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Le Premier ministre Christian Ntsay a été reconduit à son poste en fin de semaine dernière. La formation du nouveau Gouvernement est- elle actuellement mise en stand-by par le Président de la République, Andry Rajoelina, qui a décidé de se donner du temps pour réfléchir à la meilleure équipe possible. Une chose est néanmoins certaine : deux poids lourds du précédent Gouvernement seront exclus de l’équation.
 L’un de ces poids lourds est Justin Tokely. Ancien ministre au sein du dernier Gouvernement, il a été élu député à Sambava et a été nommé président de l’Assemblée nationale en fin de semaine dernière. Tokely, qui a occupé le poste de ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation de 2022 à 2024 avant de reprendre le ministère de l’Intérieur en janvier dernier, est l’une des figures clés du régime de Rajoelina. Son élection en tant que président de l’Assemblée nationale le place désormais dans une position de pouvoir législatif. Cela éloigne ainsi sa participation au Gouvernement.
Le second poids lourd est Edgard Razafindravahy, qui a été ministre de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation dans le Gouvernement sortant. Avant-hier, il a été nommé secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), un poste prestigieux qui requiert une attention et un engagement total. Selon les statuts de la COI, le secrétaire général doit se consacrer entièrement à ses responsabilités pour garantir une gestion efficace et une représentation adéquate des intérêts de tous les membres. Cette exigence rend improbable le fait que celui qui a incarné la mise en œuvre du projet One district, One Factory (ODOF) puisse cumuler ce rôle avec une fonction ministérielle au sein du Gouvernement malgache.
La question de la reconduction des anciens ministres élus députés dans le nouveau Gouvernement se pose également. Parmi eux, Augustin Andriamananoro, ancien ministre de la Communication et de la Culture, et Fomendraza Haingo Elisette, ancienne ministre de la Population, ont tous deux été élus vice-présidents de l’Assemblée nationale, respectivement pour Antananarivo et Fianarantsoa. Leurs nouvelles fonctions au sein de l’Assemblée pourraient les éloigner des responsabilités gouvernementales, même si des exemples durant les précédentes législatures ont vu des vice-présidents de la Chambre basse aller au Gouvernement.
Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’Education nationale, Andriamanantena Razafiharison, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et André Haja Resampa, ministre des Sports, élus députés font partie de ceux dont l’avenir au sein du Gouvernement est incertain, même s’ils ont plus de chances de retrouver leurs postes que le contraire.
Si ces députés-ministres ne sont pas reconduits, cela libérera plusieurs places importantes dans la nouvelle équipe gouvernementale, ouvrant la voie à de nouvelles nominations. Cette situation pourrait permettre au Président Andry Rajoelina de restructurer son Gouvernement en intégrant de nouvelles personnalités capables d’apporter un souffle nouveau à la politique du pays. Les défis à relever sont nombreux, et la formation d’un Gouvernement solide et cohérent sera cruciale pour aborder les questions économiques, sociales et politiques qui se posent à Madagascar.
La Rédaction




Dimanche dernier vers le milieu de la matinée, la tête d’un homme âgé d’une trentaine d’années a été retrouvée sur les berges d’un ruisseau situé dans la localité d’Ambohiponana, dans le District d’Ambositra, Région d’Amoron’i Mania. Selon des témoins, l’horreur s’accentue davantage lorsqu’ils ont vu que le corps de la victime était introuvable. Hier toutefois, l’affaire a connu un rebondissement : la victime a été finalement identifiée car ses restes, qui sont à la fois carbonisés et démembrés, avaient été découverts, cette fois-ci dans un autre Fokontany, qui est pourtant distant de 3 km de la première localité où son crâne avait été retrouvé. En effet, il s’agit de Fidel Marcellin Rahajanirina, ou coach Haja, ou encore Maître Haja pour les intimes et autres élèves. De son vivant, l’homme était connu pour avoir été à la fois le propriétaire d’une salle de sport (fitness), mais aussi coach. Mais c’est également un homme d’affaires.

