Economie

Baobabs de Madagascar - La menace s’intensifie 

Publié le mercredi, 04 décembre 2019
6 espèces de baobabs sur 9 dans le monde ne se trouvent qu’à Madagascar. Ainsi, si l’une de ces espèces venait à disparaître, ce sera une extinction définitive. Pourtant, la menace ne cesse de s’intensifier pour ces figures emblématiques du pays. Effectivement, au même titre que les lémuriens, les baobabs représentent Madagascar aux yeux du monde entier. « Actuellement, la menace et la pression pesant sur les baobabs s’accentuent, plus particulièrement dans la Région de Menabe. Nous assistons à la destruction de leur habitat naturel avec les feux de brousse.
Un pas en avant, deux pas en arrière. Les vols directs Antananarivo-Johannesburg de la compagnie aérienne nationale, Air Madagascar, seront de nouveau supprimés en début de l’année prochaine, seulement six mois après leur reprise. Effectivement, ces vols ont cessé depuis décembre 2015, avant de reprendre officiellement le 17 juin dernier, pour être de nouveau suspendus à partir du 8 janvier prochain, à l’issue d’un vol retour sur Antananarivo. Selon les explications des responsables de la compagnie, contactés hier au téléphone, « cette suppression de la ligne résulte notamment d’une mauvaise performance. Les vols n’étaient pas du tout remplis. De ce…
Utilisation peu courante. Les coupures émises en 2003 et 2004 sont maintenant en voie de disparition. Après environ une quinzaine d’années de circulation, ces billets de banque arrivent à la fin de leur validité au 31 décembre prochain. La Banque centrale de Madagascar, en tant qu’autorité chargée de l’émission de billets dans tout le territoire malagasy, a ainsi apporté davantage d’explication concernant cette décision gouvernementale. Une conférence de presse s’est tenue hier dans son siège à Antaninarenina. « Les anciens billets ne représentent qu’une faible proportion par rapport à la quantité des monnaies mises en circulation. En effet, nous les…
Vers la fin de la cohabitation entre les anciens et les nouveaux billets. Après environ une quinzaine d'années de circulation, les coupures émises en 2003 et 2004 arrivent à la fin de leur validité le 31 décembre 2019. Le ministère de la Communication et de la Culture a mis à la connaissance du grand public, hier, cette décision. En effet, le Conseil de Gouvernement a adopté mardi dernier un décret mettant fin à la circulation de ces coupures.
« Aucune vision inclusive à long terme ». Ce sont sur ces mots que les organisations de la société civile (OSC) ont qualifié l’environnement actuel des investissements dans le pays. Effectivement, d’après eux, les « soi-disant » consultations de la population ne sont plus qu’une formalité, et non une réalité ou encore une necessité pour le bon déroulement du projet d’investissements dans les Régions concernées. « Evidemment, nous avons des politiques cadrant les investissements dans le pays. Toutefois, elles sont inadéquates au contexte national.
Tout le monde sans exception. Le bureau d’information sur le crédit (BIC) va transformer radicalement l’industrie de crédit dans la Grande île. La Banque centrale de Madagascar (BCM) en partenariat avec la Société Financière Internationale (SFI,) a organisé, hier, une conférence internationale au Centre de conférence international, Ivato. Cet évènement avait comme thème « Infrastructure financière moderne sur le partage des données : une forte valeur ajoutée à l’accès au crédit ». Cette journée était une occasion de présenter le Bureau d’information sur le crédit (BIC) qui sera opérationnel à Madagascar à partir de janvier 2020.
Donner la chance à tout le monde en matière d’obtention d’un prêt. La Banque centrale de Madagascar (BCM) travaille actuellement avec une société italienne nommée CRIF. Elles collaborent ensemble dans la mise en place du Bureau d’information de crédit (BIC). Henri Rabarijohn, le gouverneur fraîchement nommé, a détaillé de long en large cette nouvelle plateforme, hier, à Antaninarenina. D’un côté, l‘existence de ce système d’information facilite le travail des banques et des microfinances puisque ces derniers possèdent des données plus élaborées sur la solvabilité de leurs clients. D’un autre côté, les personnes non bancarisées peuvent obtenir du crédit même si…

Fil infos

  • Futur coach des Barea - Des noms circulent…
  • Meurtre de Miley
 - Les présumés auteurs écroués dont deux à Tsiafahy
  • Trafic de ressources naturelles - Classé parmi les crimes organisés
  • Catastrophes naturelles - Un don de 200.000 dollars octroyé par l'Union africaine 
  • Assemblée nationale - Trois projets de loi pour l’approbation de prêts adoptés
  • Animaux sauvages confisqués en Thaïlande - Rapatriement effectif cette semaine
  • Municipales à Antananarivo - La Diaspora solidaire avec les électeurs
  • Marc Ravalomanana - Insolent un jour, insolent toujours
  • ACTU-BREVES
  • Opposition - Le torchon brûle entre les ex-leaders du « hetsika fotsy »

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La lutte continue !
    « Orange Day ». La journée internationale de sensibilisation de la lutte contre les violences basées sur le genre se tenait ce lundi 25 novembre. Une mobilisation générale sous la houlette de la Première dame, Mialy Rajoelina, visant la conscientisation sur les méfaits de cet anachronique délit, a eu lieu dans tout Madagasikara, au Kianjan’ny hira gasy, Ampefiloha pour Antananarivo. Etant entendu qu’il s’agit une Journée mondiale, des mouvements de sensibilisation parfois même de contestation contre les violences basées sur le genre ont été constatées à travers les grandes villes du monde. Paris, New-York, Londres et bien d’autres ont vu des manifestations logées à la même enseigne. Les femmes, de toutes les couleurs, de race, de religion, ont battu les pavés des grandes capitales pour dénoncer ce qu’il convient d’appeler les féminicides. Une nouvelle terminologie pour immoler sur l’autel de la justice humaine cette honteuse et désuète pratique.A Madagasikara, l’inusable…

A bout portant

AutoDiff