Devant des milliers d’habitants rassemblés au stade Maître Kira, Andry Rajoelina n’a pas fait dans la demi-mesure. A l’occasion d’une opération de distribution de « Vary Tsinjo » à 5 000 familles vulnérables et remise de kits scolaires aux élèves de CEPE, le Président de la République a profité de l’événement pour réaffirmer sa position vis-à-vis de Base Toliara. Le projet redémarre, mais sous conditions et dans l’intérêt du peuple, dit-il en substance.
« Le Sud, et en particulier Toliara, occupe une place particulière dans mon cœur », a lancé le Chef de l’Etat en préambule. Ce n’est donc pas un hasard si le Conseil des ministres s’est exceptionnellement tenu dans la Cité du soleil. Une manière de marquer l’importance stratégique de la région, mais aussi d’y ancrer des décisions concrètes.
Parmi elles, la relance du projet minier Base Toliara, longtemps gelé en raison de contestations sociales et environnementales. Le Président l’a rappelé sans détour. Il affirme en effet que « Ce projet avait reçu l’autorisation sous le précédent régime, mais j’ai décidé de le suspendre, le temps d’évaluer ses impacts sur la population et l’environnement ».
Aujourd’hui, assure-t-il, toutes les vérifications ont été menées, parlant des études environnementales, des bénéfices pour les Communes concernées, et surtout des retombées concrètes pour les habitants de Toliara. « Rien n’a été laissé au hasard », insiste-t-il. Andry Rajoelina souligne par ailleurs que180 millions de dollars par an seront versés par l’entreprise exploitante et versés dans les caisses de l’Etat, « sans aucune opacité », promet-il. Tout passera par ailleurs par le Parlement, assure le Président.
Mais au-delà des chiffres, le Chef de l’Etat veut parler développement. Il promet que les revenus générés par le projet seront directement réinjectés dans des actions en faveur des populations locales, telles que la sécurité alimentaire, la création d’emplois, l’accès à des outils de production, développement de l’économie bleue. « Je ne suis pas là pour signer des projets qui affament les Malgaches. Je suis là pour ouvrir des portes, donner des outils, créer des opportunités », a-t-il insisté.
Andry Rajoelina a aussi adressé une réponse ferme à ceux qui s’opposent au projet ou qui en dénoncent les potentiels effets néfastes. « Nous n’accepterons jamais que des voix isolées bloquent la marche de Toliara vers le progrès. Les opposants crient, tapent du poing, mais ils ne nous détourneront pas de notre cap : faire avancer Madagascar », lance-t-il.
L.A.
Le président du groupe parlementaire IRMAR à l’Assemblée nationale, Haja André Resampa, a réagi fermement aux rumeurs qui circulent sur une éventuelle prétendue motion de censure contre le Gouvernement Ntsay. Selon l’élu de Morondava, il ne s’agit que de pures spéculations et de manipulations politiques. « Les rumeurs de motion de censure ne sont que des manœuvres politiques destinées à semer la confusion dans l’opinion publique. Une séance d’interpellation entre le Gouvernement et les députés est bel et bien prévue à l’ordre du jour », a-t-il déclaré.
« Ce sera l’occasion de faire le point sur les actions réalisées, celles en cours, et les perspectives. Nous poserons des questions, comme le veut notre rôle. Mais cela n’a rien à voir avec une motion de censure. », rajoute-t-il.
Pour le président du groupe IRMAR, la majorité parlementaire reste solidaire de l’Exécutif et fidèle à la vision politique du Président de la République, Andry Rajoelina.
« A Tsimbazaza, la majorité soutient clairement le Gouvernement actuel qui met en œuvre la vision présidentielle. Une motion de censure n’aurait aucun sens dans ce contexte. Si une telle initiative venait de l’Opposition, nous nous y opposerions fermement. Elle ne viserait qu’à manipuler l’opinion et à troubler l’ordre politique », a-t-il insisté.
