Nos archives web


Un mois jour pour jour après la signature du contrat de construction de l’autoroute Antananarivo – Toamasina, une cérémonie de pose de la première pierre de cette infrastructure a lieu ce samedi dans la localité de Talata Volonondry, dans la partie nord de la Capitale malgache. L’information attendue par les observateurs a été confirmée par le ministère des Travaux publics et le gouvernorat de la Région Analamanga. Ces deux entités ont effectué une descente sur place mardi pour effectuer les derniers préparatifs avant la cérémonie de ce samedi qui verra la présence du Président de la République Andry Rajoelina.
Au risque de décevoir le député Roland Ratsiraka, la pose de première pierre va donc bien avoir lieu cette année. Cet ancien ministre des Travaux publics évoquait en effet que ce lancement serait impossible avant un minimum deux ans après la signature du contrat de construction en début du mois de novembre à Iavoloha, évoquant notamment la nécessité de faire des études ou encore des questions de financement. Des arguments qui, à l’époque, étaient déjà balayés par les autorités qui confirmaient que le chantier assuré par la société égyptienne Samcrete sera financé à hauteur d’un peu plus de 900 millions de dollars.
Preuve de la détermination de l’Etat
En outre, les études techniques ont débuté en 2020 soit depuis deux ans. Soit les deux ans jugés préalables nécessaires par Roland Ratsiraka avant toute pose de première pierre du chantier. Les équipes techniques de la firme égyptienne SAMCRETE sont sur terrain depuis plusieurs mois. Le ministre des Travaux publics d’indiquer à l’époque que les études techniques sur 50 km sont bouclées, ce qui doit permettre la pose de la première pierre. Le chantier durera quatre ans. Néanmoins, un tronçon de 80 km partant de la Capitale devrait être achevé avant fin 2023.
Ce lancement constitue le début de la concrétisation de la promesse faite à la population malgache par le Chef de l’Etat. Ce « projet d’envergure et symbolique », selon les termes du Président de la République Andry Rajoelina, sera « la preuve tangible de la détermination de l’Etat malagasy à augmenter sa vitesse d’action pour rattraper notre retard de développement et emmener Madagascar vers l’Emergence ». L’autoroute servira à la fois l’économie et le tourisme. Elle permettra de décongestionner le trafic, de gagner du temps et de réduire les coûts de transport. Avec deux voies de circulation dans chaque sens, les véhicules pourront rallier les 260 kilomètres, leur destination, en deux heures environ sur cette voie rapide, au lieu de huit heures sur la Route nationale 2. Un gain de temps et de carburant important pour les usagers.

La Rédaction

De retour !

Publié le mercredi, 30 novembre 2022

La « bête » est de retour. Le virus revient au « bercail ». Un retour en zone inquiétant. Les autorités publiques redoutent le pire. La menace d’une pandémie plane de nouveau.
Ce fut dans la ville de Wuhan, capitale de la province de Hubei (Chine), le 17 novembre 2019 que le virus de la Covid(19 a été détecté pour la première fois. Un mois après, en décembre, Covid-19 prit de l’aile et s’envole vers d’autres pays. Le virus se transmet rapidement entre humains par contacts, dans les airs, en public ou dans les endroits clos, etc. Très vite, le virus s’échappe du vaste territoire de la Chine pour se faire inviter dans le monde entier dont Madagasikara. L’intense inter-communication entre les hommes, par contact physique, sur la surface terrestre par les airs, sur terre et à travers les océans contribue à l’essor de la contamination. L’épidémie se transforme, dans un éclair de temps, en pandémie.
Madagasikara, en dépit des mesures prises à temps notamment la fermeture des frontières surtout aériennes, n’a pas pu éviter le mal. En mars 2020, le Chef de l’Etat Rajoelina devait malheureusement annoncer sur les antennes nationales la triste nouvelle, la Covid-19 « débarque » sur le territoire national. En fait, la Grande île figure parmi les pays tardivement contaminés. A partir du 20 mars 2020, le pays applique les strictes mesures pour endiguer la propagation du virus dont entre autres, le confinement total, les mesures barrières, le port obligatoire du masque, etc.
Par comparaison à d’autres pays victimes, dans la plupart des cas en Europe et aux Etats-Unis, Madagasikara a su limiter les dégâts. Toujours est-il que les effets destructifs voire déplorables de la pandémie de la Covid-19 impactent durement sur l’économie nationale. Le tourisme, étant le secteur d’activité foncièrement dépendant des aléas des transports, des situations des frontières, encaisse le plus lourd tribut. 
Les dernières statistiques font état d’une recrudescence des cas contaminés surtout les cas graves. On note aussi des premiers cas de décès. En effet, la situation épidémiologiques du 12 au 18 novembre derniers, accuse  198 nouveaux cas, ce qui ramène à 264 l’effectif des cas actifs. Trois patients présentent la forme grave notamment des difficultés respiratoires. On ne déplore pas des cas décès. Mais, les nouvelles contaminations sont en constante augmentation. Entre, 19 et 25 novembre, on enregistre 205 cas dont 194 nouvellement détectés, 5 formes de cas graves avec un décès.
Curieusement, les mois de novembre et décembre, s’avèrent plus particulièrement favorables à la contamination de la Covid-19 dans les pays au climat froid, Chine et l’Europe, également pour le pays tropicaux comme le nôtre. A chaque fin d’année, 2020 et 2021 et voilà cette année, le virus se sent vigoureux pour agresser.
Le ministre de la Santé, le professeur Zely Randriamanantany, sentant la menace qui plane, convie les concitoyens, en particulier ceux d’Antananarivo, avec la plus grande attention, à reprendre le respect des consignes de précaution comme le port du masque, les mesures barrières sans pour autant décréter des mesures obligatoires. L’heure n’est pas pour le moment d’arriver au confinement. On priorise d’abord la conscientisation individuelle en même temps la sensibilisation de masse.
La Covid-19 est de retour. Les fêtes de fin d’année approchent, soyons tous vigilants.



