Avec la hausse du nombre de personnes atteintes de la Covid-19 dans la Capitale, une résurgence de la pandémie est à craindre. Ainsi, dans le milieu scolaire, certains établissements recommandent aux parents d’élèves de faire porter à leurs enfants un masque de protection. En effet, les responsables d’un l’établissement du côté d’Itaosy, après la publication de la dernière statistique dimanche dernier par le ministère de la Santé publique, avec au total 59 nouveaux cas à Analamanga, ont choisi la prudence.
Hier, les 7 personnes impliquées dans l’affaire d’attaque à main armée, et qui s’était soldée par le vol de pierres précieuses chez un habitant d’Ambohidahy- Ankadindramamy, ont été déférées au Parquet d’Anosy. Elles ont entre 24 et 36 ans durant l’enquête préliminaire au niveau de la Police et ont reconnu les faits. Ces derniers remontent le 8 novembre dernier, vers la fin de la matinée. Trois d’entre elles sont des femmes, encore jeunes. Mais le présumé cerveau de l’acte, un homme habitant Ivato-Ambodirano, figure parmi les suspects arrêtés.
Les bacs à ordures commencent à déborder dans plusieurs quartiers de la Capitale. Et la cartographie de la gestion des ordures, réalisée par la Société municipale d’assainissement (SMA), en témoigne. La plupart des bacs à ordures sont de couleur rouge, c’est-à-dire trop pleins par rapport à leur capacité. D’après une explication au sein de la SMA, les travaux avancent et tous les problèmes sont déjà réglés au niveau de ce département. L’amoncellement est normal en cette saison d’été. La pluie et la saison des fruits en sont les principales causes. En temps normal, les déchets ménagers jetés dans les bacs pèsent environ 700 tonnes par jour, tandis qu’ils sont doublés ou même triplés durant les mois de novembre et décembre.
« Refondation » ! C’est la dernière trouvaille que la bande à Alain Andriamiseza vient de présenter sur le plateau. Il faut bien inventer et réinventer quelque chose pour amuser la galerie. L’opinion commence à se lasser de la puérilité et des enfantillages des leaders politiques notamment ceux évoluant dans l’orbite de l’Opposition. En effet, l’entêtement comme celui d’un enfant gâté nuit à l’image des cadors du RMDM aux yeux de simples citoyens.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison et le ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation, Edgard Razafindravahy ont rencontré, la semaine dernière, à Antalaha, les 70 exportateurs agréés de vanille afin de préparer l'ouverture de la campagne d'exportation de 2022-23 qui a été fixée pour aujourd’hui. Cette rencontre a été pour les deux membres du Gouvernement de préciser le soutien de l'Etat malagasy et l'accompagnement des opérateurs dans ce secteur, aussi bien producteurs qu'exportateurs.
Dans l’univers musical malagasy, il existe une multitude de talents tout aussi particuliers les uns que les autres. Parmi les pépites qui évoluent actuellement figure Tiana Prisca. Agée tout juste de 20 ans, cette jeune chanteuse pourrait être la nouvelle voix de la musique Pop, RnB et l’afrobeat et à qui il faudra compter. Et oui, elle fait partie des nouvelles étoiles montantes de la musique. Après une longue attente et de préparation, Tiana Prisca va enfin monter sur scène pour faire découvrir ses œuvres. Ainsi, elle peaufine un concert en « live » acoustique qui se tiendra le samedi 10 décembre à 18h chez Levels Resto-Lounge à Nanisana.
L’enquête sur l’affaire de la tragédie d’Ikongo est entre les mains de la Justice. C’est ce qu’affirme le secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Défense nationale en charge de la Gendarmerie. Au cours d’une séance plénière hier à Tsimbazaza, le Général Serge Gellé a annoncé en effet que la partie du travail de la Gendarmerie nationale est arrivée à son terme, après le bouclage du rapport d’enquête sur cette affaire. « Le dossier a été transmis à la Justice hier (lundi, ndlr) », indique le SEG. Le rapport « volumineux » reconstitue « ce qui s’est passé sur place », rajoute-t-il.
L’ONG Transparency international a –t-elle dépassé les bornes en alléguant des faits criminels dans la filière litchi. Narson Rafidimanana, un des membres du Groupement des exportateurs de litchi (GEL) contre-attaque en accordant un entretien à une consœur de la RFI. Il a martelé que son groupement joue la transparence et prêt à donner des informations à quiconque.
Situation à la fois incroyable et terrifiante ! La foudre a frappé au petit matin, hier, la petite localité située en hauteur d’Ampisavankaratra, Commune de Tsiafabositra, District de Maevatanàna. Un orage éclate accompagné par une explosion de tonnerre. Evidemment, la foudre a frappé, non une zone éloignée, mais plutôt celle d’un réseau d’habitations.Trois d’entre celles ont été alors ravagées par les flammes. La boule de feu venant du ciel était venue alors attaquer avec une puissance impressionnante une maison dans laquelle se trouvaient les 6 membres, complètement surpris, d’une petite famille. Les malheureux ont alors reçu, chacun, une décharge, l’équivalent de plusieurs milliers de volts, et seraient tués sur le coup, complètement piégés par leur propre maison. En dehors du fracas apocalyptique, le phénomène a immédiatement déclenché un incendie. D’où l’ampleur des dégâts. Quant aux victimes, Il s’agit donc du couple, mais aussi ses 4 enfants dont l’aîné n’a que 15 ans. « Les victimes sont devenues méconnaissables car elles furent atrocement brûlées », explique chef Jean-Louis, l’officier de Gendarmerie qui a fait un constat sur le terrain.
Mais comme il ventait aussi quelques moments avant que la pluie ne tombe, cette situation a rapidement déplacé les flammes vers deux maisons voisines de celle des victimes. A leur tour, ces habitations ont également pris feu. Mais à la différence de la première, leurs locataires ont pu s’en sortir miraculeusement indemnes. Ils ont eu le temps d’évacuer in extremis les lieux lorsque l’incendie a éclaté. Depuis, les dépouilles des victimes ont été confiées à leurs familles. D’après la Gendarmerie, la foudre fait souvent des victimes en cette période de l’année. Mais aucune n’a été si meurtrière que celle qui venait de décimer les membres de cette petite famille d’Ampisavankaratra. En outre, le fait que ce groupe de maisons occupe une petite colline, l’expose à ce genre de risque lors des intempéries. Sur place, la vague de chaleur associée à une période anormalement longue de sécheresse, changement climatique oblique, explique ces perturbations, voire le déchainement des éléments à une heure si indue du début de matinée alors qu’on a naturellement souvent l’habitude de voir les orages que dans l’après-midi.
Franck R.