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Agenda du week-end

Publié le jeudi, 06 juillet 2023


Vendredi 7 juillet

Iraimbilanja

Ils sont encore là. Après quelques semaines de pause, les ’Raimbl repartent pour un autre concert de rock. Batata et sa bande seront de nouveau sur la scène du vieux carré. Des retrouvailles qui prouvent encore qu’avec les Iraimbilanja, les années passent mais l’ambiance avec de la musique rock reste au top, même après plus de quatre décennies de carrière. Encore une fois, la nostalgie sera au rendez-vous, mais le plaisir de réécouter les morceaux comme « Tao an-tsekoly », « Mosoara » ou « Raosy jamba » sera renouvelé. Rendez-vous au Piment Café de Behoririka, ce soir à 20h 30.

Arison Vonjy

Il ne se produit que rarement mais quand l’occasion se présente, il ne laisse rien au hasard. Son dernier cabaret au Piment Café remonte en juin dernier. Ce soir, il retrouve la scène de la Teinturerie Ampasanimalo à partir de 20h. Grâce à son talent et sa voix exceptionnelle, Arison Vonjy va une fois encore conquérir les mélomanes et les noctambules de la Capitale. Avec cet artiste et ses complices de scène, tous les rendez-vous se valent effectivement. Et le fait de stupéfier le public n’est pas une option mais une obligation. Sans aucun doute, tous ceux qui viendront ce soir à la Teinturerie vont passer un vendredi joli.

Kenny & Dat’Kotry

Un cocktail de musique « soft » tropical et de la variété, le tout mélangé avec du son urbain, c’est ce que proposera la salle du Jao’s Pub, Ambohipo. Pour la première fois, l’endroit mettra en affiche deux chanteurs jouant chacun son propre style de musique, à l’instar de Kenny et Dat’Kotry. Dotés d’une renommée nationale, ces deux artistes seront là pour chauffer les noctambules en ce temps hivernal. En tout cas, une chose est sûre : avec cette affiche, ceux qui viennent de passer une semaine chargée prendront le temps pour s’amuser et se déstresser. Le show débutera à 21h.

Kiaka

Le public aura de quoi s’occuper en ce début du week-end et il y en aura pour tous les goûts. Les amateurs de rock sont invités cet après-midi au Santilo, Anosizato pour assister au concert de célébration des 37 ans de scène du groupe Kiaka. A cette occasion, Nini et ses compères vont une nouvelle fois aligner leurs titres les plus connus. De « Rovako » à « Atolotro anao », en passant par « Rock’n roll namako » ou encore « Nofy », la jeunesse des années 90 va avoir droit à un show des plus enflammés. Effectivement, à première vue, les membres du groupe Kiaka ont pris quelques rides. Cependant, la fougue et l’énergie sont toujours intactes. La formation continue à électriser la scène, toujours avec une aisance naturelle. Bref, même après 37 années de carrière, le groupe continue de faire rêver ses fans.

« Be-Tige Comedy »

Un rendez-vous devenu une tradition pour le public de la Capitale. A chaque week-end, les jeunes humoristes, membres du collectif « Gasy Stand Uppers », concoctent un spectacle humoristique. Il s’agit d’un événement 100 % fou rire. Ce midi, ils repartent pour une énième soirée de stand-up et de sketch avec le show « Be-Tige Comedy ». Pour ce faire, ces jeunes comédiens feront encore rire le public habitué de cet antre de la Capitale. En ce début du week-end, ils apporteront certainement de la joie aux spectateurs. Du côté du line-up de cette soirée, Raytra Belaw’yck, Aina Maharavo & Cie se chargeront encore d’animer l’auditoire. Rendez-vous à 12h !

Dimanche 9 juillet

Fanja Andriamanantena

Une grande dame de la chanson malagasy fête son jubilé. Le temps passe si vite. La toute première fois qu’elle est montée sur scène en 1963, cette époque révéla son talent au public grâce à une chronique musicale que son père Célestin Andriamanantena, accompagné de son oncle Georges Andriamanantena, avaient montée avec le groupe Railovy. On n’oubliera pas non plus le jour fétiche où elle a remporté un concours de jazz organisé en 1965 par le Centre Culturel Albert Camus (CCAC), devenu l’actuel Institut Français de Madagascar (IFM). Pour fêter dignement son jubilé, il lui fallait choisir une date et une salle mythique. A cet effet, Fanja Andriamanantena a choisi de marquer le coup dans la salle du CCesca Antanimena, ce dimanche à partir de 15h. Un grand moment, de quoi faire réjouir ses fans.




