Economie

La protection sociale au centre des discussions. Fénérive-Est a accueilli un atelier de formation y afférente, la semaine dernière. Cette session résulte du partenariat entre la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) et la Direction nationale des écoles catholiques (DINEC). Une occasion pour la centaine de participants, constitués d’éducateurs et de parents d’élèves, de s’informer sur le Code du travail et celui de la protection sociale, y compris les textes régissant les entreprises privées dont les écoles.
La bancarisation fait son effet. 30 000 crédits ont été débloqués pour cette année contre seulement 24 000 pour l’année dernière, à la même période, soit une hausse de près de 30 %. Tels sont les chiffres présentés par la BNI Madagascar, samedi dernier, lors du lancement officiel de son crédit à la consommation dédié aux fêtes de fin d’année. « Ces chiffres sont très encourageants. Effectivement, nous constatons que de plus en plus de consommateurs demandent des crédits auprès de leur banque. D’une part, il y a notamment l’allègement des procédures administratives, facilitant ainsi les démarches pour tous les…
L’Aviation civile de Madagascar (ACM) a organisé samedi dernier un salon des métiers de l’aviation au Canal Olympia Andohatapenaka. L’objectif consiste surtout à sensibiliser la nouvelle génération aux métiers de l’aviation. En effet, Madagascar a décidé d’ouvrir son ciel aux compagnies aériennes venant des quatre coins du monde. Cette initiative requiert alors la formation des relèves pour les années à venir. « L’Open Sky favorise l’arrivée des 500 000 touristes dans notre pays. Il est alors important de préparer des relèves dans le domaine de l’aviation.
20 milliards de dollars. Tel est la somme annuelle que rapporte le golf sur le marché international du tourisme sportif. Alors que Madagascar, dans le cadre de la redynamisation de son secteur touristique, s’ouvre un peu plus vers le tourisme sportif, il a le privilège d’accueillir pour la première fois la finale du « Staysure Tour », un éminent tournoi international de golf. Une vraie aubaine à exploiter, entre le coup de projecteur international pour la destination et les répercussions sur les activités des opérateurs hôtelliers et les restaurateurs. D’ailleurs, durant une semaine, plus d’une cinquantaine de joueurs de golf…
Une révision profitable à tous. Pour cette année, le ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche a procédé à la révision des contrats de pêche avec les différentes entités et pays concernés. « Avec cette révision, nous voulons surtout que ces contrats de pêche s'alignent avec la politique de l'Etat. Effectivement, les redevances de pêche sont considérées moindres en comparaison avec la production. C'est pour remédier aux points de ce genre que nous avons tenu à revoir tous les contrats. En tout cas, à ce jour, nous sommes en train de finaliser la partie technique de cette révision.
En besoin de production de masse. Madagascar compte actuellement plus de 25 millions d'habitants. L'université d'Antananarivo en collaboration avec le Syndicat des industries de Madagascar (SIM) organisent en ce moment le salon de la recherche au service de l'emploi et de l'économie au Carlton Anosy. L'événement a été honoré par la présence du Premier ministre Ntsay Christian et le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Blanche Nirina Richard ainsi que le président de l'université d'Antananarivo Mamy Ravelomanana.
En cours d’examen au Sénat. Le projet de loi de Finances (PLF) 2020 crée en ce moment une grande polémique auprès des opérateurs locaux. Les discussions portent surtout sur la taxation sur la valeur ajoutée du maïs et du blé. Les professionnels de l’agriculture et de l’élevage craignent une éventuelle hausse de prix de ces produits et de leurs dérivés comme la provende. Questionné sur le sujet hier à Antaninarenina, monsieur Germain, directeur général des impôts (DGI), affirme le contraire. Selon ses dires, cette taxation n’impacte pas le prix du maïs sur le marché intérieur.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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