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Editorial

Editorial (80)

Scénario haïtien !

Publié le dimanche, 25 juillet 2021 Écrit par

L’Afrique et ses « dérivés » renouent-ils avec le démon de la déstabilisation ? Attentat ou tentative d’élimination physique des hauts dirigeants en place réapparait. Le mortifère schéma des années 60-70, au cours duquel les colonels sortirent de leur caserne pour fomenter des putschs, refait surface.

 

Bouée de sauvetage !

Publié le mardi, 29 juin 2021 Écrit par

La Banque mondiale (BM) accorde un financement de 150 millions de dollars à Madagasikara dans l'optique d'une croissance inclusive. En 2019, le président de la Banque mondiale effectuait une visite officielle à Madagasikara. A peine installé au 1818 H. Street 20433 à Washington DC et investi de ses fonctions en tant que président du groupe de la Banque mondiale, David Malpass tenait à visiter la Grande île et cela dans le cadre d'un long périple le conduisant en Afrique et en Asie.

 

Grand pas en avant !

Publié le lundi, 07 juin 2021 Écrit par

Dans les Contes du terroir, on parle de la légende de Darafify et de Rapeto. Deux mythiques géants qui faisaient quelques pas seulement pour rallier Toamasina à Antananarivo ou deux pas pour rejoindre Arivonimamo d'Antananarivo. Il suffit de quelques grands pour faire de grandes distances. Les enfants s'émerveillaient quand « Dadabe » ou « Nenibe » racontaient ces histoires au coin du feu, le soir.

 

A bon escient !

Publié le lundi, 03 mai 2021 Écrit par

« The right man in the right place ! » Rakotoarisoa remplace Rakotoarisoa. Un homme de loi, succède en lieu et place d'un autre homme de loi. C'est fait, le président de la HCC est élu. Après quelque temps d'atermoiement, les Hauts conseillers de la Cour d'Ambohidahy ont fini par choisir leur président. Au lieu de huit jours, selon le règlement intérieur pour élire le président après la prestation de serment, les huit membres de la HCC sont parvenus à l'unanimité vingt-un jours après d'élire leur président en la personne de Rakotoarisoa Florent, magistrat de premier grade. Il prend le relais à Jean Eric Rakotoarisoa, Enseignant-chercheur et titulaire de chaire de la Mention Droit Constitutionnel à la Faculté de Droit de l'Université d'Ankatso (Antananarivo).

 

La une du 09 septembre 2020

Publié le mardi, 08 septembre 2020 Écrit par

L’ersatz providentiel !

Publié le mercredi, 02 septembre 2020 Écrit par

En déplacement à Antsirabe, sa ville natale, Rajoelina Andry lance un projet novateur. Débordant d’idées révolutionnaires, il entend apporter une solution pérenne, à titre d’alternatif au problème du chômage causé par la pandémie de Covid-19, il met à la disposition des jeunes de la Région le « Titre vert ». Il s’agit d’un projet destiné à pallier les effets collatéraux négatifs du confinement dont la perte d’emploi.  Les jeunes acquis à la cause pourront choisir entre l’élevage ou la culture ou bien les deux à la fois. D’emblée,  le projet ambitionne d’offrir une belle opportunité aux jeunes désirant s’impliquer dans le développement du monde agricole.
Madagasikara est un pays à vocation agricole. Soixante-quinze à quatre-vingt pour cent de la population vivent à la campagne et s’occupent des activités agricoles. Cependant, les vicissitudes de l’Histoire, les régimes politiques successifs allant de l’époque coloniale jusqu’à une période récente  sapaient la base d’une agriculture robuste et prospère et hypothéquaient l’avenir de l’autosuffisance alimentaire de la population.
Les colons qui s’installaient de force  sur presque les meilleures terres agricoles avaient réduit les indigènes cultivateurs en simples « salariés «. Conséquences immédiates, refusant l’idée de servir les intérêts des vazaha dans leurs propres terrains, la Terre des Ancêtres, hérités des Aïeux, les paysans avaient abandonné leurs activités ancestrales et fui dans la forêt. Le Première République entreprenait des efforts visant à remédier la situation. Les produits agricoles ont vu leurs rendements améliorés. Comble de l’histoire, la Deuxième République replongea le monde agricole dans l’abîme de la turpitude en conséquence de quoi les Malagasy ne parviennent plus à produire, en particulier le riz, pour satisfaire les besoins locaux.
Le projet présidentiel «Titre vert » a toutes les chances d’offrir à la disposition de la Nation, surtout aux jeunes, trois avantages majeurs. D’abord, l’initiative que le Président annonçait à Antsirabe va redonner à l’agriculture sa lettre de noblesse, oubliée depuis des lurettes. Le « Titre vert » va faire renaître le monde agricole de ses cendres. Une belle participation à la relance de l’économie nationale !
Ensuite, le « Titre vert » remettra aux jeunes le goût de s’aventurer dans des activités entrepreneuriales dans le monde agricole pour devenir plus tard de vrais opérateurs économiques. A  noter que l’agriculture est un avenir incontournable pour  Madagasikara.
Le troisième avantage, non négligeable pour le pays à travers le « Titre vert », réside dans le fait de pouvoir atteindre l’autosuffisance alimentaire. Un vœu pieux de tous les régimes, qui se sont succédé à Madagasikara, qu’aucun n’a pu concrétiser. Par le biais de ce plan révolutionnaire impliquant directement les jeunes, le pays aura la forte chance de parvenir à se suffire, alimentairement parlant,  de lui-même. C’est une ambition profonde du jeune visionnaire et Chef d’Etat malagasy.
Fallait-il le rappeler que le « Titre vert », l’ersatz providentiel pour combler les défaillances causées par la pandémie de Covid-19, s’inscrit dans la ligne droite du « Velirano » du Président afin, par la suite, de traduire en actes les engagements pris durant la campagne électorale. Le choix de Rajoelina à l’endroit  d’Antsirabe, sa ville natale, capitale du Vakinankaratra et baptisée Région pilote, pour inaugurer le départ du « Titre vert » n’est pas le fruit du hasard. C’est une Région à fortes potentialités agricoles et ceci explique cela !