Les 17 Objectifs de développement durable ou ODD ne seront certainement pas atteints par la Grande île d’ici 2030, comme il a été indiqué par le calendrier prévu à cet effet. La faute est imputée principalement à la pandémie mondiale de Covid-19. Celle-ci a chamboulé tous les secteurs, sans exception. La majorité des 17 points de l’ODD ont tous connu des retards dans leur lancement et leur mis en orbite. Cela a eu des répercussions sur la prévision de leur réalisation.
Comme l’a annoncé le coordonnateur résident du Système des Nations unies, Issa Sanogo, hier dans le cadre de l’évaluation du cadre de coopération des Nations unies avec Madagascar, « les ODD ne seront pas atteints par Madagascar si l’échéance est fixée en 2030 ». Ainsi, il ne s’agit pas du fait que le pays est dans l’incapacité de réaliser les objectifs, mais seulement l’échéance devra être remise en question.
Selon les explications, la revue du calendrier 2030 est due à la combinaison de plusieurs contextes que le pays a vécus et traversés. La pandémie de Covid-19, combinée aux conséquences de la guerre en Ukraine, constituent des obstacles majeurs aux efforts déjà entrepris par les pays vulnérables comme Madagascar. Il faut ajouter à cela le dérèglement climatique, engendrant des crises environnementales récurrentes comme la sécheresse et les cyclones, minant ainsi les efforts déjà entrepris.
Madagascar n’est pas le seul pays à ne pas atteindre les objectifs 2030. La plupart des pays en développement en sont concernés. Le Rwanda fait exception dans le lot des pays d’Afrique subsaharienne. Il a atteint l’intégralité des objectifs, lui conférant le nom de « bon élève » en matière d’ODD. Ce qui a amené l’Organisation des Nations unies (ONU) à recadrer ses coopérations et ses approches vis-à-vis des pays retardataires confrontés à des crises contextuelles.
Les prochains fonds des Nations unies pour l’ODD visent ainsi à recadrer les appuis et les actions. Ils se focaliseront davantage sur les initiatives dites « à haut impact », reposeront sur la « théorie de changement » et mettront l’accent sur les actions de transformation.
Il est à rappeler que sur les 206 millions USD mobilisés par les Nations unies au titre de soutien à l'atteinte des ODD par la Grande île, 171 millions de dollars ont été débloqués et 141 millions USD ont été utilisés.
Grâce à cet appui, plusieurs initiatives ont été élaborées, autant de volontés et d’efforts ont été accomplis, accompagnés par des actions. Ces actions auraient produit une réalisation à hauteur de 83 %, selon l’évaluation à mi-parcours du cadre de coopération annoncée par le Système des Nations unies à Madagascar.
Nikki Razaf

Le détournement des dons et d’investissement est sanctionné par la loi. Cependant, beaucoup de citoyens et des bénéficiaires ont avancé être victimes d’escroquerie ou d’abus lors de la distribution des dons ou la réparation des investissements. Face à cette situation, le ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme encourage ces derniers à porter plainte, avec des pièces justificatives à l’appui.
Selon le directeur général de la protection sociale au ministère de la Population, Ghisbert Rivomanana, jusqu’à présent, aucun cas avéré de détournement des avantages des bénéficiaires du projet Filets sociaux de sécurité (FSS) n’a été reçu par son département.
D’ailleurs, le Fonds d’intervention pour le développement (FID) est strict quant à la surveillance des investissements ainsi que la mise en œuvre du projet, soutient-il durant l’ouverture officielle de la semaine FSS Analamanga, hier. Par contre, les plaignants devraient apporter une preuve pour une enquête. La semaine de la protection sociale, pour la Région d’Analamanga est célébrée depuis hier au Parvis de l’hôtel de ville à Analakely. Le but de cette activité est d’informer les habitants de la Région d’Analamanga sur le projet. Il y a aussi une concertation pour mettre à jour la politique de protection sociale.
Outre une exposition des bénéficiaires ainsi que des conférences, les acteurs ont reçu des certificats de reconnaissance.
Résilience des familles bénéficiaires
Cet événement marque aussi la fin du projet     « Filets sociaux de sécurité » pour Antananarivo dont le projet « Mijoro sy Milofo ». 30 000 ménages à Analamanga ont bénéficié de ce projet.
Le projet FSS est lancé en 2016. Il vise à soutenir les familles vulnérables et à les accompagner vers un avenir meilleur. 1 355 500 familles issues de 15 Districts en sont les bénéficiaires. D’ici septembre 2023, le ministère se concentrera sur un nouveau projet dénommé « Filet de sécurité et résilience ».
Anatra R.


