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Tout est cher ! La hausse effrénée du prix des produits de première nécessité est désormais devenue le quotidien des malagasy en ce moment et ce, depuis le début de la crise sanitaire. Chaque jour réserve son lot de surprises pour chaque ménagère pour qui la gestion du budget familial représente un vrai casse - tête.

Sortir la tête de l’eau malgré une reprise lente et difficile. C’est l’objectif que se fixe la société Aéroports de Madagascar( ADEMA) qui vient de signer, récemment, un peu moins d’une dizaine de contrats de partenariat public-privé pour la gestion et la rénovation des aéroports qui sont sous sa tutelle. Insuffisant ou quasi inexistant, le trafic aérien sur la plupart des aérodromes secondaires de Madagascar représentent un frein au développement. Ainsi face à ces contraintes, les autres aéroports internationaux sont sur la voie d’Ivato et de Fascène.

LA UNE DU 10 JUIN 2021

Publié le mercredi, 09 juin 2021



Au profit de 22 000 ménages. Ces bénéficiaires issus des Régions d’Atsimo-Atsinanana et de Vatovavy-Fitovinany auront la possibilité de réformer leurs structures d’hygiène et d’assainissement. Ceci grâce aux 8 000 latrines améliorées « SATO », dotées par la firme japonaise LIXIL et par le biais du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF). La valeur de cette dotation s’élève à 26 000 dollars, soit environ 98 millions d’ariary. Ces deux régions ont été ciblées à cause de leur faible utilisation de latrines, favorisant la défécation à l’air libre. « L’assainissement de base ne touche que 24,9 % de la population pour Atsimo-Atsinanana et 35 % pour Vatovavy-Fitovinany. Ces taux en dessous de la moyenne pourraient s’expliquer entre autres par les « fady », les us et coutumes ou encore par le manque d’informations », fait part Voahary Rakotovelomanantsoa, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH). C’était hier à Andraharo, lors de la remise de ces dons.
Les latrines améliorées « SATO » étant des dispositifs à clapet automatique, très hygiéniques, faciles à nettoyer et à entretenir. 9 pays d’Afrique les utilisent, dont Madagascar. Pour ce faire, des ouvriers et entrepreneurs bénéficient d’une formation, entre autres sur les techniques de fabrication de dalles sans plat pour l’utilisation du SATO, ou encore sur le management d’entreprise. Pour les deux Régions ciblées, 82 entrepreneurs locaux ont été formés en mai dernier.
Madagascar sera un pays pilote dans l’utilisation de ces latrines améliorées, et cela à travers les deux Régions ciblées où les actions pour la suppression de la défécation à l’air libre battent leur plein. Selon la dernière enquête socio-économique réalisée auprès des ménages, au niveau national, 40 % de la population pratiquent encore la défécation à l’air libre, 17 % utilisent des installations élémentaires, et seulement 23 % possèdent des dispositifs de lavage de mains.
« Par ailleurs, des efforts particuliers sont déployés en faveur des femmes dans ces Régions car 8 % d’entre elles sont exclues des activités sociales ou du travail pendant leurs périodes de menstruation, tandis que 14 % ne disposent pas d’endroits et de produits appropriés pour assurer, dans l’hygiène et la dignité, leurs menstruations. L’usage de toilettes améliorées SATO devrait induire de nouvelles pratiques », ajoute la ministre de tutelle.
« Le Japon est prêt à déployer tous les moyens afin de soutenir Madagascar car nous sommes parfaitement convaincus que la santé, l’hygiène et l’assainissement public sont la base essentielle et fondamentale du développement inclusif que le pays poursuit vigoureusement », lance Higuchi Yoshihiro, ambassadeur de Japon dans la Grande île. « Ce geste du secteur privé démontre que tout le monde peut contribuer à l’amélioration et qu’ensemble nous arriverons tous à faire de Madagascar au statut de "zéro défécation à l’air libre" », déclare Michel Saint-Lot, représentant de l’UNICEF dans le pays. D’ailleurs, le MEAH remercie et encourage le secteur privé à poursuivre son appui pour un meilleur accès à l’eau, l’assainissement et l’hygiène.
Patricia R.