Haja André Resampa a lancé un appel au calme, dénonçant les fausses informations comme une « méthode politique irresponsable ». Il affirme que le groupe IRMAR place sa confiance totale en Andry Rajoelina, pour mener à bien les engagements pris envers le peuple malagasy. « Il est libre de choisir ses collaborateurs, conformément à la Constitution. Jamais nous ne chercherons à l’influencer, ni directement ni indirectement », a-t-il conclu.
E.F.
Par les temps qui courent, rares sont les hommes et les femmes qui réussissent à entretenir le respect des valeurs. Les courses folles et effrénées imposées par les besoins de la vie quotidienne, du lever du jour jusqu’à la tombée de la nuit, bousculent et empêchent un minimum de temps à cultiver le « jardin ». En vrai, le sens des valeurs se perd. Valeurs morales, intellectuelles, sociétales ou entrepreneuriales partent en fumée.
Seulement voilà, tout n’est pas perdu ! Il existe certaines espèces humaines rares. Elles sont là parmi nous. Elles gardent et soignent ferme, envers et contre tout, le sens des valeurs et cultivent avec soin leur « jardin ». Ces hommes et ces femmes gardent le cap.
Parmi ces « espèces humaines rares » figure Maminiaina Ravatomanga, Président Directeur Général du Groupe Sodiat. Un homme de conviction, de passion et de travail ! Les trente-cinq années d’existence, en perpétuelle évolution, du Groupe suffisent à convaincre les sceptiques et les détracteurs. Créé en 1990, le Groupe Sodiat ne cesse de grandir. Avec plus de 4000 collaborateurs, au jour d’aujourd’hui, le Groupe Sodiat compte dix secteurs d’activités stratégiques répartis dans cinq grandes Régions du pays. En dépit de tout et contre tout, le Groupe parvient à survoler le temps, à traverser trois Républiques et cinq régimes politiques. Evident, « Ny hazo avo halan-drivotra », les attaques et les critiques parfois visant la personne même du PDG, existent et s’intensifient au fur et à mesure où les activités entrepreneuriales croissent en nombre et en force.
De ces valeurs morales et entrepreneuriales émergent le silence, la discrétion et l’efficacité. Maminiaina Ravatomanga parle peu. Il préfère travailler dans le silence et la discrétion. Ce qui le procure un sens de valeur perspicace, une force de caractère qui, au final, impose le respect et l’admiration. De toutes les façons, il est difficile d’attaquer ou de porter des jugements mal venant sur quelqu’un qui, dans la vie pratique sociétale et professionnelle, prône le silence, discret et sobre. Ce qui irrite d’ailleurs ses « ennemis ». Mais, quand il se décide à réagir, il faut faire attention. Non pas parce qu’il va montrer ses muscles, loin de là. Aux critiques, Maminiaina Ravatomanga, le PDG du Groupe Sodiat répond par la force des valeurs de ses actes à savoir le travail, la passion et l’engagement qui ont fait du Groupe depuis ces trente-cinq ans d’existence une puissance et une référence incontestable et surtout l’unité de tous les collaborateurs se rangeant volontiers derrière leur patron. C’est une force indéniable !
Le sens des valeurs du Groupe Sodiat s’étend également dans la responsabilité sociétale. La Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) se trouve au cœur des priorités du Groupe Sodiat. La Fondation Sodiat dirigée par Mme Haingo Ravatomanga entend apporter des solutions au problème du chômage parmi les jeunes axé surtout à leur employabilité, soutien aux filles-mères afin qu’elles puissent franchir le seuil de l’autonomie et de la résilience et des apports aux insuffisances chroniques nutritionnelles auprès des familles vulnérables, etc. Autant de nobles soucis pour être aux côtés des concitoyens en situation de précarité. D’autres activités stratégiques font du Groupe un Repère national.
Que le Groupe Sodiat continue sa croissance tout en cultivant davantage le sens des valeurs !
