Le secteur aérien est au plus bas, plus particulièrement pour la compagnie aérienne nationale. C'est pour cette raison qu'en 2017, Air Madagascar a trouvé un partenaire stratégique, en l'occurrence Air Austral, afin de l'aider dans son redressement. L'année 2018 a ainsi été la première année de la mise en application d'« Alefa 2027 », le plan de redressement de la compagnie aérienne. Entre la création de Tsaradia, la filiale domestique et la suppression des vols de Corsair, sans oublier le nouvel accord avec Kenya Airways, toutes les actions des deux partenaires se sont focalisées sur le redressement du transport aérien malagasy. En parallèle, les infrastructures ont également été retouchées.

Publié dans Economie
mardi, 01 janvier 2019

La UNE du 02 janvier 2019

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Editorial

  • Ambition légitime !
    Encore et toujours dans le cadre global des deux évènements de haute importance et d’intérêt supérieur pour Madagasikara, à savoir la visite d’Etat et le Sommet de la COI, le pays vise à devenir le grenier de l’océan Indien. Une ambition légitime que les dirigeants de la Grande île n’ont pas cachée aux membres de la délégation à travers les réunions préparatoires et durant les cérémonies officielles. En réalité, le pays compte fermement redevenir le « Grenier de l’océan Indien ». En fait, la Grande île le fut déjà durant la Première République. L’autosuffisance alimentaire fut une réalité vécue au quotidien. On exportait, à part les produits de rente tels la vanille, le cacao ou autres, du riz (le fameux « riz rouge » ou le riz de luxe, le Madrigal) en Europe jusqu’aux Etats-Unis d’Amérique, sans parler des îles voisines. Epoque où la Grande île portait fièrement l’étiquette l’« …

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