 L’abattement supplémentaire de l’impôt fiscal sur les propriétés bâties (IFPS) pour le compte de l’année 2021- 2022 a été adopté en Conseil municipal, hier. Depuis la distribution du papier fiscal, les contribuables se plaignent de la hausse exorbitante de l’impôt fiscal sur les propriétés bâties. Les bureaux des doléances au niveau des 6 Arrondissements de la Capitale ont reçu plus de 30 000 plaintes. Ces derniers ont avancé que la hausse devrait être effectuée par étape. Ils ont refusé de faire le paiement. Face à cette situation, des ajustements et déclassements sont effectués par la commission municipale des impôts. Conformément à la demande de l'exécutif, une réunion extraordinaire du Conseil municipal s'est tenue hier, à Analakely. Au cours de celle-ci, la modification de la délibération N°002-CUA/CM/Délib.22 portant allègement de la taxe au titre des années 2021 et 2022 pour tous les contribuables du 6e Arrondissement de la Commune urbaine d'Antananarivo a été évoquée. Toute personne ayant perçu un reçu fiscal bénéficiera de l'allégement allant jusqu’à 60%. Celui- ci est calculé à base du papier fiscal reçu par le propriétaire. Les contribuables devraient s’acquitter la somme de 10 000 ariary pour ceux qui ont eu un chiffre aux alentours de 10 000 à  100 000 ariary, 20 000 ariary pour les montants compris entre 101 000 et  200 000 ariary.
Ainsi, le président du Conseil municipal, Ralitera Andriamparany, a également confirmé que toutes les écoles et églises sont exemptées d’impôts pour le compte de l’année 2021- 2022. Si elles ont déjà perçu un bordereau de paiement, elles devraient porter plainte au niveau du bureau de doléances de la CUA.
En effet, le  porte-parole du maire de la Capitale a annoncé récemment que la dernière révision de l’impôt sur les propriétés bâties remonte à 30 ans. Les impôts qui auraient dû être payés en 1997 et 2021 ne devraient plus être les mêmes. Il y a eu un amendement à l’impôt foncier et des changements au cours des nombreuses années sans modification de la taxe foncière.
Anatra R.


10 000 Ar - 100 000 Ar : 10 000 Ar
101 000 Ar - 200 000 Ar : 20 000 Ar
201 000 Ar - 500 000 Ar : 60 %
501 000 Ar - 1 000 000 Ar : il a été envoyé à 60% s'il était à 40% avant
1 001 000 Ar - 3 000 000 Ar : envoyé à 60% s'il était à 20% avant
3 001 000 Ar - 5 000 000 Ar : 10 %
+ 5 000 000 Ar : 5 %