Ndrianaivo
Dotés par la Banque mondiale. Une série d’équipements pédagogiques vient d’être remis à l’Institut de formation des infirmiers et rééducateurs paramédicaux (IFIRP), situé à Mahamasina. Ces outils seront utilisés dans les centres de formation paramédicale afin de renforcer la qualité de l’enseignement à travers des séances pratiques. En offrant aux étudiants la possibilité de s’exercer dans des conditions proches de la réalité, cette dotation permettra d’améliorer non seulement leurs compétences techniques, mais aussi la qualité des soins qu’ils dispenseront après leur formation. D’une valeur totale de 1.210.698.000 ariary (environ 260.000 dollars), ces équipements comprennent entre autres des mannequins de simulation « MamaNatalie », « Neonatalie », « Mama-U d’accouchement », le dispositif de bras d’injection RITA », le modèle de simulateur gynécologique ZOE, des pantalons anti-choc, ainsi que des poupées éducatives pour nourrissons.
« Ces outils permettront aux étudiants de faire des pratiques sur des modèles anatomiques au lieu de le faire directement sur des corps humains. Ils leur permettront aussi d’améliorer leurs acquis pour gagner en confiance, avant de les mettre en pratique »,annonce le ministre de la Santé publique, Professeur Zely Arivelo Randriamanantany. Cette initiative vise à rehausser le niveau de la formation des paramédicaux. Elle a également pour objectif de garantir aux Malagasy un accès à des soins de santé sûrs, efficaces et humains, grâce à un personnel paramédical bien formé et mieux préparé aux réalités du terrain. Cette dotation entre dans le cadre des efforts déployés par le ministère de tutelle, dans le but d’améliorer le système de santé à Madagascar, coïncidant ainsi avec la Politique générale de l’Etat.
E.F.
Une boutique de vente de téléphones portables, sise à Ankadifotsy, a été la cible de vol, depuis mars dernier. D'après une source, environ 30 téléphones auraient été détournés du magasin pour être ensuite bradés à des prix, plutôt dérisoires. Le propriétaire mais aussi des acheteurs -nous y reviendrons encore- ont alors porté plainte. Et l'enquête n'allait pas tarder à déceler une piste : le coup ne pouvait que provenir des salariés au sein même de ladite boutique, et les suspects, au nombre de deux, ne sont autres que des vendeurs engagés par le propriétaire. Résultat : un employé en cause fut arrêté puis finalement placé sous mandat de dépôt à Antanimora, depuis. Avant-hier, un collègue du concerné a été, lui aussi, déféré au Parquet d'Anosy, puis placé également à Antanimora, pour le même motif de vol.
Factures bidon
D'après la Gendarmerie, le mode opératoire des suspects consistait à donner des fausses factures aux clients, ou bien ne pas en donner du tout. Bien entendu, tout cela au préjudice de leur employeur. Autre façon malhonnête utilisée par ces vendeurs en cause, la falsification : parfois, les renseignements à propos de la référence et du code Imei du téléphone qu'il propose à un client dupe, sont loin de correspondre avec ceux de l'appareil même. Enfin, les matériels de communication de vol auraient été bradés, ou presque. « Ils revendent un téléphone d'une valeur de 1,2 million ariary à seulement 800 000 ariary », fait indiquer une source.
Une famille poursuivie pour recel
Certains clients de ce même magasin sont à leur tour poursuivis en justice, pour recel de vol, et ce, à cause de ces histoires de factures. C'est le cas d'une famille dont le chef et sa progéniture ont été convoqués pour recel à la Gendarmerie de Betongolo. La convocation survenait deux mois après l'achat d'un téléphone à hauteur de 450 000 ariary auprès de cette boutique. « Or, on nous a donné une facture avec le cachet du revendeur. Mais en réalité, c'est qu'il ne s'agissait donc que d'une fausse facture », confie l'épouse du monsieur convoqué au Parquet car taxé à tort de recel. De leur côté, d'autres acheteurs n'ont pas de facture. Cette fois-ci, ils décident d'unir aussi leurs voix pour porter plainte contre les vendeurs de ce magasin.
