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Après la fête de Pentecôte, les ménages sont actuellement en pleins préparatifs de la fête des mères. Pour réjouir les mamans lors de cette journée spéciale qui leur est dédiée, les grandes enseignes proposent plusieurs idées cadeaux. A l’instar de la société « Baolai », qui met à la disposition du public un large panel d’appareils électroménagers neufs de premier choix. Pour ne citer que les Laser tv 100 pouces, Smart tv et téléviseurs LED, disponibles entre 22  et 85 pouces  ( tous garantis 1 an), Gsm, subwoofer, cuisinières à gaz et électriques, synthétiseurs, machines à laver, climatiseurs, fer à lisser ( cheveux ), réfrigérateurs, tables de mixage, fours à micro-ondes,…  

 

Au centre des discussions. Les employés de la compagnie aérienne malagasy refusent aujourd’hui la décision du conseil d’administration d’opérer à un chômage technique prochainement. Une rencontre entre les deux parties a ainsi été organisée mardi dernier, pour trouver une issue à toute cette situation. Jusque-là, les discussions continuent toujours parce que les deux protagonistes n’ont pas encore trouvé de consensus.

 

Près de deux ans après son adoption par les députés, les sénateurs ont, eux aussi, finalement adopté hier, en séance plénière, la proposition de loi modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 2011-013 du 09 septembre 2011 portant statut de l’opposition et des partis d’opposition présentée par le député Jean Brunelle Razafintsiandraofa.

Entre 2016 et 2020, environ 160 jeunes femmes malagasy ont rejoint clandestinement Oman, Arabie Saoudite ou encore le Koweït. Hier, l'une de ces affaires à scandale, a été jugée au Pôle anti-corruption ou PAC aux 67ha. Au terme des débats desquels on trouve les accusés formés d'un jeune couple de passeurs dont Harilala Finoana Nantenaina Rakotovololona (28 ans), le mari et non moins technicien en bâtiment de son état et son épouse nommée Gabriella  Lovanantenaina Ramorarison, alias Lova (24 ans) ont été condamnés chacun à cinq  années de réclusion criminelle. « Il s'agit d'un allègement de peine sinon d'une peine équilibrée puisque les accusés ont fait un aveu », déclare la présidente tenant session de la CCO du PAC d'Antananarivo à l'issue de l'énoncé de la sentence.

 

LA UNE DU 28 MAI 2021

Publié le jeudi, 27 mai 2021

La une du 27 mai 2021

Publié le mercredi, 26 mai 2021


La décision qui a du mal à passer côté collaborateurs d’Air Madagascar. Aujourd’hui, ils s’opposent catégoriquement à la décision du Conseil d’administration de la compagnie aérienne malgache d’opérer à un chômage technique. Et ils le font savoir que « Ce n’est pas de notre faute si les stratégies mises en place au cours des dernières années n’ont pas eu l’effet escompté mais celle des autorités et de l’État. Alors pourquoi c’est nous qui devons payer les frais d’une mauvaise décision des autres. » Une argumentation qui a plus ou moins du sens. Le mariage avec le soi-disant « partenaire stratégique » Air Austral, par exemple, aurait dû contribuer au redressement d’Air Madagascar. Pourtant, trois ans plus tard, la situation de la compagnie reste la même : aucune amélioration ni des revenus ni de la flotte aérienne, alors que ces points étaient inscrits dans le fameux plan de redressement « Alefa 2027 ».
Or, d’après les experts et les observateurs, le chômage technique est un recours complètement logique étant donné la situation. Ces dernières années, Air Madagascar était déjà en grande difficulté. Et la crise sanitaire, générée par la pandémie de coronavirus, n’a fait qu’accentuer cette difficulté vu que cela fait plus d’un an de tous les appareils de la compagnie sont cloués au sol. Les  vols de rapatriement, dont les derniers datent du mois de décembre et de janvier dernier, sont loin de suffire pour subvenir à tous les besoins de la compagnie. Aujourd’hui, les dirigeants prennent conscience qu’avec cette absence de revenus constants, Air Madagascar n’a plus les moyens de prendre en charge tous ses employés actuels.
Dans tous les cas, une rencontre entre le Conseil d’administration et le syndicat des employés d’Air Madagascar a été organisée, hier, pour trouver une issue à tout cela. Une décision finale devrait alors être annoncée très prochainement. Jusque-là, le doute plane : Est-ce que le Conseil d’administration a décidé de maintenir sa décision de délester ses employés ? Ou il a rebroussé chemin et fera des concessions dans d’autres domaines. 
La Rédaction