Et après qu’ils eurent été informés, les proches de la victime s’étaient également rendus sur place, c’est-à-dire sur le site d’une carrière. Les restes carbonisés et autres membres mutilés du coach Haja furent dégagés du fossé au fond duquel son ou ses meurtriers les ont cachés. En effet, la scène a été particulièrement émouvante lorsque les policiers, aidés par le « fokonolona », ont extirpé le cadavre rendu méconnaissable. La famille était sous le choc. Elle, qui a donné l’alerte au Commissariat suite à la disparition de la victime, deux jours avant l’horrible découverte. « Ses proches ont appris la mauvaise nouvelle sur les réseaux sociaux et ont accouru à l’endroit indiqué », assure la Police. « Nous étions dans l’inquiétude totale  après que nous n’avons plus reçu aucune nouvelle de lui,  deux jours après qu’il était parti et censé être sur la route vers Ihosy. Puis, des gens nous ont informé sur la découverte de ce crâne et son emplacement, mais nous n’avons pas cru que c’est lui jusqu’à ce que le corps ait été finalement retrouvé ce jour », confie un membre de sa famille.

Deux jours avant que son crâne n’ait pu être retrouvé, coach Haja a envisagé de se rendre à Ihosy. Mais en attendant que les enquêteurs puissent apporter la lumière sur cette triste affaire, on ignore encore le but de son déplacement à Ihosy. On ne sait pas si la victime allait y traiter une affaire ou non. Pour l’heure aussi, on n’a pas encore trouvé la trace de son amie. L’enquête en cours tente de déterminer le mobile de ce crime barbare. De son côté, la Police affirme qu’elle n’a encore attrapé aucun suspect dans l’affaire. Et qu’on ne lui connaît d’ennemi, du moins selon toujours cette source policière. « L’enquête n’a fait que commencer. Nous n’avons pas été notifiés de ce projet de la victime pour se déplacer à Ihosy », commente cette source. De leur côté, les proches de la victime n’ont qu’un souhait : « que justice soit faite ! ».

Franck R.











Toute une cohorte de véhicules et de chrétiens du temple FJKM Zoara d’Ambohipo, d’Antananarivo  se sont présentés, les 13 et 14 juillet derniers,  à Ambatondrazaka, première agglomération, censée être le centre de l’Antsihanaka,  pour y présenter et amorcer la diffusion de la « Baiboly sihanaka », la Bible dont le contenu est  en dialecte  « authentiquement » de cette ethnie majoritaire. Ont fait également  partie du déplacement des missionnaires américains et kényans, de diverses   organisations  qui ont contribué  à la réalisation du projet « Bible en dialecte sihanaka ».Ces  vingt-et-un « vahiny » sont issus de groupements  chrétiens qui, animés de  prosélytisme  en faveur du christianisme, soutiennent financièrement le projet « Baiboly sihanaka ». Ces groupements  sont le SIL,  l’Every People et de l’Every Mission. « …Et ils ne sont à leur premier projet  du genre et à Madagascar et dans le monde », ont dû signaler Suzy Rabehaja et Jeanne Fleurette, deux fidèles du temple protestant d’Ambohipo . Et de révéler que « les tribus tsimihety et betsileo, chacune en ce qui les concerne,  ont déjà été servies dans le même sens  que celui dont ont bénéficié les Sihanaka. Actuellement, nous nous occupons de servir toutes les tribus de la côte de notre île dans le même sens  », ont révélé les deux femmes dont le prosélytisme les rend intarissables. Et d’insister sur le fait que l’exigence est de mise pour ce qui est de la fidélité à ce qui est écrit en dialecte par rapport à ce qui est« originel », en grec et latin…tandis que la consultation des anciens de la tribu finalise l’opération !
La fête à la cité de Razaka
 Certes, ce furent essentiellement  les fidèles des quatre temples protestants de la ville d’Ambatondrazaka , sous l’égide du président synodal d’Ambatondrazaka vaovao, qui furent au stade manara-penitra ce matin du 14 juillet .L’ambiance fut on ne peut plus engagée.  La « Bible sihanaka » a son hymne. A titre personnel, le préfet a offert un zébu pour honorer l’événement. «Le monde entier a pu suivre l’événement sur Internet », selon les organisateurs.  Les personnes présentes dont les personnalités étatiques et les éléments des Forces de l’ordre  qui ont offert leur service à cette occasion…mais aussi les personnes des autres confessions qui ont honoré la cérémonie …ont reçu, chacune,  leur « Bible ». 44 000 autres débarqueront incessamment. Gageons que les villages en seront les premiers servis… Dans son point de presse, à l’issue de l’événement, le gouverneur de l’Alaotra –Mangoro, eu égard à ce que l’on  vient d’en être témoin,  déplore que de plus en plus de jeunes prennent du plaisir à tourner en ridicule la culture de sa propre ethnie dans leurs railleries.
Nandrasana
             