Les Malagasy sont réputés pour leur inventivité et leur débrouillardise. La grande capacité d’invention et d’innovation de certains émerveille plus d’un. On peut trouver des génies dans tous les domaines. Grâce à un état de connectivité mondiale toujours croissant, les sociétés sont devenues de plus en plus communicantes. Les innovations en herbe à même de résoudre des problèmes de taille ne restent pas ainsi inconnues.
Les petits génies en herbe sont légion au pays. Sur les réseaux sociaux, une publication décrivant l’invention des étudiants d’un institut supérieur privé d’Antananarivo capte l’attention. Les trouvailles consistent en la fabrication des briques à partir des papiers recyclés. Visiblement, le nouveau type de matériau de construction remplit les conditions requises par les impératifs mondiaux de lutte contre le réchauffement planétaire.
Des étudiants du même établissement d’enseignement supérieur sont en 2019 parvenus à mettre au point un procédé de production de carburants à base d’urine d’origine humaine et animale. Le but de la démarche était de contribuer à la résolution de la crise énergétique en valorisant les déchets naturels. Pour arriver au résultat, ils avaient besoin seulement de dispositifs simples fabriqués à partir des objets de récupération.
A l’université d’Antsiranana, une équipe d’enseignants-chercheurs ont inventé des batteries fonctionnant avec de la mer. A l’aide de procédé inventé par ces polytechniciens, la mer peut donner de l’électricité. Il s’agit d’une énergie propre et renouvelable répondant aux recommandations de l’Accord de Paris qui préconise une économie mondiale décarbonisée.
Certes, la mise au point de certaines innovations technologiques dont la consommation est tant préconisée aujourd’hui sont énergétivores et destructrices de l’environnement. Par exemple, la production des produits de la haute technologie utilisant le nickel, le cobalt, la terre rare et autres minerais extraits des gisements dans les pays pauvres la plupart du temps y laissent des dégâts écologiques importants.
Des solutions locales pour les problèmes mondiaux existent dans ces mêmes pays. Les trois occurrences évoquées ci-dessus ne sont que des exemples parmi tant d’autres. Elles démontrent, à elles toutes seules, l’immensité de la richesse d’un pays comme Madagascar en matière d’innovation. Mais les événements spéciaux comme les salons de la recherche ou les foires sont les rares occasions d’entendre parler des trouvailles des génies malagasy.
La pertinence sociale de la recherche, selon le jargon scientifique, ouvre des débats passionnés de temps à autre. Les chercheurs sont accusés de tous les mots et de tous les maux aussi. Ils sont même des fois considérés comme des « inutiles ». L’assertion célèbre du sociologue français Emile Durkheim disant que « les recherches ne méritent pas une heure de peine si elles ne devaient avoir qu’un intérêt spéculatif » ne sera jamais périmé.
Depuis en 2014, l’université d’Antananarivo et certaines autres ont joué les pionnières des salons de la recherche pour exhiber les prouesses des chercheurs et inventeurs locaux afin de les faire connaître auprès du public et des investisseurs potentiels éventuels. En effet, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avec ses partenaires ont lancé depuis 2015 le processus d’élaboration d’une stratégie pour une meilleure employabilité des diplômés de l’enseignement supérieur.
Effectivement, du côté de Fiadanana, la direction générale de la Recherche scientifique s’évertue à mettre en place la « Maison de la recherche ». La structure sera destinée à collecter à un seul endroit les produits de la recherche. Les intéressés seront invités à y trouver de quoi ils auront besoin pour faire fructifier les inventions. La plateforme servira alors de relais entre le monde de la recherche et sa conversion en actions socialement utiles.
Le hic est que la construction de ladite maison n’est pas encore terminée. Le ministère a besoin de fonds conséquent pour mener à terme le projet. Pour une comparaison simpliste, la découverte d’une seule espèce inconnue suffit pour créer une aire protégée afin pour sa conservation. Cela devrait être aussi le cas dans le domaine de la recherche et l’invention pure.
M.R.