Covid-19 - Ruée vers le vaccin

Publié le mardi, 08 juin 2021


A presque un mois du début de la campagne vaccinale contre la Covid-19, plus précisément au 27ème jour, les autorités sanitaires malagasy ont utilisé 77 660 doses et ont réussi à administrer 70 763 doses avec 8,88% de perte. Entrant dans la dernière ligne droite de cette première phase de la campagne de vaccination anti-Covid-19, une forte mobilisation a été remarquée. Si au premier jour, seuls 253 individus ont été immunisés, actuellement, les autorités sanitaires malagasy recensent plus d’un millier de vaccinés par jour. Particulièrement le 4 juin dernier, la Direction du programme élargi de vaccination (DPEV) auprès du ministère de la Santé publique a vacciné plus de 8 000 personnes. En outre, sur 39 000 quantités livrées à Analamanga par exemple, 31 055 personnes ont reçu la première dose. Encore mieux, depuis à peu près une semaine, les sites de vaccination ont été multipliés jusqu’à une trentaine de centres de vaccinodrome opérationnels. Après Analamanga, les Régions d’Atsinanana, de DIANA et de Vakinankaratra connaissent également une hausse du taux de couverture vaccinale. En tout, elles ont écoulé 15 280 sur 30 600 doses offertes. Cependant, à la date du 7 juin, il reste encore 172 340 doses du vaccin Covischield toujours disponibles à Madagascar.
Artistes, politiciens, entrepreneurs et d’autres personnalités publiques ont manifesté leur intérêt à se faire vacciner. Depuis la semaine dernière, le site de vaccination des Nations unies a été envahi par des artistes célèbres à commencer par Bodo ou encore Samoela sans oublier Princio et d’autres encore. La vaccination leur permettra de revenir sur scène et de revoir leur public. « J'ai été vacciné. C'est mon choix. Ça pourrait être le tien aussi ! Il y a encore tant d'endroits que je dois visiter afin de remplir mon devoir en tant que supporteur du droit de l'enfant chez UNICEF », a partagé Mirado après sa vaccination.
Pour les membres de la confédération du tourisme de Madagascar, ils sont venus nombreux samedi dernier pour se faire vacciner.  D’autant plus que dans l’exercice de leur fonction, le vaccin constitue un élément de mise en confiance des touristes et des tours opérateurs. Hier aussi, le groupement des femmes entrepreneurs sous l’égide de Fanja Razakaboana s’est présenté au vaccinodrome des Nations unies pour bénéficier de cette première dose.
Et même les diplomates dont l’ambassadeur de l'Union européenne ou encore Yungho Son, ambassadeur de la République de Corée à Madagascar, ont choisi de vacciner leur staff sur le site de l’UN Madagascar. « C’est vrai que la vaccination est libre de choix…mais en parallèle, il faut comprendre qu’historiquement les vaccins pour certains types de maladie sont les remèdes les plus efficaces » a déclaré Giovanni Di Girolamo, ambassadeur de la délégation de l'Union européenne à Madagascar et en Union des Comores, après sa 1ère dose.
Recueillis par K.R.

Insubmersible !

