De l’air pollué. De l’ambiance politique viciée. Jusqu’à quand le pays devra-t-il subir l’emprise de cette atmosphère invivable sinon absurde qui, à la longue, frise le ridicule ? Au propre, l’air que l’on respire à Antananarivo et environs s’écarte des normes viables. La pollution gâche l’atmosphère. Certes, on n’atteint pas encore le niveau critique des grandes agglomérations industrielles en Europe ou en Asie mais il se trouve que l’air devient de plus en plus malsain. Au figuré, la conjoncture politique se dégrade. Au stade où nous en sommes, le phénomène risque de dégénérer en rythme incontrôlable. Et le plus alarmant…