Innovation. Hier, à Soarano, la direction générale des douanes a dévoilé le nouveau E-Tariff Tool aux opérateurs, dans le cadre du programme Système Harmonisé (SH) Afrique. Cette plateforme en ligne, développée par le cabinet sud-africain Global Trade Solutions (GTS) sous mandat de l’Organisation mondiale des douanes (OMD), est conçue pour offrir au grand public un accès efficace et complet aux informations sur le tarif douanier. L'implémentation de l’E-Tariff Tool marque une étape importante dans le processus de modernisation de l'administration douanière. Zafivanona Ernest, directeur général des douanes, a souligné que cette initiative vise à améliorer les services douaniers et à renforcer la confiance des usagers envers l'institution. "L'implémentation de l’E-Tariff représente ainsi un pas de plus vers le processus de modernisation de l'administration douanière afin d'apporter un peu plus dans ses services dans l'optique de renouveler la confiance des usagers envers l'institution," a-t-il déclaré. La nouvelle plateforme est accessible via le domaine https://preprod.esupplychainportal.com/MCA/ , intégré au portail web de la douane. Les fonctionnalités offertes par l’E-Tariff Tool sont variées et destinées à faciliter l'accès aux informations douanières pour les utilisateurs. La plateforme comprend une version web du tarif douanier, permettant aux utilisateurs de consulter en ligne toutes les informations mises à jour en temps réel. Un outil de recherche est également disponible, permettant de trouver rapidement les informations nécessaires en utilisant soit des codes tarifaires, soit des mots-clés.
Accès simplifié
De plus, un simulateur de droits et taxes est intégré à la plateforme, permettant aux utilisateurs de simuler les droits et taxes applicables aux marchandises importées, facilitant ainsi la planification des coûts. La plateforme est disponible en versions anglaise et française, rendant les informations accessibles à un public plus large. L’E-Tariff Tool est alimenté par une base de données exhaustive comprenant toutes les documentations relatives aux tarifs douaniers, aux types de droits et taxes à l'importation applicables, ainsi qu'aux tarifs préférentiels et aux règles de taxation. Cette base de données comprend également des informations détaillées sur les réglementations en vigueur, permettant aux utilisateurs de rester informés des évolutions législatives et réglementaires. Pour les opérateurs économiques, l'introduction de l’E-Tariff Tool représente une avancée significative. L'accès simplifié et centralisé aux informations douanières permettra de réduire les délais et les coûts liés aux procédures d'importation. De plus, la transparence accrue et la possibilité de simuler les coûts douaniers devraient encourager les échanges commerciaux et faciliter la prise de décision pour les entreprises. Pour les usagers, cette modernisation des services douaniers contribue à une meilleure compréhension des processus et des obligations douanières. La facilité d'utilisation et l'accessibilité de la plateforme sont des atouts majeurs pour les importateurs et exportateurs, qu'ils soient novices ou expérimentés. Avec le lancement de l’E-Tariff Tool, la douane malagasy se positionne comme un acteur pionnier dans la modernisation des services douaniers en Afrique. Cette initiative s'inscrit dans une stratégie plus large de digitalisation des services publics, visant à améliorer l'efficacité administrative et à renforcer la compétitivité économique du pays.
Hary Rakoto

Le talent d’une artiste malagasy est exposé dans l’un des endroits reconnus à l’Hexagone. Malala Andrialavidrazana sera l'invitée de la saison d’hiver du Palais de Tokyo cette année. Au sein de cette importante institution dédiée à l'art contemporain, Malala Andrialavidrazana occupera l'espace Grande Verrière, soit un mur incurvé de plus de 60 mètres de long sur 6 mètres de hauteur où elle pourra déployer ses « Figures ». Cette exposition constitue à la fois une exposition monographique et une façon d’envisager une rétrospective de la série des « Figures » qui a débuté en 2015.
« Les Figures », œuvre monumentale de cette artiste contemporaine, occupera ainsi l’espace Grande Verrière au Palais de Tokyo, situé dans la capitale française, du 17 octobre 2024 au 5 janvier 2025. Il s’agit d’un espace d'exposition unique en son genre, situé au cœur de ce lieu emblématique de l'art contemporain à Paris. Cette verrière, d'une hauteur impressionnante, permet à la lumière naturelle de baigner l'ensemble de l'espace, créant une atmosphère à la fois lumineuse et apaisante pour les visiteurs. Cet espace d'exposition accueille régulièrement des installations artistiques grandioses, des performances théâtrales et des conférences, ainsi que des expositions temporaires qui mettent en avant des artistes émergents et reconnus dans le monde de l'art contemporain. Les œuvres présentées dans la Grande Verrière sont souvent spectaculaires et audacieuses, s'inscrivant parfaitement dans l'esthétique avant-gardiste du Palais de Tokyo.
Malala Andrialavidrazana, une artiste visuelle et photographe, est née en 1971 à Antananarivo. Elle a étudié les arts visuels à l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris et a obtenu son diplôme en 1994. Son travail explore les thèmes de l'identité, de la mémoire collective et de la représentation de l'Afrique. Elle utilise la photographie, le collage, la vidéo et l'installation pour interroger les différentes dimensions de l'histoire et de la culture africaines. Malala a déjà inscrit son nom dans de nombreuses institutions et galeries à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, à la Biennale de Dakar au Sénégal, et à la galerie Goodman située à Johannesburg, (Afrique du Sud). Elle a également remporté plusieurs prix et bourses pour son travail artistique. Notons que cette exposition a pu être réalisé grâce à un accord de partenariat signé entre Guillaume Désange, président du Palais de Tokyo et Hasnaine Yavarhoussen, fondateur du Fonds Yavarhoussen.
Si.R

