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Le 5 août dernier, le groupement de gendarmerie d'Analamanga, a reçu l'alerte sur le kidnapping d'un résidant indien mais de nationalité française à Ankadivato. L'affaire a échappé à l'opinion et à la presse parce que la famille de l'otage n'a pas voulu porter plainte. Récemment, les recherches que les gendarmes ont menées depuis, ont permis le coup de filet sur les 11 auteurs supposés de l'enlèvement. Les Forces de l'ordre ont pu remonter leur piste dont certains ont été arrêtés jusque dans la Région d'Amoron'i Mania.

 

Depuis le mois de février dernier, les quartiers et les ruelles défavorisées considérés comme plus ou moins dangereux et où les malfaiteurs règnent, ont été sécurisés de jour comme de nuit par des policiers militaires (PM). Toutefois,  des faux patrouilleurs y opèrent en même  temps  que ces éléments. Et ces personnes malintentionnées profitent de la situation pour détrousser  les personnes se trouvant sur leur passage. De nombreuses plaintes y afférentes sont publiées sur le réseau social  Facebook mais ne sont rarement rapportées au niveau des postes des Forces de l’ordre. Cependant, pas plus tard que la semaine dernière, un homme de 31 ans,  prétendant être un sergent-chef, a été interpellé par une patrouille de l’Armée dans le secteur d’Isotry.

En urgence !

Publié le lundi, 26 août 2019

Fait rarissime. Le Président de la République adressa individuellement une lettre à chaque membre du Gouvernement. Une communication rarissime de la part d'un Chef de l'Etat, patron de l'Exécutif, aux premiers responsables du Gouvernement. En effet, de par cette « missive » spéciale du moins unique en son genre pour ne pas le dire insolite, Rajoelina Andry Nirina en tant que Premier Responsable de la destinée de la Nation, attire l'attention des ministres sur la situation plus que dramatique dans laquelle la population vit et qui exige, par la suite et sans attendre, des actions urgentes. Tel un patient gravement atteint d'une terrible maladie ou d'une gangrène admis aux Services de réanimation nécessite impérieusement des traitements en urgences.

 

Colères, rages, incompréhensions. Tous les sentiments se démêlent concernant les services offerts par les opérateurs mobiles. Certains utilisateurs se plaignent aussi bien sur les réseaux sociaux que durant leurs conversations quotidiennes. Ils pointent du doigt les téléopérateurs mobiles de voleurs de crédit. « Mon crédit diminue sans raison alors que je n’ai pas souscrit un forfait. Le même cas se produit pour les forfaits Internet lorsque j’active mes données mobiles », explique une dame. 

 

Depuis 2016,  la Convention sur le commerce international des espèces de faune et flore sauvages menacées d'extinction (CITES) a décidé de durcir les sanctions de Madagascar face à l'inertie du Gouvernement dans la lutte contre le trafic de bois de rose, en interdisant à 181 pays d'acheter ces ressources exploitées illicitement. Suite aux efforts déployés par les autorités depuis le début de l'année, une délégation malagasy a donc participé à la 18ème session de la Conférence des Parties de la  CITES et la 70ème réunion du comité permanent, qui a débuté le 17 août dernier, à Genève.

Doter  une Maison de la culture chaque province. Ce défi à réaliser par le ministère de la Communication et de la Culture est inscrit noir sur blanc dans le contrat programme de la ministre Lalatiana Andriatongarivo Rakotondrazafy avec le Président de la République et le Premier ministre. Ce projet culturel entre en plus dans le cadre des 13 « velirano » émis par le Président Rajoelina durant la campagne électorale.

