En vingt ans de règne sans partage, l’Amiral Didier Ratsiraka gavait le peuple l’espoir un jour d’un « paradis socialiste ». Chaque jour que le Bon Dieu fait, les dirigeants et les prosélytes de l’idéologie socialiste à la doutchéenne du régime AREMA de Ratsiraka arpentaient monts et vallées à travers le pays pour « évangéliser la bonne nouvelle » d’un paradis sur… terre. Lequel paradis qui n’est autre que l’aboutissement de la lutte révolutionnaire, le « Tolom-piavotana ».
Ces derniers jours, le traitement des cas symptomatiques au niveau des Centres de santé de base, niveau II (CSB II) devient un sujet polémique sur les réseaux sociaux. Nombreux se plaignent de l’absence des médicaments ou encore de la défaillance, sans parler de la non gratuité du traitement. « Les CSB II ne sont pas censés effectuer des analyses pour identifier si le patient est atteint du coronavirus. Ceci dit, notre attribution porte sur le traitement symptomatique dont le renforcement du système immunitaire avec de la vitamine C.
Un nouveau prix affiché. Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) a annoncé, hier, le prix de référence du kilo de la vanille préparée durant cette nouvelle campagne 2020-2021. Une légère baisse a été constatée car le prix à l’exportation passe de 350 à 250 dollars, soit une diminution de 100 dollars, tandis que le tarif sur le marché national s’élève à 650 000 ariary s’il était de 900 000 ariary l’année dernière, soit une réduction de 250 000 ariary.
Un délai de grâce accordé. Trois-quarts des sinistrés recensés au site d’hébergement dans l’enceinte de Ny Havana aux 67Ha, soit plus de 800 personnes, s’y abritent encore. Et cela, un mois après le tragique incendie survenu le 22 juin dernier à Andohatapenaka, à l’issue duquel un millier de personnes réparties dans plus de 300 familles ont perdu leurs habitations et la majorité de leurs biens. « Ces sinistrés aurait dû quitter les lieux 10 jours après le drame si l’on se réfère au plan de contingence national.
Exploiter les avantages des technologies. Depuis le début de la lutte contre la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays, l’événementiel a été parmi les premiers secteurs impactés. Avec l’annulation des concerts, des spectacles, des divers salons, sans oublier les mariages, le secteur se retrouve aujourd’hui en grande difficulté. Toutefois, son cas est rarement abordé. Pour faire face à cette situation, les opérateurs ont ainsi étudié au cours des derniers mois, la possibilité d’organiser des salons sur la toile.
Comme il fallait s’y attendre, les détracteurs du Covid- Organics ou CVO n’ont pas manqué de se servir de l’augmentation du nombre de nouveau cas et de décès liés au nouveau coronavirus pour clouer au pilori ce remède traditionnel amélioré développé par l’IMRA (Institut malagasy de recherches appliquées) dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid -19.
Tinoka Roberto s’est déplacé à Morondava le lundi 21 juillet. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, coach de la Province de Toliara, a remercié les acteurs mais également porté un message d’espoir. Il est allé à la rencontre des acteurs du territoire, du centre de commandement régional. La délégation était venue avec de matériels et des médicaments pour les soins médicaux.
C’était dans l’air du temps. C’est désormais acté. Le partenariat stratégique entre Air Madagascar et Air Austral est désormais de l’histoire ancienne. Le mariage officialisé en grande pompe entre les deux compagnies vers la fin du deuxième semestre de l’année 2017 aura donc duré deux ans. Selon une source proche du dossier, la résiliation du pacte d’associés, de l’accord de partenariat et du contrat de cession de créances, a été signée hier, avec d’un côté Air Austral Invest et le Groupe Rajabali, et de l’autre, Air Madagascar, le ministre de l’Economie et des Finances, le ministre des Transports, la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNAPS), ainsi que le directeur général par intérim d’Air Madagascar. Entamées par la partie malagasy, les démarches ayant abouti à ce divorce ont démarré en fin d’année dernière. Au moins une vingtaine de réunions ont précédé la signature de cette séparation.
« Avec la volonté de tout un chacun, on y arrivera »
La critique reste aisée et les solutions face à la pandémie de coronavirus ne courent pas les rues. Mais notre pays très vulnérable socialement et économiquement est en danger. A ceci s'ajoute la présence du paludisme, de la peste et tout le reste. Il est donc de notre devoir en tant que citoyen de cogiter pour sortir de cette crise sans trop de dégâts. "Ny hevitry ny maro no mahataka-davitra", comme dirait le dicton.