Non-lieu et extorsions
Déférés mardi, les clients qui n'ont pas reçu de factures après l'achat de leurs appareils sont à la fois victimes et suspects, du moins aux yeux du propriétaire du magasin de téléphones. Ces acheteurs, alors totalement ridiculisés par cette tromperie, ont dû être entendus par le Parquet, jeudi dernier. Finalement, cette juridiction a qualifié l'affaire d'un non-lieu, du moins pour les clients qui ont présenté leurs factures, et que leurs téléphones auraient été restitués, depuis. Et que la justice exprimera sa décision finale, le 22 mai prochain. « Nous étions victimes d'une extorsion car on nous a demandé à payer encore plus, et tout ça avec une menace de nous mettre en détention, les 450000 ariary étant considérés comme tarifs promotionnels, selon les vendeurs », confie notre interlocutrice. Enfin, un véritable imbroglio dans lequel on ne sait plus quelle est la responsabilité du patron de cette boutique et où chaque camp,commerçants comme clients, est à la fois victime ou incriminé d' extorsion.
Franck R.
La signature du Projet d’aménagement des corridors et de facilitation du commerce et des investissements entre Madagascar et les pays du Marché commun de l'Afrique orientale et australe -COMESA (PACFC III) a eu lieu ce vendredi à Antaninarenina. Cette étape fait suite au Conseil des ministres du mercredi dernier à Toliara. Le financement accordé atteint 165 millions USD. Le ministère de l’Economie et des Finances, représenté par Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, a conclu l’accord avec la Banque africaine de développement (BAD), représentée par Adam Amoumoun. « L’objectif du projet est de renforcer les infrastructures pour fluidifier le commerce régional », a déclaré la ministre lors de la cérémonie. La première priorité consiste à réhabiliter la route reliant les ports de Toliara (Madagascar) et de Beira (Mozambique). Quant à la deuxième intervention, il s’agit de reconstruire entièrement la route nationale RNT 55, entre Bevoay et Morombe. Le troisième chantier, quant à elle, permettra moderniser la route d’accès à l’aéroport de Morombe. Des ponts seront également construits pour garantir la continuité des axes. Le volet douanier du PACFC III sera modernisé. Un nouveau centre de liquidation sera mis en place. Une brigade canine spécialisée sera déployée pour renforcer les contrôles. Résultat attendu : des échanges commerciaux plus sûrs et plus rapides. « Les phases I et II du projet ont déjà porté leurs fruits », a ajouté la ministre. La RN 9 entre Manja et Dabara, réalisée auparavant, a facilité les déplacements. De nombreux habitants de la Région ont exprimé leur satisfaction.
Energie durable
En parallèle, un accord a été signé dans le domaine énergétique. AXIAN Energy bénéficie désormais d’un financement de 5 millions USD. Ce soutien provient également de la BAD à travers son Fonds pour l’énergie durable en Afrique (SEFA). L’objectif est d’accélérer les projets en matière d’énergies renouvelables. Le portefeuille énergétique de l’entreprise atteint 1,5 gigawatt. Des projets solaires et hydroélectriques sont en cours dans plusieurs pays, notamment Madagascar, Côte d’Ivoire, île Maurice, Mozambique, Sierra Leone et Zambie. Pour Benjamin Memmi, CEO d’AXIAN Energy, « ce financement constitue une étape stratégique. Grâce à ce soutien, les projets connaîtront une accélération concrète sur le terrain ». En effet, Madagascar s’engage activement sur deux fronts : la connectivité régionale et la transition énergétique durable.