Publié le mardi, 08 juin 2021

Titanic, le plus grand paquebot et le plus assuré de son temps, coula dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 dans l’océan Atlantique, au large de Terre Neuve. Environ 1 520 personnes périrent sur les 2 223 passagers à son bord, y compris l’équipage. Conçu et réalisé pour surmonter tous les aléas sur mer, Titanic l’insubmersible fut la fierté de la navigation maritime commerciale britannique. En avance de son temps, technologiquement et électroniquement parlant, le paquebot symbolisa la percée du Royaume-Uni en termes de développement de la science. Mais, le joyau vira à la catastrophe sans précédent. Déception totale ! La honte d’une Nation !
A Madagasikara, certains acteurs de la politique alliés à l’Opposition se croient au-dessus du lot, inatteignable. Enfin bref, au-dessus de la loi, insubmersible ! Attention, le scandale du naufrage de Titanic doit leur servir de leçon.
Des députés arborant l’étendard du TIM, jouissant l’immunité parlementaire, se conduisent comme des hors-la-loi et à travers une émission quotidienne crépitent des rafales contre le régime Orange. Ils balancent des propos gratuits ou des accusations sans fondement. D’autres parlementaires et des activistes à la solde du « mentor » et agissant pour le compte d’une Opposition à la dérive, foncent dans le tas. Se prenant pour des citoyens de l’autre planète, des martiens ou des jupitériens débarquent sur terre foulant outrageusement aux pieds la loi des… hommes.
A plus d’une fois, des activistes politiques, élus ou anciens de ceci ou de cela, refusent de se soumettre au contrôle de routine des Forces de l’ordre sur route. Ils se permettent de défoncer les barrages érigés pour la circonstance. Ils oublient ou ignorent par arrogance que les Forces de la défense et de la sécurité (FDS), dans l’exercice de leur fonction, représentent pleinement le symbole de la souveraineté nationale. Ils appliquent et font respecter la loi du pays. Et donc, tout geste et comportement méprisant les éléments des FDS, en faction, qui font normalement leur travail, porte atteinte à la loi de la République et une insulte à la dignité de l’Etat.
L’exemple que montre Ravalomanana Marc, en tant que simple citoyen et ancien Chef de l’Etat, fait honte. Comme toujours, le monsieur mésestime le respect des autres et celui de la dignité humaine et se conduit tel un super homme qui considère les concitoyens comme des moins que rien. Ce caractère ignoble lui colle à la peau. Il ne changera plus, plus jamais. Les descentes sur terrain aux marchés de la Capitale ainsi que les visites dans les Communes environnantes à Analamanga ne sont autres que de vaines et stériles gesticulations qui n’enchantent guère que les badauds et les désœuvrés. Que Ravalo et ses acolytes ne se surestiment point. Ils ne sont pas insubmersibles.
Faudrait-on le noter aussi qu’à l’intérieur du régime, il existe de faux jetons, des brebis galeuses que le Président Rajoelina doit nécessairement identifier et les écarter afin de rebâtir une nouvelle équipe pour repartir sur une base nouvelle.
Ndrianaivo



3 milliards d’ariary pour financer la réfection et construction d’infrastructures routières dans la Commune urbaine d’Antananarivo. A l’issue de la session extraordinaire du conseil municipal, du lundi au mercredi dernier, le Fonds routier a investi dans l’entretien des routes de la Capitale. Ce projet concerne 5 axes, selon le président de la commission de gestion du budget au sein du conseil municipal, Rakotomanana Franck. Il s’agit de l’axe 1 : Ambohipo menant vers Ambolokandrina et Ankatso, axe 2 : Anosibe jusqu’à Ilanivato, axe 3 : Ankasina 67ha menant vers la route Bagdad jusqu’à Ambodin’Isotry, axe 4 : Mausolée jusqu’à Farafaty et enfin l’axe 5 : la rue Radama I menant vers FIARO Ampefiloha. Ces tronçons de route sont prioritaires à cause de leur dégradation avancée et sont traversés par des milliers de véhicules par jour puisque les quartiers populaires d’Antananarivo s’y trouvent. La réfection des routes commenceront dès que les procédures seront closes.
Concernant le Fonds de développement local (FDL), qui est une contribution de l’Etat au développement du comité territorial décentralisé, 13 milliards d’ariary seront versés à la caisse de la CUA pour cette année en cours. 10 milliards d’ariary seront utilisés pour le réaménagement du marché d’Ambondrona et de Petite vitesse et la construction d’une passerelle pour les commerçants à Ambondrona. Les 3 milliards d’ariary restants seront investis dans la construction du nouveau bureau pour le 5e Arrondissement de la Capitale à Analamahitsy  ainsi que le centre culturel pour la CUA à côté du jardin d’Andohalo.
Outre ces projets qui sont présentés par le premier magistrat de la ville, Naina Andriantsitohaina, le Projet d’aménagement et de développement des abords de la future rocade Nord- est d’Antananarivo (PADARANE) et le réajustement du Plan d’urbanisme directeur de l’agglomération d’Antananarivo (PUDI) ont été adoptés et votés par le conseil.
En contrepartie, le conseil municipal revendique la gestion de ces projets et du budget octroyé à la population, dans la transparence.

Anatra R.