Priorité absolue

Publié le lundi, 04 mai 2020 Écrit par

Le décor est planté plutôt re-planté. Le Gouvernement décida la prolongation. Réuni en Conseil des ministres, l’Exécutif décréta un nouvel état d’urgence sanitaire de quinze jours à compter du dimanche 3 mai. La quatrième quinzaine du genre ayant débuté le samedi 21 mars 2020. Le confinement partiel est donc maintenu et toutes les mesures de précaution renforcées.
Le choix de priorité constitue, dans la plupart des cas, une pierre d’achoppement des tenants du pouvoir. Un dirigeant de pays qui se trompe et s’égare dans les dédales du pouvoir, en faisant fausse route sur le choix de priorité, entraîne avec lui son peuple à la déliquescence.
Madagasikara, à la croisée des chemins, attend à tout moment de son dirigeant, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, de lui montrer le bon chemin à suivre. En ce moment délicat, les grands enjeux ne manquent pas et les défis de taille se bousculent.
Bien que le bilan global de la pandémie du coronavirus n’affiche pas un état aussi alarmant que l’on peut constater ailleurs jusqu’à ce jour et malgré un certain ras-le-bol  à la base et les inquiétudes des opérateurs économiques, le régime de Rajoelina ne recule point. Avec un total qui ne dépasse pas les 151 contaminés (date du 4 mai) dont de 99 guéris et 52 patients en traitement,  aucun cas grave et zéro décès, le Président de la République écarte toute tentative de desserrer l’étau, ni lâcher prise. Il est complètement conscient que le Covid-19 ne rigole pas. Le moindre relâchement coûtera cher.  Une imprudence mènera le pays à l’impasse. Se conformant à la logique de la priorité absolue visant les intérêts des 25 millions de malagasy, le Gouvernement met la barre plus haut. Toutes les mesures de prévention demeurent en vigueur. On ne se lasse point de sensibiliser la population à rester chez soi, à porter à tout moment et à quel endroit le masque à bouche et à nez, à se laver les mains avec du savon, à respecter le geste barrière de un mètre, à éviter tout contact physique à l’extérieur, etc.
A en décrypter la démarche d’action du Président Rajoelina, on se rend à l’évidence qu’il prend très au sérieux la santé de son peuple. Une priorité qui ne se négocie point. A l’opposé d’un certain Jair Bolsonaro, le Chef de l’Etat brésilien qui, en dépit d’une situation déjà alarmante dans son pays, défie indifféremment le Covid-19 et ne juge pas nécessaire à décréter le confinement et se donne allègrement avec bravoure à un bain de foule.  Rajoelina Andry n’est pas de cette espèce de dirigeant irresponsable. En bien, à chacun sa priorité !
Le Président malagasy ne sous-estime pas la tourmente des acteurs de l’économie nationale, seulement il y a une priorité absolue à laquelle il ne pourra pas se défiler à savoir l’intérêt vital de tous les concitoyens. Peut-être avec ce bilan assez non compromettant par rapport à d’autres cieux comme c’est le cas en France, en Espagne et surtout aux Etats-Unis, le régime serait tenté de détendre tant soit peu le confinement partiel mais on préfère maintenir statu quo les dispositions contraignantes et cela se débarrasser au plus vite de l’emprise du nouveau coronavirus. Une priorité absolue qui s’impose !



L'esprit solidaire

Publié le dimanche, 03 mai 2020 Écrit par

La pandémie de coronavirus met en danger mortel l'humanité. Une psychose indéfinissable plonge la planète Terre dans la terreur. D'un coup, quelles que soient ses conditions d'existence, riche ou pauvre, puissante ou faible, petite ou grande, l'espèce humaine se sent impuissante. Le vieux réflexe de survie surgit tout naturellement. Et le premier geste qui refait surface face à ce « cataclysme », ennemi commun risquant de décimer l'humanité, consiste à se resserrer les rangs. 

Parcours sans faute

Publié le vendredi, 01 mai 2020 Écrit par

L'opinion publique nationale, du moins ceux nantis d'un état d'esprit généralement correct et honnête, admet forcément que les tenants du régime MAPAR conduit par Rajoelina Andry Nirina effectue un parcours sans faute dans la gestion du processus de la lutte contre la pandémie du Covid-19 à Madagasikara.

Dans l’abîme de l’infortune !

Publié le mercredi, 29 avril 2020 Écrit par

 L’amour du prochain serait-il du domaine de l’utopie ? Le patriotisme, l’amour de sa Patrie et de ses compatriotes, de l’arnaque ? Négatif ! Il existe d’un vrai sentiment et d’une réelle compassion pour son pays. L’exemple des sacrifices de grands hommes de l’Histoire, ayant coûté parfois à leurs vies  tels Mahatma Gandhi, Vladmir Ilitch Lénine, Martin Luther King, De Gaulle, Nelson Mandela, Raseta Joseph et bien d’autres, nous en témoigne. Des acteurs politiques dignes qui de par leurs engagements ont conduit à la libération et au recouvrement de la dignité de la Nation.

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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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