Effective pour certains établissements scolaires privés. Ces derniers ont opté, avec l’aval des parents, pour la clôture de l’année scolaire 2020- 2021 depuis ce mois de mai. « Nous avons pris la décision de finir l’année scolaire en cours puisque la reprise des cours présentiels reste incertaine. De plus, Madagascar va prochainement entrer en saison hivernale favorisant la propagation des maladies, notamment celles contagieuses et respiratoires. Ainsi, les grandes vacances ont été avancées pour les élèves en classes intermédiaires, notamment ceux du niveau primaire. Pour les classes intermédiaires du secondaire, ils vont devoir retourner en classe pendant 2 à 4 semaines, le temps de corriger les exercices, donner plus d’explications sur les leçons ou encore pour les derniers consignes, avant les vacances », informe Z.R., directrice d’un Collège privé sis à Mahamasina. Les directeurs d’établissements ayant opté d’avancer les grandes vacances proposent les mêmes arguments, lesquels ont pu convaincre les parents.
« Il vaut mieux avancer les grandes vacances et faire des rattrapages pour la prochaine rentrée que poursuivre les cours à distance. Bon nombre de parents n’ont pas la capacité d’enseigner leurs enfants à la maison, faute de technique », avance Niry Violette, mère de 2 enfants dans le primaire. Effectivement, ces établissements vont procéder à la rentrée de 2021- 2022 au mois de septembre. « Avancer les grandes vacances nous évite de payer des écolages en entier pour des devoirs à la maison à récupérer. Le plus malheureux c’est que des enseignants touchent un demi-salaire depuis la suspension des cours alors que les directeurs refusent les écolages incomplets », ajoute Faniry A., ferronnier et père de 3 enfants inscrits dans un Collège privé à Itaosy. « Les frais de scolarité ne sont pas destinés uniquement à payer les salaires des enseignants. Le règlement des charges fixes comme le loyer et les diverses factures ainsi que l’achat des fournitures pour le fonctionnement en dépendent aussi », précise Jacqueline Razanoelisoa, directrice du Collège moderne d’Ambodifasina. Pour cet établissement, 40% des parents d’élèves n’ont pas encore payé les écolages du mois d’avril alors que le taux de présence pour la récupération des leçons et devoirs à la maison s’élève jusqu’à 90%.
Questionné à ce sujet, un responsable auprès de l’Office national de l’enseignement privé (ONEP) informe sur le texte en vigueur. « Normalement, tous les établissements scolaires qui ne suivent pas le calendrier scolaire officiel, c’est-à-dire celui sorti par le ministère de l’Education nationale (MEN), devrait faire une demande. Celle-ci informe et sollicite le ministère de tutelle, via l’ONEP, à valider la rentrée ou la fin d’année scolaire avancée ou reportée. Mais seuls quelques-uns le font régulièrement, notamment ceux qui débutent l’année scolaire un mois avant la date officielle. Pour les vacances avancées, aucune demande ne nous est parvenue jusqu’ici », souligne notre source. Quoi qu’il en soit, cette situation exceptionnelle liée à la Covid-19 ne facilite pas les tâches ni pour le MEN ni pour les directeurs d’établissement, et non moins pour les parents qui doivent se charger de l’enseignement de leurs enfants avant tout, chez eux…
Recueillis par Patricia Ramavonirina