La préparation va bon train pour les épreuves du Baccalauréat qui se déroulera à partir du 22 juillet sur tout le territoire national. D'après le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Fidiniavo Ravokatra, les  mesures de sécurité ont été renforcées, cette année, vu les difficultés rencontrées par les candidats l’année dernière avec la fuite de sujets et le délestage.

« Afin que cette situation ne se reproduise plus, notre département ministériel travaille avec le Gouvernement, les préfectures de police, les chefs du District pour la surveillance et la distribution des sujets dans tous les centres d’examen », rassure le ministre, durant une interview, hier. Et de poursuivre que des mesures particulières sont prises concernant l'emballage, le transport et la distribution des sujets au niveau des centres d’examen dans tout Madagascar.

LA UNE DU 16 JUILLET 2024

Publié le lundi, 15 juillet 2024

Handball-CCCOI - ASSM et THBC en finale

Publié le lundi, 15 juillet 2024

Deux équipes malagasy disputeront ce jour la finale de la Coupe des Clubs champions de l’océan Indien au Palais des Sports Mahamasina. Chez les hommes, l’Association sportive Saint-Michel Handball a décroché son ticket pour la finale ce dimanche en battant l'ASC Tsingoni 33-31 en demi-finale au terme d'une rencontre âprement disputée. 

Les Collégiens affronteront le Club de Handball Combani de l’île Mayotte. Contre toute attente, cette équipe mahoraise a fait tomber l’archi-favori l’AS Saint-Pierre de l’île de La Réunion en demi-finale sur le score de 36-34. Les Réunionnais n’ont subi qu’une défaite sur 6 rencontres. 

Une infraction peut en cacher une autre ! C’est ce qu’on puisse dire du sort de ces 18 ressortissants de Somalie, d’Ethiopie et des Comores. Déférés au Parquet d’Antsiranana, vendredi dernier, tous ces étrangers ont été ensuite placés sous mandat de dépôt à Ambanja, notamment pour séjour illégal dans le pays, entre autres motifs de poursuite. Cependant, aucune information n’a filtré pour essayer de comprendre comment ont-ils pu entrer à Madagascar avant que les autorités malagasy n’aient pu finalement mettre la main sur eux. Mais le fait est là : tous ces Africains n’ont pas de papiers. L’autre motif de poursuite est une tentative d’immigration clandestine vers Mayotte.

Des voix s’élèvent pour contester l’autoroute qui reliera Antananarivo à Toamasina. Certaines d’entre elles dénoncent son coût exorbitant. D’autres redoutent ses conséquences sur l’environnement. Il convient d’écouter et d’examiner ces contestations. Cependant, la balance entre les avantages et les inconvénients du projet autoroutier penche nettement en faveur de la poursuite des travaux jusqu’à leur achèvement. Le projet a fait l’objet d’études préalables approfondies. Rien n’a été laissé au hasard. La construction de cet axe autoroutier permettra la création de milliers d’emplois directs et indirects. A terme, la durée du trajet entre la Capitale et le grand port de l’Est sera considérablement diminuée puisqu’elle passera de 10h à 2h 30. La mobilité des personnes et la facilité des échanges seront décuplées, pour la plus grande satisfaction de tous. Il va sans dire que les transporteurs et les conducteurs se réjouiront de la baisse de la consommation de carburant.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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