Une mort dans d'atroces souffrances ! C'est ce qu'on peut dire de ce couple du quartier d'Andranomadio à Toamasina. Le week-end dernier, sa maison a pris feu au beau milieu de la nuit. Le plus horrible dans cette affaire, c'est que les locataires avaient été surpris en plein sommeil par les flammes, qui étaient en train de dévorer leur appartement. Quoique grièvement brûlés, le chef de famille qui a 42 ans et son épouse de 37 ans, ont pourtant survécu à leurs brûlûres après que les riverains ont réussi à les extirper du brasier. Puis, les victimes ont été hospitalisées. Hélas, leur survie n'était que de courte durée ! Trop courte même. Leurs brûlûres ,au troisième degré, n'allaient leur offrir aucune chance. Mardi dernier, c'est l'homme qui a succombé en premier, son état ayant été plus grave.
De son côté, son épouse a diablement souffert aussi. "Elle a demandé à quitter l'hôpital pour rentrer à Fénérive-Est. De plus, elle n'aurait peut-être pas supporté le fait d'apprendre la mort de son conjoint", rapporte une source. Son moral était en berne et elle était psychologiquement très affaiblie par le choc émotionnel lié à cette perte d'un être cher, mais aussi la douleur physique, qui était intenable. Elle a fait alors une dépression nerveuse.
Pris de pitié pour elle, les médecins l'ont laissée partir. "Malheureusement, elle a succombé au cours du voyage en taxi-brousse, qui devait la ramener à sa ville natale à Fénérive-Est.
Et pourtant, le personnel soignant a fait tout son possible pour tenter d'alléger ses souffrances physiques et sa douleur. De même, des personnes de bonne volonté ont afflué pour apporter une aide, soit morale, soit matérielle au couple. Des autorités locales n'étaient pas restées de marbre non plus. Tous étaient venus au chevet des victimes, et ont fait de leur mieux pour les aider dans ces moments difficiles.
Le couple qui n'avait pas d'enfant, se spécialisait dans la vente de poulets de chair. La nuit du samedi dernier, il y eut un délestage dans son quartier. Les époux ont dû allumer un réchaud à charbon pour continuer le travail. Or, vaincus par la fatigue et le sommeil, les époux s'étaient couchés immédiatement, oubliant ainsi d'éteindre le feu à ce réchaud. Et c'est ce qui était à l'origine du drame. Les victimes dormaient à poings fermés lorsque l'incendie a éclaté. Et on connait la suite.
Franck R/ Kamy


Le championnat de Madagascar de Run sur 400 mètres baptisé «  King of Mobil Drag Racing », est à suivre dès 9h sur la piste de la BATAC Arivonimamo, ce dimanche 9 juillet.
La liste des engagés s’annonce déjà complète pour disputer du nouveau « king » 2023 en  Open et en Sono.
L’organisation est en route pour le succès. De nouveautés ont été ajoutées au programme pour cette deuxième manche. En effet,  le titre du « king », sera disputé en Open. Cela permettra à tous les concurrents de se mesurer aux monstres de la discipline. Le concours de Sono aussi marquera cette manche.
Club Run Mada relève le défi de corriger tous les petits bémols de la première manche notamment côté chrono qui a suscité un « buzz » entre les concurrents.
 Il paraît que durant la course, le chronomètre électronique a fait un « bug ». « Suite à une mise à jour en pleine compétition, le bug est survenu lors du quatrième passage. Des tests ont déjà été effectués durant des jours avant cette manche et tout est déjà bien en place après des heures de remise à jour du chrono. Cette fois-ci  donc, un temps joker sera affiché durant la compétition », assure le directeur de course.
Ce dernier appelle à tous les participants de se soumettre aux règlements. Notamment, le passage au crack avant l’accès sur piste qui est valable pour tout le monde.
Concernant les ordres de départ, tout se fera en fonction des  meilleurs après le premier passage. Autrement dit, le meilleur temps  sur la piste A et le deuxième sur piste B, et ainsi de suite, pour éviter les doutes des participants.
Orange Madagascar, partenaire de l’événement, offrira un smartphone aux mécaniciens du vainqueur de cette deuxième manche.