Du 15 septembre 2020 au 31 mai 2021. La campagne d’exportation au titre de l’année 2020-2021 s’achève dans quatre jours. Le ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) Lantosoa Rakotomalala, a alors rapporté un bilan, hier à Anosy. Les chiffres ne cessent d’évoluer. Les statistiques reçues dimanche dernier font état de 2050 tonnes de vanille exportée. D’après le numéro un du département, les opérateurs possèdent encore en ce moment près de 300 tonnes de stock. Suite à la demande du Groupement des exportateurs de vanille à Madagascar (GEVM), l’échéance sera reportée en fin juin. « Les demandes de vanille haussent grâce à la réouverture du marché européen et celui américain notamment dans le domaine de la restauration. Même si les opérateurs enregistrent un stock de 300 tonnes, ils continuent de recevoir des commandes. La quantité s’élève entre 150 à 175 tonnes. Suite à ce constat, le Conseil du Gouvernement a adopté le prolongement de la fin de la campagne au 30 juin au lieu de la fin de ce mois de mai. On espère que le stock final sera réduit à environ 150 tonnes au maximum », annonce Lantosoa Rakotomalala. Comme le prix de référence l’indique, la tonne se négocie à 250 dollars.
Les gousses de vanille restent les plus prisées. Elles sont exportées à 90% par les opérateurs dans la catégorie ‘‘industrielle’’. « Nous avons exigé comme critère d’obtention d’agrément d’exportation l’expérience dans le métier. On peut citer entre autres la possession d’infrastructure aux normes, connaissance du marché. C’est une étape primordiale dans la pérennisation de la filière et l’amélioration de la qualité des produits », poursuit la ministre.
Etant donné que la campagne de collecte de la vanille verte a commencé la semaine dernière, le prix de référence est maintenu à 75 000 ariary. Le prix des vanilles préparées durant la campagne 2021-2022 sera bientôt porté à la connaissance du grand public. Le ministère s’attaque actuellement à la réorganisation du Conseil national de la vanille (CNV). Dorénavant, les gouverneurs, les sénateurs et les députés intègrent cette association d’utilité publique.
Solange Heriniaina


0.20%. Universellement, aucun vaccin n'est totalement dénué de risque et d’effets indésirables qui sont appelés Manifestation postvaccinale indésirable (MAPI). Madagascar, qui a lancé la campagne vaccinale anti-Covid-19 le 10 mai dernier, n’en est pas épargné. Une source a affirmé qu’à la date du 25 mai dernier, 19206 personnes ont reçu leur première dose de vaccin Covishield, la version indienne d’AstraZeneca dans l’ensemble du pays dont 39 individus ont présenté une MAPI. Suivant les catégories des effets indésirables, deux d’entre eux ont développé des symptômes graves. Le premier a été le médecin de 45 ans, travaillant au CHU-Tambohobe Fianarantsoa et en même temps un enseignant-chercheur de la Faculté de Médecine à l’université de Fianarantsoa, décédé le 20 mai dernier, 24 heures après l’administration du vaccin. Même si cette victime a développé un état de santé épileptique  avec un antécédent de chirurgie cérébrale, son corps a fait l’objet d’une autopsie approfondie pour déterminer la véritable cause du décès. « L’initiative Covax exige une étude médicale si un cas de décès survient après le vaccin. Entre-temps, étant donné que tout événement médical fâcheux qui se produit à la suite de l'administration d'un vaccin n'est pas nécessairement de lien causal avec la vaccination, une investigation est menée par les autorités sanitaires à Antananarivo et à Fianarantsoa », a confirmé une source.  Le deuxième cas de MAPI assez inquiétante s’est produit à Antananarivo. Il s’agit d’une personne vaccinée au Toby Ratsimandrava ayant a présenté une allergie qui s’est manifestée par un gonflement des paupières. Les 37 autres signes ont enregistré des symptômes mineurs. Les Régions Analamanga avec 3783 immunisés et Diana comprenant 159 vaccinés ont compté respectivement une dizaine de cas de MAPI.
A titre d’information, les MAPI sont considérées comme graves, si elles entraînent la mort de la personne vaccinée. Il existe également les réactions sévères qui comprennent les convulsions et réactions allergiques provoquées par la réaction de l'organisme à un composant particulier dans un vaccin. Elles sont par contre mineures si les manifestations surviennent quelques heures après l'injection et disparaissent peu de temps après. En effet, celles-ci se caractérisent par des douleurs, gonflements ou rougeurs au site d'injection. La fièvre, malaise, douleur musculaire, maux de tête ou perte d'appétit constituent aussi des effets indésirables.
KR.


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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

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