et de l’impact de celui-ci sur les personnes cibles dont les pêcheurs.
Insécurité, techniques archaïques, données non fiables, manque d’infrastructures… Le secteur de l’élevage à Madagascar rencontre aujourd’hui d’innombrables difficultés, empêchant le développement accru de la filière. En effet, les produits d’élevage ont encore beaucoup de mal à satisfaire les besoins locaux, freinant ainsi l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire. « Pour soutenir les opérateurs, mais surtout les éleveurs, tout doit être remis au goût du jour. C’est pourquoi l’élaboration d’une nouvelle politique de gouvernance, adaptée au contexte actuel et répondant aux attentes de tous les acteurs pour les appuyer dans l’amélioration du rendement national et notre compétitivité, est plus que primordiale actuellement. La…

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
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  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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