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Le 9 décembre, les citoyens malgaches inscrits sur la liste électorale se rendront aux urnes, pour l’élection de leur Président de la République. En cas de deuxième tour, ils referont ce même trajet le 20 décembre. C’est à la suite du décret convoquant les électeurs adopté hier en Conseil de Gouvernement. Une convocation qui se veut du reste conforme aux dispositions constitutionnelles et légales en vigueur. En effet, entre hier 11 juillet 2023 et le 9 novembre 2023, date prévue pour le premier tour du scrutin, 121 jours se seront écoulées, alors que l’article 51 de la loi organique relative au régime général des élections et des référendums parle d’au moins quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin. 

D’une pierre deux coups. Madagascar est à l’honneur à Londres pour recevoir le prix du concours des meilleurs dirigeants africains et pour vanter ses attractivités économiques auprès des opérateurs européens. En effet, la ministre de l’Economie et des Finances, Madame Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, élue meilleure ministre des Finances africains de l’année par l’African Leadership Magazine, et l’EDBM, élu agence de promotion du commerce et des investissements de l’année, représenté par son président du conseil d’administration sont présents sur les lieux. Ainsi pour cette première journée à Londres, le Grand argentier a été invité à prononcer un discours à la Chambre des lords, durant lequel elle a défendu les intérêts économiques ainsi que les potentiels de l’Afrique, essentiellement de Madagascar.

La une du 11 juillet 2023

Publié le lundi, 10 juillet 2023


SEMIPI (Sekoly miaramilam-pirenena), basée à Fianarantsoa,  figure parmi les six lycées militaires africains invités à défiler sur les Champs-Elysées le 14 juillet prochain. La plus ancienne école militaire existante à Madagascar sera représentée à cette occasion par huit éléments dont le commandant de l’école, le colonel Rafidison Alain Bernardin, un porte-drapeau et six gardes au drapeau. Ces représentants de Madagascar sont déjà sur place et s’apprêtent à défiler ce vendredi avec les délégués de l’école militaire préparatoire technique de Bingerville (Côte d’Ivoire), de l’école militaire préparatoire Général -Leclerc de Brazzaville  (République du Congo), du Prytanée militaire de Bembèrèkè (Benin) et du Prytanée militaire de Libreville (Gabon).
A l’instar de plusieurs pays dans le monde, Madagascar dispose d’une Ecole militaire, unique en son genre, qui a pour vocation L’Ecole militaire de Fianarantsoa créée en 1923 sous l’ère de l’administration coloniale. A cette époque, elle a porté le nom d’Ecole d’Enfants de Troupe et a vu ses jours au Camp Betongolo à Antananarivo. Deux ans plus tard, l’Ecole a été transférée au palais du Premier ministre à Andafiavaratra en étant dénommée Ecole Préparatoire de Madagascar. En 1940, circonstance l’exige, l’école a été déplacée à Besorohitra Fianarantsoa, sous le nom d’« Ecole supérieure d’éducation physique ». En 1942, l’école a été contrainte de se retrancher dans une grotte se trouvant à Alakamisy Itenina, à 40 km au sud de Fianarantsoa, à cause de la guerre menée par la France contre le débarquement de la troupe britannique sur la Grande île. En 1944, elle est revenue à Fianarantsoa, mais cette fois-ci dans la caserne de Tsaramandroso avec une nouvelle appellation d’« Ecole Militaire Préparatoire Technique de Madagascar ». En 1950, sa dénomination a changé en « Ecole Militaire Technique de Madagascar ». Toujours située à Tsaramandroso, après l’indépendance en 1960, elle a eu son premier nom malgachisé « Sekoly Fiofanana Miaramila ».
C’est depuis 1962 qu’apparaît le nom de « Sekoly Miaramilam-Pirenena » (SEMIPI) qui se trouve dans son actuelle implantation à Beravina, dénommée Camp Lequesne pour être baptisée Toby Général de Brigade Rakotonirainy Lucien 35 ans plus tard, c’est-à-dire en 1997.
La SEMIPI a été sous le commandement des officiers français pendant 17 ans. Le capitaine Ramanantsoa Gabriel fut le premier commandant de l’Ecole malagasy en 1940 et qui a pour vocation  de préparer des jeunes garçons pour intégrer les grandes Ecoles de formation d’officiers plus tard. L’actuel commandant de l’école, le colonel Rafidison Alain Bernardin est le 19e officier malagasy à sa tête.
La Rédaction