Concours Sono club CSAM
Tous les participants devront être sur place à 9h. Une nouvelle catégorie sera mise en place pour les classes A et B, tandis que les moins performants viendront s’ajouter aux catégories 1,2,3.
«La sonorisation sera mesurée par le décibel intérieur et extérieur et vote public », d’après le responsable du club CSAM, chargé de l’organisation.
Durant la pause, un défilé et démonstration Sono embarqué seront au programme des concurrents et des participants pour le public.
Run Mada distribuera des primes pour tous les podiums de cette deuxième manche hormis les trophées et goodies venant des sponsors.
Elias Fanomezantsoa

LA UNE DU 06 JUILLET 2023

Publié le mercredi, 05 juillet 2023

Un camion de marchandises mais aussi de personnes s'est renversé, faisant deux morts dont un nourrisson d'à peine un an et quatre blessés. Ce drame s'est produit vers 7h du matin hier sur une voie secondaire de la localité de Bekabija située à 45 km de Tsaratanàna, qui aurait dû être d'ailleurs la destination finale du camion. Les deux enfants, car le second n'avait que 9 ans, auraient été comprimés sous le poids des marchandises, essentiellement des cageots de boissons, selon une source auprès de la Gendarmerie à Tsaratanàna. Quant aux blessés, ils ont été évacués d'urgence au CHRD d'Ambondromamy d'où ce camion était parti. Puisque le drame est survenu loin du village le plus proche, cela a compliqué la tâche des secours. C'est une équipe de gendarmes dépêchés sur place qui les ont organisés.

L’affaire Maître Kanto Rakotonatoandro, du nom de cette femme huissier de justice travaillant à Mahajanga, agite le microcosme judiciaire ces dernières heures. Accusée d’abus de fonction, cet officier chargé d’exécuter les missions d’ordre légal a été placé sous mandat de dépôt depuis jeudi. Un placement sous détention provisoire jugé illégal par ses pairs. Face à cette situation, les huissiers de justice ont cessé leurs activités, hier, en guise d’avertissement. Au cours d’une conférence de presse toujours hier, des huissiers dénoncent des vices dans la procédure ayant conduit le placement sous mandat de dépôt de leur pair. 

Bien que l’examen du BEPC ne soit pas encore terminé, beaucoup de personnes quittent la Capitale pour rejoindre les côtes afin de prendre du bon temps. En effet, les gares routières comme celle d’Andohatapenaka ou au Fasan’ny karana sont prises d’assaut depuis lundi dernier.

« Nous, on préfère partir en vacances avant que le véritable raz-de-marée n’arrive. Dans nos calculs, on estime qu’après la fin des épreuves du BEPC, il sera très difficile de trouver des taxis-brousse ou pire, les frais vont augmenter », insinua un couple avec ses deux enfants qui étaient au Fasan’ny karana pour prendre la direction de la RN°1.

Actuellement, les frais sont sensiblement les mêmes que l’année dernière. En effet, pour aller à Mahajanga, une des destinations phares des vacanciers, le ticket coûte 50 000 ariary en général. Pour Antsirabe, le prix du ticket est de 20 000 ariary. 

De classe exceptionnelle

Publié le mercredi, 05 juillet 2023

La République Malagasy a droit et le plaisir d’avoir une Première dame de Classe Exceptionnelle.

Mialy Rajoelina Razakandisa, la présente Première dame, malgré son âge assez jeune, assume et assure de façon excellente son titre. Issue d’une famille dont l’éducation représente une priorité, Mialy Razakandisa, de son nom d’état civil, digne fille du couple Razakandisa Rodolphe force l’admiration. A noter qu’elle sort d’une moule de l’éducation chrétienne protestante réformée (FJKM de la Cathédrale Analakely). A Paris, la Première dame a effectué un cursus académique consistant dans une des célèbres Grandes Ecoles de France, le Conservatoire des Arts et Métiers. Etude  couronnée par un diplôme en Master,  en 1994, Mention Finances et Management. Elle a dû compléter son parcours toujours à Paris jusqu’en 2000. Date à laquelle, Mialy revient au pays et se  marie, la même année, avec Andry Nirina Rajoelina qui est resté au pays pour commencer ses activités.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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