Le 27 novembre dernier, les fins limiers du service de la cybercriminalité de la Police, a arrêté un homme pour arnaque. Et que ce dernier aurait déjà empoché 24 millions ariary grâce à ses magouilles. Une dizaine de personnes ont été déjà victimes de l’escroquerie du concerné qui prétendait recruter des candidats à l’immigration à l’île Maurice et y travailler. En fait d’emploi, il n’y a en réalité que du vent ! Mais le suspect  n’est que la partie immergée de l’iceberg car la Police parle même d’un réseau. Et que les enquêteurs l’ont démasqué.
Tout à commencer par le cas d’une jeune femme qui a été déjà la cible des arnaqueurs qui lui ont également promis un emploi à l’extérieur, dans un passé récent. Cette dame a alors rencontré une personne de sa connaissance, lui ayant parlé d’une personne digne de confiance, et qui pouvait l’aider à réunir les dossiers nécessaires en vue de sa prochaine immigration et travailler dans l’île Maurice. C’était le signal de départ à un contact permanent, via Facebook, entre le présumé facilitateur et cette jeune femme désireuse de partir pour l’île voisine. Entre eux deux, le courant passe et une confiance mutuelle les a fait rapidement se rencontrer, physiquement cette fois- ci.
 C’était dans ces circonstances que le facilitateur explique à son interlocutrice que des emplois existent à l’île Maurice, et qu’il aurait besoin de 12 personnes pour postuler ces postes, donc pour composer la première vague de candidats à ce voyage, sinon des travailleurs qui allaient regagner l’île soeur. Ne s’y tenant plus, la dame, qui n’a soupçonné la moindre entourloupe dans l’affaire, en a parlé à son mari.Et le couple a ainsi cherché des candidats à ce voyage. Il l’a trouvé en des habitants de la région du SAVA où les époux naïfs sont également originaires. Pour ces postulants à ce travail, cela tombe pile parce que cela faisait longtemps qu’ils seraient à la recherche d’un emploi à l’extérieur.
La déception s’est transformée en colère
Le réseau a alors fait payer un montant de 2 millions ariary à chaque postulant. Pendant cela, l’organisateur résidant dans la Capitale a hébergé et nourri les candidats au voyage, le temps de peaufiner les documents nécessaires à leur prochaine immigration dont les passeports. Cependant, l’organisateur en cause a commencé à montrer son vrai visage. Le départ n’a plus cessé d’être repoussé à une date ultérieure alors que cela était prévu dès fin octobre dernier.
Les victimes ont alors vu rouge et protesté. Quatre d’entre elles, qui ont déjà payé, n’ont plus voulu rien savoir au point que le couple qui les a contactées et informées sur ce voyage a dû les rembourser, du moins pour leurs frais de retour dans leur région d’origine. Beaucoup plus tard, et chaque fois que les postulants à ces emplois, qui n’existent que dans l’imagination de l’organisateur véreux, se sont informés auprès de ce dernier, il s’est contenté uniquement de donner une réponse évasive à leurs questions. Pour tenter de les rassurer, le suspect a alors avancé que l’un de ses collègues serait déjà à l’île Maurice pour organiser leur accueil dans l’île soeur. Du coup, décision fut prise chez les victimes de porter plainte contre le concerné.
Mais lorsque ce dernier a été informé sur les plaintes de ses victimes contre lui, il a changé de domicile. Cependant, les autres, c’est-à-dire ceux qui ont encore confiance en lui, l’ont suivi jusqu’à cette nouvelle adresse. Mais la Police a fini par retrouver la trace de cet arnaqueur. L’enquête a révélé que le réseau aurait déjà dépensé une partie de l’argent des victimes. Le faux organisateur a été présenté devant la Justice tandis que ses complices sont encore activement recherchés.
Franck R.
 
 

LA UNE DU 30 NOVEMBRE 2022

Publié le mardi, 29 novembre 2022

L'éducation et l'enseignement sont parmi les domaines prioritaires dans la coopération entre le Japon et Madagascar. Ces domaines maintiennent toujours une place prépondérante dans la relation entre les deux pays. « Depuis les 60 années de coopération nippo-malagasy, environ 70 % des projets financés par le Gouvernement japonais sont orientés vers l'éducation », a déclaré l'ambassadeur du Japon à Madagascar, Son Excellence Monsieur Abe Koji. 

Feux de forêt - Nette régression observée

Publié le mardi, 29 novembre 2022

Les feux de forêt semblent reculer en cette fin de mois de novembre. En effet, les zones à risque élevé ne se trouvent plus que dans les localités où règnent la sécheresse et le manque de précipitations. Les Régions du nord, de l'est, du nord-ouest et toute la partie centrale de Madagascar sont actuellement dans le vert.

Les personnes handicapées sont encore dans la catégorie des personnes qui ne bénéficient pas de leur plein droit à Madagascar. En effet, il est observé au quotidien que les enfants handicapés sont encore les cibles de discrimination de la part de leurs amis à l’école. Par ailleurs, beaucoup de personnes handicapées peinent à monter dans les transports en commun ou se voient tout simplement le refus d’accès dans un taxi-be, sous prétexte qu’elles retardent le départ du véhicule.

Toujours en marche !

Publié le mardi, 29 novembre 2022

Qui dit que le train reste bloqué à quai ? Négatif ! Il n’a jamais été question qu’il soit coincé dans une gare quelconque. Le train à grande vitesse, le TGV, roule toujours. Au figuré tout comme au propre, le Tanora MalaGasy Vanona (ou Vonona), le TGV, vit bien au féminin et au masculin en sa qualité de locomotive du régime Orange.

Fil infos

  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
  • Législatives - L'Opposition peine à concrétiser ses grandes annonces
  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 
  • Administration - Le Président veut des collaborateurs loyaux et efficaces
  • Actu-brèves
  • JIRAMA - Le manager de redressement bientôt dans le ring
  • Lutte contre la corruption à Madagascar - Le CSI pointe du doigt les blocages institutionnels

Recherche par date

« April 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

A bout portant

AutoDiff