 



D'ici quelques jours, nous entrerons en pleine période de grandes vacances. Ce sera de nouveau la ruée sur les routes nationales pour regagner le soleil, le grand air, l'océan, du moins pour les vacanciers de la Capitale, ou vice-versa. C'est aussi la période des pélerinages pour les croyants. Qui dit voyage longue distance dit taxi-brousse. Mais pas forcément ! Toutes les catégories d'usagers vont se jeter sur les grands axes qui conduisent vers les destinations privilégiées des vacanciers de Tanà telles que Mahajanga et Toamasina. Comme à l'accoutumée, la RN2, la RN4, mais aussi la RN7 verront donc leurs trafics du coup s'intensifier. Cela suppose l'augmentation des risques d'accidents. Les récents et horribles faits survenus au cours du week-end dernier, d'abord à Antanimbary Maevatanàna où un accident de taxi-brousse a fait deux morts et une dizaine de blessés, mais aussi à Alakamisy Ambohimaha avec les mêmes circonstances d'accident, et le même nombre de victimes, attirent l'attention et doivent servir de leçon, si l'on veut éviter une éventuelle hécatombe sur nos routes nationales, dans les prochains jours.
Ce qui laisse supposer que les transporteurs des zones régionales et nationales devront afficher une vigilance maximale pour un objectif de zéro accident.
Du coup, les exploitants en taxi-brousse devront redoubler de précautions. En cause, l'état des routes, est déplorable, du moins par endroits, notamment sur les RN4 et RN2, les plus accidentogènes. Car l'état de la route est, à n'en pas douter, l'un des principaux facteurs d'accident.
Mais il y a surtout aussi la mauvaise pratique à éviter à tout prix : le tristement célèbre "Dona miverina", qui consiste à un chauffeur de taxi-brousse d'effectuer le long et même trajet de quelques centaines de kilomètres, sans faire un répit ou une halte.
Récemment, la direction générale de la sécurité routière est très ferme sur ce point : deux chauffeurs devront obligatoirement se relayer pour un trajet de 400 km et plus.
De plus, les coopératives vont devoir être très vigilantes sur l'entretien des véhicules, mais surtout les surcharges. Les autorités routières prendront des mesures drastiques envers les taxis-brousse qui ne respectent pas la norme exigée à propos de la charge maximale autorisée, ou surtout la hauteur des bagages à transporter sur les galeries des véhicules.
Enfin, les transporteurs devront imposer l'interdiction de consommation et autres prises d'alcool ou de drogues chez leurs chauffeurs.
Bien entendu, toutes ces précautions et autres recommandations, en vue de garantir un maximum de sécurité pour les passagers, sont aussi valables pour les transporteurs toutes catégories confondues mais qui empruntent les axes nationaux, en cette période de vacances.
Franck R.


