Economie

Potentiel à exploiter. C’est de cette manière que les deux parties, dont l’ambassadeur de l’île Maurice et le ministre du Commerce malagasy, ont décrit les possibilités d’ouverture du marché qui pourraient se concrétiser entre les deux îles sœurs, à l’occasion d’une visite de courtoisie effectuée par l’ambassadeur, hier à Anosy dans les locaux du ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation. Les deux dignitaires ont ainsi discuté des opportunités d’échanges commerciaux fiables entre les deux pays où il y aurait du bénéfice pour les Malagasy comme pour les Mauriciens. A titre d’exemple, l’ambassadeur a mentionné le cas des…
Croissance structurellement limitée. C’est de cette manière que la Banque mondiale décrit la conjoncture actuelle concernant le développement de la Grande île. Selon elle, même dans les meilleures conditions, Madagascar devra encore attendre près de 70 ans avant d’atteindre le niveau de vie actuel du Rwanda. Un constat exposé par cette institution dans une note détaillant une vue d’ensemble du pays. « Le capital humain à Madagascar se classe parmi les plus faibles du monde.
Les intérêts des planteurs de la vanille verte figurent parmi les priorités. C’est dans cette optique que la décision de fixer le prix minimum du kilo de cette denrée verte à 75 000ar a été prise par le ministère après concertation avec le conseil national. Pour ce faire, vendredi dernier, cinq membres du Gouvernement ont rencontré des acteurs de la vanille dans la Région de SAVA à Sambava à savoir le ministre de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, le ministre de la Justice, le ministre de l'Agriculture et de l'Elevage…
Le terme « digitalisation » est devenu commun dans le monde de l’entreprise. Les dirigeants d’entreprise, les conférenciers, les pouvoirs publics et autres acteurs de l’économie l’utilisent fréquemment. Ainsi, à l’occasion de la célébration de la Semaine de l’Europe, une table ronde axée sur la digitalisation au service de l'environnement des affaires à Madagascar a eu lieu.
Andoharanofotsy et ses alentours, Ambohimangakely et ses environs, Analamahitsy et ses environs, Analakely et ses alentours ou encore Itaosy et tout l’Atsimondrano. Aucun quartier n’est épargné par les « coupures d’électricité programmées ». En plus des tracas déjà causés par les incidents d’Andekaleka en début d’année, les périodes d’étiage sont toujours délicates pour la JIRAMA. Car elles riment souvent avec le délestage qui est, pour un bon nombre d’abonnés de la JIRAMA, synonyme de moment difficile à surmonter. Bon nombre d’usagers se plaignent des coupures intempestives ou de baisse de tension, depuis le début de cette semaine et ce, dans…
Lésé. C’est ce que ressent l’ensemble des petits producteurs et coopératives de planteurs de vanille des Régions Sava et Analanjirofo qui viennent de s’exprimer, hier à Antaninarenina, en adressant une lettre ouverte à toutes les personnes responsables de cette filière, à commencer par les hautes autorités jusqu’aux ministères concernés. « D’après les textes décrivant la structure des membres composant les conseils régionaux et nationaux pour la promotion de la filière, nous nous retrouvons en situation d’infériorité numérique quant au nombre de nos représentants.
Si l'annonce passe crème du côté du fonctionnariat, les explications du Chef de l'Etat sur les hausses respectives de 25, 13 et 5% selon les catégories sont claires pour les employés de la fonction publique. Pour ceux du secteur privé, l'Etat laisse le soin aux patrons et selon leur possibilité de définir le taux de cette augmentation du salaire. Cependant, l'enthousiasme chez certains employés, en entendant cette annonce, pourrait être coupé net si jamais leurs employeurs ne sont pas en mesure de couvrir cette augmentation tant attendue à cause d'une trésorerie encore en plein redressement pour la plupart.

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Editorial

  • Visite d’Etat
    Le pays s’apprête à accueillir une visite d’Etat. Dans une ambiance effervescente, la Grande île se prépare à recevoir sur le sol malagasy, en visite d’Etat, le Président français Emmanuel Macron le 23 avril. Ce sera le 5ème voyage officiel d’un Chef d’Etat français à Madagasikara mais il s’agit cette fois-ci d’une visite d’Etat. On entend par « visite d’Etat, un voyage officiel d’un Chef d’Etat souverain dans un pays souverain suite à l’invitation officielle du Chef d’Etat d’un pays souverain. C’est le plus haut niveau protocolaire d’un voyage officiel qu’effectue un Chef d’Etat à l’extérieur. Selon le protocole français en matière de visite ou voyage du Chef d’Etat, il existe trois sortes de voyage : le voyage officiel (d’Etat éventuellement), le voyage de travail et le voyage privé. Le général de Gaulle effectua un voyage officiel à Madagasikara en 1958. Il ne s’agissait pas d’une visite d’Etat du fait…

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