Carinah Mamilalaina
La belle Cyria Temagnombe, la représentante de Madagascar au concours « Miss World 2025 », vit une aventure enrichissante et passionnante à Hyderabad, en Inde. Au cœur de cette ville dynamique, son quotidien est orchestré par une organisation rigoureuse qui mêle discipline et moments de complicité, dans le cadre d'un concours prestigieux. « Chaque matin, je me lève à 6 heures précises. Après une rapide remise en beauté, je consacre environ une heure et demie à me préparer, en particulier la coiffure et le maquillage, sous l'œil attentif de mon équipe. A 7h 30, je rejoins les autres participantes pour le petit déjeuner, qui se tient généralement jusqu'à 9h, dans un somptueux cadre de la salle à manger du Trident Hyderabad, notre hôtel de luxe », confie-t-elle.
Les journées débutent souvent par des réunions organisées par les responsables pour exposer le programme : visites des sites emblématiques de Hyderabad, shooting photo ou ateliers de développement personnel. Cyria explique également que les après-midis sont souvent réservés à des activités diversifiées comme le sport ou la natation, essentielles pour garder la forme, des excursions culturelles ou des répétitions en vue des spectacles. La flexibilité est clé, et quand le planning le permet, les filles s'accordent des moments de détente et d'exploration.
Les soirées peuvent être consacrées à des rencontres avec les organisateurs ou à des événements officiels. En ce qui concerne le choix des tenues, chaque jour demande une adaptation aux activités : robes élégantes pour les rencontres, tenues plus décontractées pour les visites ou les entraînements. Cyria prend soin de choisir sa garde-robe en collaboration avec son équipe, qui l'oriente tout en lui laissant la liberté d'exprimer sa personnalité. Elle change souvent de tenue plusieurs fois par jour.
Partager sa chambre avec Miss Maurice enrichit et réchauffe cette expérience. Leur cohabitation se déroule harmonieusement malgré les différences culturelles. La communication est simple et amicale : elles échangent sur leurs cultures, traditions, et spécialités culinaires respectives. Miss Maurice fait découvrir à Cyria la richesse de la gastronomie mauricienne, tandis que Cyria partage les délices de Madagascar. Ces partages renforcent leur lien et instaurent une solidarité cruciale dans ce contexte compétitif. En dehors des défilés et des paillettes, Cyria s'immerge dans une routine quotidienne alliant rigueur, culture et partage. Entre préparations, visites et échanges interculturels, elle découvre non seulement les défis à relever au concours Miss Monde, mais aussi une richesse humaine précieuse. Une expérience qui, assurément, marquera indéniablement son parcours personnel et professionnel.
Si.R
A l’occasion de la 40ᵉ Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie, tenue dans la capitale marocaine du 13 au 16 mai, Madagascar renforce ses partenariats sportifs à l’échelle internationale. En marge des travaux, le ministre malagasy de la Jeunesse et des Sports, Abdulah Marson Moustapha, a multiplié les rencontres bilatérales, avec pour ambition de positionner le sport comme levier de transformation pour la jeunesse et d’affirmer la place de Madagascar sur la scène sportive francophone.
L’un des moments forts de cette mission a été la rencontre avec Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football et vice-président de la Confédération africaine de football (CAF). Au cours de cet échange, le Maroc a confirmé sa volonté d’accompagner Madagascar dans l’homologation du stade Barea Mahamasina, ainsi que la mise en place d’un complexe sportif moderne à Antananarivo.
« Ces engagements suivent la vision du Président de la République, Andry Rajoelina, qui considère le sport comme un élément important pour développer le pays. Le sport permet de rassembler la population, d’aider les jeunes à progresser et de faire connaître Madagascar à l’international. Le pays veut maintenant faire du sport un domaine ambitieux et bien organisé », réitère le ministre Marson Moustapha Abdallah.
Le ministère de la Jeunesse et des Sports entend poursuivre cette dynamique dans le but de consolider des partenariats stratégiques et en mobilisant ses expertises internationales. Il affiche une diplomatie sportive audacieuse, centrée sur l’excellence, l’inclusion et la transformation durable du paysage sportif national. Le football, discipline phare du continent africain, est vu comme un vecteur privilégié de coopération entre nations.
Elias Fanomeazantsoa