Dans le cadre de la préparation des Jeux des îles, 11ème édition, qui auront lieu à Madagascar du 25 août au 5 septembre, six joueuses des Ankoay U18 ont été envoyées en stage respectivement aux Etats-Unis et en Afrique du Sud, depuis la semaine dernière.
Kristina Rakotobe, pensionnaire de l’université de Ushburn Virginie, aux États-Unis, a été désignée par la Fédération malagasy de basketball pour participer  au Basketball Without Borders (BWB) de NBA et FIBA global 2023 à Las Vegas. Un programme du NBA et la FIBA pour le développement de la communauté de basketball qui permet d'intégrer à l'Académie. Sur la soixantaine de participants issus de 33 pays, Christina Rakotobe est la seule représentante de la Grande île.
Tiffany Rabeniamina, quant à elle, participera au junior NBA showcase organisé par NBA et WNBA pour réunir les jeunes élites du basketball de 13 et 14 ans du monde entier avec la marque Nike à Las Vegas du 12 au 16 juillet prochains. Un programme ‘‘grassroots’’  pour aider les jeunes prodiges de basketball de cette tranche d’âge.
 Marion Rasolofoson, de son côté, vient de terminer son stage au NBA games du 5 au 7 juillet à Atlanta, aux Etats-Unis.
Trois autres joueuses malagasy participeront à la 19e édition de Basketball Without Borders (BWB) Africa qui se tiendra à l’American International School de Johannesburg, en Afrique du Sud, du vendredi 28 juillet au lundi 31 juillet. Il s’agit de Harena Randriamandimanana, Fitahiana Voary Ratsimason et Joanie Anyssa Rakotonanahary.
BWB Africa 2023 rassemblera 40 garçons et 40 filles de plus de 25 pays africains pour apprendre directement des joueurs, légendes et entraîneurs actuels et anciens de la NBA, de la WNBA et de la FIBA, et pour concourir aux côtés de leurs pairs venant de tout le continent.
Elias Fanomezantsoa


Des employés de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ont effectué une manifestation, hier, dans l'enceinte de l'hôtel de ville pour exprimer leur mécontentement. En effet, ils n'ont pas encore perçu leurs salaires du mois de juin, selon leur explication.
Selon la directrice des ressources humaines (DRH) au sein de la CUA, Rija Ethel Niaina Razafimandimby, le paiement des salaires du mois de juin est en retard. Une situation qui est due à un problème financier au niveau de la Commune.
« La CUA fait face actuellement à un problème de revenus. Cependant, nous ne restons pas les bras croisés. Nous essayons de trouver tous les moyens afin de régler cette situation dans un bref délai », soutient-elle. D'ailleurs, les employés ont reçu dernièrement une prime pour pouvoir célébrer la fête du 26 juin, malgré le retard du paiement des soldes. La DRH de poursuivre qu'en général, les salaires des employés de la CUA sont toujours payés à temps. Quant aux salaires du mois de juin, le virement bancaire a été déjà effectué vendredi dernier, mais le bon de caisse sera envoyé cette semaine.
Après ce conflit qui a failli tourner mal entre la Police municipale et les employés de la Commune, ces derniers ont décidé d'entamer un dialogue avec le maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina. D’ailleurs, le premier magistrat de la ville a encouragé les employés à revenir au travail puisque c'est le seul moyen d'aider la CUA à remplir ses caisses et à pouvoir régler ses arriérés.
La recette des Communes dépend de l'assiduité de la population, des entreprises ou encore des autres organisations à payer les impôts et taxes, outre les subventions venant de l’extérieur.
Anatra R.



Réformes. C’est en ce sens que les représentants ministériels, regroupés au sein du guichet unique de l’organisme « Economic Development Board of Madagascar » (EDBM), ont réalisé récemment à l’île Maurice une mission de partage d’expériences sur la digitalisation avec plusieurs acteurs de la transformation digitale. La délégation conduite par le directeur des réformes et du développement du secteur privé de l’EDBM était composée des collaborateurs au sein du guichet unique. Ces derniers étant dirigés par leur coordinatrice et des représentants du ministère de la Justice à travers le Registre national du commerce et des sociétés (RNCS), du ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation, du ministère de l’Economie et des Finances, plus précisément la Direction générale des impôts et l’Institut national de la statistique (INSTAT), du ministère du Travail, de l’Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales, ainsi que du ministère de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation.

