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Feux de forêt - Nette régression observée

Publié le mardi, 29 novembre 2022

Les feux de forêt semblent reculer en cette fin de mois de novembre. En effet, les zones à risque élevé ne se trouvent plus que dans les localités où règnent la sécheresse et le manque de précipitations. Les Régions du nord, de l'est, du nord-ouest et toute la partie centrale de Madagascar sont actuellement dans le vert.

Les personnes handicapées sont encore dans la catégorie des personnes qui ne bénéficient pas de leur plein droit à Madagascar. En effet, il est observé au quotidien que les enfants handicapés sont encore les cibles de discrimination de la part de leurs amis à l’école. Par ailleurs, beaucoup de personnes handicapées peinent à monter dans les transports en commun ou se voient tout simplement le refus d’accès dans un taxi-be, sous prétexte qu’elles retardent le départ du véhicule.

Toujours en marche !

Publié le mardi, 29 novembre 2022

Qui dit que le train reste bloqué à quai ? Négatif ! Il n’a jamais été question qu’il soit coincé dans une gare quelconque. Le train à grande vitesse, le TGV, roule toujours. Au figuré tout comme au propre, le Tanora MalaGasy Vanona (ou Vonona), le TGV, vit bien au féminin et au masculin en sa qualité de locomotive du régime Orange.

Mettre en relation les agents économiques détenant un excédent de capitaux et ceux qui ont des besoins de financement. C’est à partir de cette description sommaire que se tient présentement la première série de table ronde sur le développement des marchés des capitaux à Madagascar qui a débuté aujourd’hui à Alarobia en présence du ministre de l’Economie et des Finances (MEF), du gouverneur de la Banque centrale de Madagascar (BFM), du représentant résident de l’IFC (Société financière internationale), ainsi que du représentant résident du FMI (Fonds monétaire international).

Anisha est devenue une autre personne depuis qu’elle a remporté la finale de la « Star Academy 2022 ». Une finale qui a été disputée entre deux grandes voix. Mais c’est la candidate malagasy qui a touché le cœur de nombreux téléspectateurs français et a convaincu les diasporas malagasy à voter pour elle grâce à la chanson « Hallelujah » de Léonard Cohen, un morceau qu’elle a interprété avec brillance et émotion. Aussi, le résultat annoncé par l’animateur Nikos Aliagas était sans appel : 57 % des suffrages pour Anisha, 43 % pour Enola - sa concurrente. 

Un scandale peut en cacher un autre. Cette expression résume ce qui se passe au sein de la JIRAMA. Alors que plusieurs affaires sombres au sein de la JIRAMA viennent de passer au niveau du Parquet du Pôle anti-corruption, notamment celle des primes exceptionnelles exorbitantes, un autre scandale vient éclabousser cette société.

Il y a trois semaines de cela, un homme d'une soixantaine d'années, propriétaire d'un cash point à Ampitatafika, avait été attaqué par des bandits au moment où la victime et sa fille de 39 ans allaient rentrer. L'agression a coûté la vie au sexagénaire qui a reçu un coup de couteau. Depuis, la Gendarmerie a ouvert une enquête et cela a abouti à l'arrestation d'un suspect dans l'affaire, deux jours après les faits. La poursuite de l'enquête a révélé que l'assassinat aurait été commandité par le propre fils de la victime. « Le suspect a refilé un renseignement à propos de son père et de sa sœur, ainsi que la somme censée être trouvée sur elle ».


