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Pas de suite ou du moins pour le moment. L’interdiction d’entrée et d’utilisation des marmites « made in Madagascar » et d’autres ustensiles dont les poêles et louches créés à partir du plomb à La Réunion, et cela pour des raisons de santé, n’a pas encore eu l’effet escompté à Madagascar, notamment du côté des autorités. Au lendemain de cette annonce qui faisait suite à une dizaine de prélèvements officiels aléatoires sur des ustensiles de cuisine en aluminium en provenance des fonderies de Madagascar, effectués par les agents de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes du pôle C au sein de la Direction des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIECCTE), le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) - par le biais  de la Direction du commerce - a affirmé que l’Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN)  va effectuer une contre-étude de cette thèse réunionnaise.

Nuisible héritage

Publié le mardi, 15 octobre 2019

JIRAMA continue de sévir. Les menaces de délestage planent toujours et assènent aux moindres couacs. Et à la fin du mois, à titre de compensation, on vous présente une facture … salée. Quelles que soient les explications ou excuses avancées, par réseaux sociaux ou communiqués interposés, les usagers souffrent et continuent d'en pâtir. Pire, ce n'est pas encore pour demain la veille de la délivrance. Et on est bord d'une explosion.

 

Valoriser la culture de l’excellence. C’est dans cet esprit que Ciel Textile organise chaque année depuis plus d’une décennie, le « Chairman’s Manufacturing Excellence Awards » (CMEA).  L’idée étant de récompenser l’expérience de ses collaborateurs pour le travail accompli tout au long de l’année. Effectivement, le groupe a compris que le fait de miser sur son capital humain peut apporter de nombreux bénéfices. « Nous avons pris conscience que nos collaborateurs travaillent mieux quand ils aiment ce qu’ils font et que leurs efforts sont appréciés à leur juste valeur. Ainsi, nous avons mis notre capital humain au centre de toutes nos activités.

Du 9 au 11 octobre dernier, Madagascar a participé à l'édition 2019 de l'« Youth Connect Africa » (YCA) à Kigali, Capitale du Rwanda. Cette grande réunion d'envergure internationale a notamment été une occasion pour près de 2 500 participants en provenance de 13 pays différents de discuter de l'entrepreneuriat et de la contribution des jeunes au développement. « Pour cette édition, outre l'entrepreneuriat, l'YCA a aussi été une occasion pour discuter de la place des femmes et de leurs droits mais également l'avenir des jeunes.

L’enquête sur la fuite de sujets du baccalauréat 2019 est loin d’être close. La Gendarmerie à qui l’affaire a été confiée continue de fouiller partout afin de trouver la source de la fuite qui, en se référant à des informations glanées ici et là, ressemble plutôt à une déstabilisation. A preuve, le directeur des examens nationaux est accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Dès l’éclatement de la fuite, le ministre de l’Enseignement supérieur a pointé du doigt ce haut responsable de par ses comportements.

Les cas de Hasimpirenena Rasolomampionona, député élu dans le District de Fandriana sous les couleurs de l'IRD, et Raveloson Ludovic Adrien alias Leva, député élu à Mahabo sous une liste indépendante, devraient être étudiés durant l'actuelle session ordinaire du Parlement. Une commission mise sur pied à l'Assemblée nationale pourrait leur permettre de recouvrer la liberté en attendant la décision de justice sur leurs cas respectifs. Le premier, épinglé dans une affaire de corruption dans la vente d'un domaine public, et le second,  accusé de détention illégale d'arme, ont en effet été jetés en prison, durant la campagne électorale pour les législatives.

Route Nationale 44 - Fin du cauchemar en 2021 !

Publié le mardi, 15 octobre 2019

C’est officiel ! Les travaux de bitumage de la RN44 reliant Moramanga et Ambatondrazaka ont débuté hier à Morarano Gare, Moramanga. 18 mois, telle est la durée annoncée pour l’ensemble des ouvrages. De plus, les dépenses liées aux premières étapes de cette réhabilitation seront directement prises en charge par l’Etat malagasy. Le cauchemar se terminera donc définitivement en 2021 pour les usagers de cet axe routier. Depuis les régimes qui se sont succédé dans le pays, le Président Rajoelina est le seul à concrétiser la promesse de réhabilitation de cette voie nationale.

 

LA UNE DU 16 OCTOBRE 2019

Publié le mardi, 15 octobre 2019

Mais jusqu’à quand ? Cette question revient sans cesse dans la bouche des passagers de la compagnie aérienne nationale, Air Madagascar et de sa filiale domestique « Tsaradia ». Les usagers commencent notamment à en avoir marre de la situation actuelle du transport aérien dans le pays. Effectivement, deux années se sont déjà écoulées depuis la signature de la convention de partenariat stratégique entre Air Madagascar et Air Austral. Mais jusque-là, aucun changement à l’horizon pour la compagnie nationale malagasy, que ce soit en termes de tarifs, de qualité de services ou encore de diversification des services proposés aux clients. Et les usagers sentent bien ces lacunes. « Les prix des billets pratiqués par "Tsaradia" sur les vols internes sont vraiment exorbitants. Pourtant, la qualité des services laisse à désirer, les vols sont toujours annulés ou retardés. Il y a toujours des surprises désagréables par rapport à ce qui a été prévu. Et nous, en tant que clients, nous commençons vraiment à perdre patience. En fin de compte, ce partenariat avec Air Austral n’a apporté rien de bon pour notre compagnie », a dénoncé le député Thierry Siteny, sur les réseaux sociaux. Et il n’est pas le seul. En tout cas, ces plaintes sont justifiées. Pour un billet aller-retour « Antananarivo-Antsiranana-Antananarivo », un passager devra payer aux environs de 1 568 900 ariary ou à peu près 392 euros, pour seulement deux heures de vol. Un prix fort payé étant donné que pour un vol « Paris-New York-Paris », un billet aller-retour coûte 425 euros pour huit heures et demie de vol. Une différence de seulement 33 euros alors qu’il y a un écart de plus de six heures de voyage. Il en va de même pour les vols régionaux.

C’est une alliance inédite. Le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et la société HITA (Huilerie Industrielle de Tamatave) ont annoncé avoir conclu un partenariat public-privé durant les Jeux nationaux du sport scolaire (JNSS). Au terme de ce partenariat, HITA fournira les rafraîchissements tout au long de cette compétition et les lots aux gagnants (1ère place et 2ème place). Par ailleurs, dans le cadre du partenariat public-privé, ladite société accompagnera le MENETP dans d’autres projets (infrastructures et kits scolaires). Un grand carnaval a fait le tour de ville le dimanche 13 octobre, avec les représentants de chaque délégation issue des 22 régions.  Hier, le PDS de Toamasina a remis les clés de la ville du Grand port au ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et professionnel, Marie Thérèse Volahaingo, pour marquer l’ouverture officielle des JNSS 2019 qui s’y dérouleront du 14 au 20 octobre.
 

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Editorial

  • « RIZ Plus »
    Loin des tam – tam, des bling – bling, des folklores propagandistes et surtout des séances de photogéniques en vogue, malheureusement ces temps-ci, des évènements d’intérêts cruciaux pour l’avenir immédiat, à moyen terme et à long terme du peuple malagasy, se passent à travers le pays. Le projet RIZ Plus ou projet de productivité et de résilience des moyens de subsistance ruraux fait son bonhomme de chemin. Il contribue à l’objectif essentiel à savoir « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable » dans le cadre de l’Objectif de développement durable (ODD) diligenté par l’ONU et s’inscrivant directement dans la Politique générale de l’Etat (PGE) autrement dit « l’autosuffisance alimentaire ».

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