Parallèlement aux réformes, afin d’améliorer continuellement ses services aux usagers, l’EDBM investit dans le renforcement des capacités de ses collaborateurs à travers la collaboration régionale en vue de contribuer davantage à l’amélioration du climat des investissements.  A cet effet, ce renforcement de capacités a été réalisé en collaboration avec EDB Mauritius, Regional Multidisciplinary Centre of Excellence, Africa Rise. Les échanges ont permis aux participants de prendre connaissance des meilleures pratiques à Maurice mais également dans d’autres pays d’intervention du programme « Africa Rise » comme les Seychelles, la Namibie, le Botswana, etc., en matière de transformation digitale, aussi bien au niveau du secteur public que du secteur privé.

« Orinasa »

Pour rappel, l’EDBM a initié la digitalisation de la création des entreprises à travers la plateforme « Orinasa » en 2020 avec l’appui du groupe de la Banque mondiale à travers le projet PRODIGY et de l’Union européenne à travers le projet PRECI. Le site d’information sur la création des sociétés a été opérationnel depuis 2020, la fonctionnalité de soumission des dossiers en ligne en 2021 et la gestion des comptes utilisateurs, l’interopérabilité et l’immatriculation en ligne en janvier 2022. La plateforme en ligne sur la délivrance des autorisations d’emploi est en cours de développement.

« Orinasa » est une plateforme numérique au service de l’écosystème entrepreneurial malagasy qui entre dans le projet d'optimisation des services de l'EDBM dans le cadre de la digitalisation. Avec la collaboration de la Direction générale des impôts, de l'Institut national de la statistique et du Registre national du commerce et des sociétés, l'objectif est de faciliter l'accès aux démarches de formalisation pour les créateurs d'entreprises nationaux et internationaux. Ainsi, les procédures d'immatriculation, de modification et de dissolution des sociétés, ou encore l’obtention des permis-licences-autorisations et visas peuvent être réalisées plus simplement. Tout cela favorise aussi la rapidité du traitement des dossiers. La gestion du projet est dirigée par les besoins et attentes des utilisateurs des services cibles.
La Rédaction


La nomination s'enchaîne pour les Eglises catholiques apostoliques romaines (ECAR) de Madagascar. Le pape François vient de nommer, hier, Monseigneur Jean Pascal Andriantsoavina, évêque auxiliaire de l’archidiocèse d'Antananarivo comme évêque du diocèse d'Antsirabe.
Mgr Jean Pascal Andriantsoavina est né le 24 mars 1969 à Mitsinjo, Mahajanga. Il avait suivi les études primaires dans son village d’origine et poursuivait ses études secondaires à Antsirabe, puis à Antananarivo. Après avoir obtenu le diplôme du baccalauréat, il est entré au petit séminaire d'Ambohipo. En 1991, il était admis au Séminaire propédeutique d'Ambohipo. Un an plus tard, il avait entrepris des études de philosophie au Grand séminaire d'Antsirabe. En 1997, lui et ses collègues avaient commencé à étudier la théologie et ouvert le Grand séminaire théologique de Faliarivo à Antananarivo. Il avait été diacre de l'Association eucharistique des jeunes, diocèse d'Antananarivo et avait été ordonné prêtre le 5 août 2000.
Après sa consécration, il a été nommé vicaire et prêtre de l'Equipe Chrétienne d’Aujourd'hui à la paroisse de la cathédrale d'Andohalo, puis prêtre de la Jeunesse de l'Eglise catholique au diocèse d'Antananarivo de 2001 à 2003. En 2007, il  avait obtenu le diplôme de licence canonique en écritures saintes à l'Institut biblique pontifical de Rome.
De 2007 à 2011, Mgr Jean Pascal Andriantsoavina avait exercé la fonction de préfet des études au Grand séminaire d'Antsirabe, ainsi que celle de professeur d'écritures saintes et de langues hébraïque et grecque aux Grands séminaires d'Antsirabe et de Faliarivo, ainsi qu’à l'Université catholique de Madagascar.
En 2011, il avait été nommé recteur du Grand séminaire d'études philosophiques d'Antsirabe, et en assumait la charge jusqu'en 2018, date à laquelle il était nommé curé à l'église Notre-Dame de l'Assomption, située à Imerinafovoany. Depuis mars 2019, il retraduit la Bible catholique en langue malagasy. Il avait été nommé évêque auxiliaire d'Antananarivo par le Pape François et a été consacré évêque le 11 août 2019. Depuis l’année 2007, Monseigneur Jean Pascal Andriantsoavina présente une émission d'études religieuses à la Radio Don Bosco (RDB).
Anatra R.