Encore plus ambitieuse, l’Association Pachamama, la mère du club RCTS (Rugby Club de Soavimasoandro), sise à  Imamba Soavimasoandro, sera dotée d'un complexe sportif.  Cette nouvelle a été officialisée par le président du club Avotra Andrianarisoa lors de l'habituelle journée des partenaires à  Soavimasoandro, chaque mois de novembre.
Cette année, la  cérémonie a été honorée par  l'ambassadeur de France à Madagascar, Arnaud Guillois et la vingtaine de partenaires de l’association notamment les Français résidents à Madagascar. Aujourd’hui,  RCTS est composé de 410 membres de 5 à 17 ans et de la catégorie senior hommes et dames. Ils sont 350 assidus à l’entraînement et aux activités éducatives organisées par le club à l’école de rugby et plus de 180 dans le club. Ces membres sont encadrés par 15 éducateurs bénévoles.
 Par ailleurs, les membres sont issus de tous les quartiers de la Capitale, d’Ambohidratrimo à Tanjombato, aux alentours de Soavimasoandro, Ilafy Ambohitrarahaba ainsi qu’Ivandry et Ankorondrano.
« Nos membres sont nourris dans notre centre deux fois par semaine. Et ce sont nos partenaires qui nous aident financièrement et matériellement. Notre budget de fonctionnement tourne autour de 40 millions d’ariary tous les ans. Notre dépense hebdomadaire est de 400 000 ariary. Outre la cantine, nos membres bénéficient également de suivi éducatif grâce à nos bibliothèques, qui leur permettent de se cultiver,  et celui sanitaire gratuitement », précise Mamison Ratsima, trésorier de l’Association.
Les dirigeants ne font pas de stigmatisation au recrutement des nouveaux membres. Actuellement, le centre en compte 80. 
« Cette année, nous  allons construire un complexe sportif. Un terrain mixte de basketball, volley-ball et handball sera bâti à côté de celui de rugby. Cela aidera les éducateurs à orienter les enfants vers d’autres disciplines en cas d’inondation de notre terrain de rugby notamment en cette saison de pluies», explique Daniel, le manager general de l’Association. En ce qui concerne le dispensaire, l’Association attend toujours son titre foncier pour pouvoir commencer la construction.
 RCTS veut encore remplir son armoire de trophées. Cette année, les dames ont été sacrées championnes de Madagascar D2 et les hommes champions de la section Andrefan’Iarivo et champions de Madagascar D1. Une grande première depuis 1999. En effet, à l’époque, RCTS portait encore le nom de Akon’i Soavimasoandro Tanora Firaisan-kina avant de changer de nom en 2000. RCTS va célébrer ainsi son 25ème anniversaire en 2025.
Elias Fanomezantsoa

La une du 29 novembre 2022

Publié le lundi, 28 novembre 2022


La culture urbaine, plus précisément le genre musical populaire « hip-hop » a connu son apothéose dimanche dernier. Une cérémonie au cours de laquelle plusieurs acteurs de la danse ont reçu des médailles d’honneur et de mérite. En effet, l’Arena Ivandry a été le lieu de rassemblement de tous les adeptes de la culture urbaine lors l'événement « African Championship Breaking ». Il s’agissait d’une compétition de danse « hip-hop » avec la participation de 11 pays d'Afrique et de l'océan Indien. Durant ce concours, bon nombre de jeunes danseurs malagasy ont représenté la Grande île. Ils ont montré leurs compétences.
La compétition a été répartie en quatre catégories bien distinctes. Dans la foulée, les représentants de Madagascar ont raflé les trois premières places dans les catégories B-Girl, B-Kid et Crew. Nicki a gagné la première place, suivie de Saphyrah et de Nomena dans la catégorie B-Girl. Dans la catégorie B-Kid, ce sont Erica, Njara et Trykking qui ont pris le podium d’assaut. En danse de groupe ou Crew, Moustik Crew et Baobab Crew ont dominé la compétition. Par contre, le Sénégalais EM a pris le premier trophée du concours B-Boy, s’ensuivent les deux Réunionnais Energy et Noahm.
A souligner que la manifestation était placée sous l'égide du ministère de la Communication et Culture. Aussi, à l'issue de cet événement, le grade de Chevalier de l'Ordre des arts, des Lettres et de la Culture a été décerné à sept danseurs et chorégraphes hip-hop. Neuf autres danseurs ont également reçu le grade d’Officier de l'Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture et trois autres ont été intronisés au grade de Commandeur de l'Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture, à savoir Angeluc Rehava, Herilantoniaina Ratsimbazafy et Haingomalala Ratsimbazafy.
Hip-hop
Aujourd’hui, la danse « hip-hop » qui fait partie de la culture urbaine est très appréciée par le public, surtout les jeunes. Par ailleurs, ce genre de musique populaire est pratiqué à Madagascar depuis 39 ans. Il s’agit d’une culture qui essaie toujours de prendre sa place et de réunir le monde de la danse, rendre hommage à la danse, célébrer son universalité en franchissant toutes les barrières politiques, culturelles et ethniques, rassembler l’humanité toute entière en amitié et paix autour de la danse qui est un langage universel. « La culture est un secteur qui contribue énormément au développement d’un pays. C'est pourquoi nous nous sommes fixé des visions et des objectifs à long terme, en privilégiant davantage les jeunes ayant du talent », a déclaré la ministre de la Culture et de la Communication, Lalatiana Andriatongarivo lors de la cérémonie.
Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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