LA UNE DU 27 AOUT 2019

Publié le lundi, 26 août 2019

Fosa Juniors FC de Madagascar se qualifie pour  le second tour de la ligue des  champions de la Confédération  africaine de Football (CAF)  malgré son match nul face aux Pamplemousses SC de Maurice. Les deux équipes se sont quittées sur le score de parité d’un but partout (1-1) à l’issue du match retour qui s’est tenu ce dimanche 25 août  au stade Anjalay Belle Vue à Maurice. Les Mauriciens ont ouvert le score à la 11ème minute sur un but de Fabrini Raza. Les « Fosa » ont tenté de riposter mais la finition des attaques reste sans conviction pour Jean Yves et ses camarades. Baggio, Maso et Dah Hery ont toujours créé des occasions de but à partir du milieu du terrain, mais ils échouent face à Kevin, le gardien de but mauricien. Les deux équipes se sont quittées à l’avantage de Pamplemousses SC (1-0) à la pause.  Au retour des vestiaires, les Fosa Juniors continuent d’entamer le match par une nette domination.

Grogne des entreprises. La majorité des étudiants issus des universités et instituts supérieurs privés effectuent des stages d’observation, d’imprégnation ou d’embauche dans des entreprises, à partir de la 1ère année jusqu’en 4è ou 5è année, selon les objectifs fixés. Pourtant, le niveau de ces étudiants stagiaires laisse à désirer, voire au plus faible, si l’on tient compte des feedbacks des responsables. « Une étudiante de 3è année en communication a récemment fait un stage d’imprégnation au sein de notre rédaction. Au début, elle a pu suivre le rythme côté intégration et relations humaines mais côté technique, notamment dans la rédaction, son travail est vraiment décevant. C’est incroyable de constater qu’une étudiante en 3è année, en quête de son Licence, ne sait pas conjuguer les verbes. Sa rédaction est catastrophique, avec des phrases insensées et aucun accord », se désole un responsable auprès d’une entreprise de presse à Antananarivo. Ce cas n’est pas isolé puisque d’autres professionnels se plaignent dès l’entretien des stagiaires. « A part les diverses fautes d’orthographe dans les CV et lettres de motivation, les stagiaires ne savent même pas que faire avant et pendant les entretiens. Ils n’hésitent pas à poser des questions aux responsables, par exemple sur le contenu d’une lettre de motivation, ce qu’est un « portfolio » , nous confie un responsable des ressources humaines auprès d’une grande organisation.

« Hier, nous avons dîné au restaurant. Au moment de payer la note, le serveur nous a notifié que l'établissement n'acceptait plus les chèques en indiquant un panneau sur le mur. N'ayant pas assez de cash, on nous a conseillé de payer par carte bancaire. Et c'est à ce moment qu'est venue la surprise, puisque l'établissement appliquait une majoration de 5 % sur la totalité de l'addition pour compenser le coût d'utilisation de la carte Visa ». Face à de tel témoignage publié la semaine dernière sur le réseau social, les personnes utilisant la carte bancaire pour des opérations sont en révolte. Ils affirment que cette application de majoration ne suit pas la règle imposée par Visa elle-même. « C’est aux commerçants de supporter les frais y afférents et ils peuvent fixer un plancher d'addition pouvant être payée par carte si cela leur permet de récupérer la charge sur le volume. Et la commission n'est surtout pas de 5 %. Aucune banque locale ne l'applique. C'est à eux de payer les frais d'utilisation du terminal de paiement électronique (TPE) puisqu'ils proposent ce service, et le client n'a pas à payer de frais supplémentaires en cas de paiement par carte », martèlent les utilisateurs sur Facebook. 

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Editorial

  • « RIZ Plus »
    Loin des tam – tam, des bling – bling, des folklores propagandistes et surtout des séances de photogéniques en vogue, malheureusement ces temps-ci, des évènements d’intérêts cruciaux pour l’avenir immédiat, à moyen terme et à long terme du peuple malagasy, se passent à travers le pays. Le projet RIZ Plus ou projet de productivité et de résilience des moyens de subsistance ruraux fait son bonhomme de chemin. Il contribue à l’objectif essentiel à savoir « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable » dans le cadre de l’Objectif de développement durable (ODD) diligenté par l’ONU et s’inscrivant directement dans la Politique générale de l’Etat (PGE) autrement dit « l’autosuffisance alimentaire ».

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