Candidat ou pas candidat !

Publié le lundi, 10 juillet 2023


La date fatidique approche. Sauf radical changement, le scrutin de la présidentielle se tiendra le 9 novembre, pour le premier tour, et le 20 décembre de cette année 2023, pour le second tour, d’après  le calendrier de l’élection présidentielle soumis par la CENI au Gouvernement qui aura le dernier mot. Selon toute probabilité, l’Exécutif emboitera le pas à l’institution d’Alarobia. Ce serait une très grosse surprise, quelque peu déconcertante, si Mahazoarivo, en concertation étroite avec Iavoloha, opte pour un autre calendrier. Certains acteurs politiques, virtuels candidats, s’impatientent. Apparemment, le Gouvernement prend son temps. C’est normal dans la mesure où la publication des dates d’élection, premier et second tour, coïncide à l’appel au vote des concitoyens en respectant le délai imposé par la loi et aussi un appel à candidatures suivi des conditions de recevabilité des dossiers ainsi que les délais voulus par la loi. 
Pas de panique ! Inutile de s’impatienter vainement ni de fantasmer pour des prunes ! Les responsables étatiques publieront le calendrier du scrutin prévu pour la fin d’année au moment voulu. Il y a un minimum de procédures à respecter. Chaque état-major politique, du moins ce qui est digne de l’être, aura largement le temps de se préparer.
Candidat ou pas candidat ! De toute manière, à quoi bon entretenir le flou ? Au final, il s’agit d’un secret de Polichinelle. Les intentions des uns et des autres pour la course à Iavoloha se font lire visiblement ou lisiblement voire facilement sur n’importe quel support, « vakiana fotsiny ». Des descentes sur terrain, des réunions de mobilisation ou de sensibilisation, des congrès régionaux, des meetings politiques, en somme des entrainements ou encore plus des « musculations » pour une mise en condition, le stretching, en vue de la grande compétition mais non pas de vaines  gesticulations pour des balivernes. En fait, on connait déjà qui fait quoi ! A quoi rime ce remue-ménage des états-majors ? Les candidats potentiels se préparent activement chacun de leur côté.
Pour qui est du cas du Chef de l’Etat, en exercice, sa candidature pour un second mandat coule de source. Une candidature qui s’inscrit dans le cadre de la continuité. Logique mieux légitime, la candidature du fondateur du parti TGV pour briguer un deuxième mandat incarne la volonté à parachever le chantier qu’on a débuté. Rajoelina Andry Nirina n’est pas du genre à abandonner en cours de route ou de celui qui ne finit pas ce qu’il a commencé. Cette histoire de double nationalité, qui selon certains acteurs politiques mal intentionnés provoquerait la non-éligibilité du Président en place dans le fait que son dossier de candidature serait irrecevable, ne l’impressionne guère. Il n’a pas froid aux yeux. Toutes les manigances et les trames afin de le décourager auront bien entendu une fin de non-recevoir. Au contraire, toutes ces démarches, l’œuvre des poltrons, consistant à jeter des bâtons dans les roues auront certainement pour effet de l’encourager à aller de l’avant. Madame, résidente à l’extérieur, qui tire les ficelles de méchantes attaques verbales en direction de l’homme fort du pays ferait mieux la boucler. Des boulets rouges qui ne l’atteindront jamais !
Candidat ou pas candidat ! L’essentiel réside dans le strict respect des intérêts supérieurs de la Nation.
Ndrianaivo

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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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