La une du 07 juin 2021

Publié le mardi, 08 juin 2021


Un défi de taille. Le ministre de l’Economie et des Finances, Richard Randriamandrato a indiqué lors de sa rencontre en visioconférence avec les députés que la Direction générale des impôts (DGI) augmentera l’effectif des contribuables jusqu’en 2023 pour atteindre un taux de pression fiscale de 15 %. Sur 25 millions d’habitants, on compte seulement 455 206 contribuables actifs. L’objectif consiste à en atteindre 2 millions en trois ans. Cette année, près de 800 000 opérateurs informels seront ciblés afin d’atteindre 1 250 000 contribuables. Tous les programmes déjà initiés se poursuivront dans la mise en œuvre de ce projet. « Nous prenons progressivement en main le secteur informel. Une campagne de sensibilisation fiscale appelée " Anjara hetrako " a été menée l’année dernière à Analamanga et Atsimo- Andrefana. Elle nous a permis de faire rentrer 100 773 opérateurs dans le secteur formel durant le mois de novembre et décembre. Par ailleurs, tous les efforts menés dans le cadre de la digitalisation vont continuer. En 2020, les recettes perçues via la plateforme « e-hetra payement » s’élève à 959 milliards d’ariary et de 380 millions d’ariary avec le système "Mobile money" », rapport Richard Randriamandrato durant son intervention.
Des blocages ont été néanmoins abordés par les députés durant cet échange. « Je ne suis pas contre la digitalisation mais nous rencontrons des problèmes d’électricité dans notre Région, ce qui rend la procédure difficile malgré les bonnes volontés du gouvernement », avance l’un des élus.
Dans le cadre de la relance économique, le ministre a réitéré qu’aucun nouvel impôt n’a été instauré cette année vu la crise sanitaire. « Nous n’avons pas adopté de nouvel impôt et de taxe cette année. Plusieurs secteurs étaient en difficulté au regard des redevances collectées, pour ne citer que dans le secteur de la pêche et de la mine », martèle-t-il.
Malgré cela, les impacts de la pandémie continuent de peser sur l’économie nationale. Lors de la dernière revue de l’exécution budgétaire du Premier trimestre pour cette année, la pandémie a fait que seulement 13 % des objectifs fixés ont pu être atteints. Sur une prévision de 6 781,70 milliards d’ariary dans la loi de Finances initiale, 881,40 milliards d’ariary ont été encaissés en matière de recettes.
Solange Heriniaina


En bonne voie. La baisse de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour le gaz domestique à 5 %, au lieu de 20 %, n’est qu’une première étape. Le ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) collabore de près avec les opérateurs du secteur privé pour favoriser l’utilisation de cette source d’énergie, en alternative au charbon de bois. « Notre objectif n’est pas de supprimer tout de suite et définitivement l’utilisation du charbon de bois. Le basculement vers le gaz domestique se fera par étapes. Les utilisateurs seront sensibilisés au fur et à mesure à son utilisation. Les avantages autant pour les ménages que pour l’environnement ne sont pas encore connus de tous. C’est pourquoi nous nous activons encore dans la sensibilisation des ménages pour casser le stéréotype affirmant que le gaz est un produit de luxe », défend un responsable au niveau de la Direction générale du Développement durable au sein du MEDD. La consommation annuelle de charbon de bois s’élève aujourd’hui à 450 000 tonnes contre seulement 7 000 tonnes pour le gaz domestique. L’objectif final est donc d’inverser ces données. « En tout cas, une hausse de 2 500 tonnes de la consommation de gaz est déjà attendue dès cette année avec les différentes dispositions mises en place par le ministère et les opérateurs », rajoute ce responsable.
L’usage du gaz domestique contribue considérablement à une protection des ressources forestières. Pour une tonne de charbon de bois, il faut notamment 1 000 tonnes de bois. Pour la consommation annuelle, près de 450 millions de tonnes bois sont donc coupés et ravagés. Avec une hausse de l’utilisation du gaz domestique, ces chiffres pourront alors baisser. Mais d’après les prévisions du MEDD, l’utilisation du charbon de bois sera particulièrement réduite d’ici une vingtaine d’années.
Les ménages pourront également faire des économies sur le long terme. Pour cuire un kilo de riz, cela ne prend que 20 minutes avec le gaz domestique avec une dépense énergétique de 40g alors qu’avec le charbon, cela nécessite plus de 40 minutes avec un demi-kilo d’énergie consommée, soit dix fois plus élevée. Il ne faut pas oublier que le gaz s’achète aujourd’hui au détail. Les efforts pour vulgariser le gaz domestique seront donc de plus en plus renforcés.
Rova Randria

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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

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