Nos archives web
Super User

Super User


Sans discrimination. Le trafic d’espèces protégées de Madagascar, intercepté en Thaïlande mercredi dernier, a soulevé l’indignation générale. Les condamnations et les appels à des actions énergiques pour traquer les trafiquants par rapport au cas signalé et faire cesser le trafic des espèces uniques de l’île sont unanimes.
Les autorités gouvernementales sont sorties du silence samedi pour faire le point sur l’évolution de l’affaire. Devant la presse, l’Etat, représenté par le jeune ministre de l’Environnement et du Développement durable, Max Fontaine Andoniaina, et le directeur général de la Douane malagasy, Zafivanona Ernest Lainkana, a promis de sévir sévèrement contre les auteurs de ce trafic transnational.
C’est bien le cas de le dire en l’espèce au regard des dispositions légales sur la biodiversité à Madagascar et les normes internationales. Le crime commis sur le sol malagasy mais signalé à l’étranger ne restera pas impuni. Le ministère exhibe son arsenal lourd. « La politique de la tolérance zéro est sans concession. Les responsables de ce trafic seront punis, quels que soient leurs titres et nationalités sans distinction aucune », prévient le ministre. Le Gouvernement n’entend pas lâcher prise. « L’Etat traquera les trafiquants jusqu’au bout », a-t-il mis en garde.
Mercredi 1er mai, la Police thaïlandaise a informé Antananarivo du fait. De nombreux spécimens d’animaux endémiques de Madagascar étaient clandestinement transportés en provenance d’Indonésie. Les primates et reptiles en question sont natifs des Régions du Sud et du Sud-ouest de Madagascar, à considérer leurs aires géographiques de distribution.
D’après des informations communiquées par quatre grandes organisations luttant contre le trafic d’espèces protégées, les cargaisons ont transité en Thaïlande, dans un hôtel du District de Muang, Province de Chumphon. De là, elles devraient prendre la route de Bangkok, de la Corée du Sud et du Taïwan, les destinations finales. Mais leur périple s’est arrêté là.
Personne ne sait la date exacte d’arrivée de ces animaux en Indonésie ni la date de leur entrée en Thaïlande. « La quantité saisie pointe fortement vers l’existence d’un réseau organisé de trafiquants et aussi l’utilisation de la voie maritime pour faire sortir les animaux hors du territoire national », a déclaré Simon Rafanomezantsoa de WWF Madagascar.
D’évidence, ces animaux malagasy étaient l’objet de contrebande. Il est fort probable, suivant le patron de la Douane malagasy, qu’ils aient été sortis à des zones non occupées sur les côtes de l’île, lesquelles étant faiblement surveillées. « Le niveau de vigilance est très élevé au niveau de la Douane et le dispositif de contrôle aux aéroports et ports ne permet pas de les y laisser passer », a-t-il dit.
Une enquête internationale associant l’Interpol est ouverte parallèlement à l’investigation au niveau national afin de démasquer les trafiquants et de démanteler leurs réseaux. De fait, des groupes ont été mis sous surveillance depuis novembre-décembre. Quatre suspects ont alors été interpellés et placés en garde à vue pour le besoin de l’enquête. Les autorités sont en possession des preuves de leurs agissements. D’autres arrestations sont aussi en perspective.
Quant aux animaux saisis en Asie, les négociations en vue de leur rapatriement sont en cours entre Antananarivo et Bangkok. « Ils seront retournés à Madagascar. Le Gouvernement thaï y a déjà consenti », a rassuré le ministre. Ils seront mis en quarantaine une fois de retour au pays pour prévenir d’éventuelles contaminations durant leur voyage à l’étranger.
L’importante saisie en Thaïlande démontre la nécessité de redoubler d’efforts dans la lutte contre le trafic des espèces uniques du pays. Les autorités, de leur côté, ont annoncé le renforcement des mesures de surveillance des aires protégées, de contrôle et de surveillance des frontières et des mouvements des navires par l’organisation des patrouilles permanentes et l’usage des technologies. Des ressources et moyens conséquents sont requis pour ce faire.
M.R.


L'affaire est survenue à 2h du matin dans le quartier de Mahavatse, Toliara, samedi dernier. Des coups de feu y ont éclaté. Ils se sont soldés par l'élimination de deux individus potentiellement dangereux et qui furent longtemps recherchés par l'Unité d'intervention rapide de la Police ou UIR pour de nombreux faits de banditisme dont on les incrimine.
En effet, le commissariat central de cette ville du Sud a été informé sur les agissements d'un groupe d'individus armés dans le secteur. En effet, ces derniers auraient envisagé de perpétrer une attaque armée dans le quartier de Mahavatse lorsque l'alerte fut donnée. Du coup, le commissariat central y a dépêché les troupes de l'UIR pour contrecarrer le funeste objectif de ces malfaiteurs.
Une fois sur place, les Forces de l'ordre ont immédiatement procédé aux arrestations. Mais en face d'elles, les assaillants n'ont pas voulu se laisser faire et ont ouvert le feu sur les Forces. Il y eut un échange de tirs pendant lesquels deux suspects ont été mortellement touchés par les tirs de la Police tandis que leurs deux acolytes ont pu s'échapper. L'enquête a dévoilé que ce gang a plusieurs méfaits à son actif.
Dire qu'un autre bandit venait d'être éliminé aussi à Ankatsaka, Toliara, jeudi dernier. Le suspect a eu à la fois le fokonolona et les gendarmes à ses trousses au moment où il a voulu les semer et se cacher dans divers endroits lors d'une chasse à l'homme dont il en fut la cible après la débandade de ses compagnons. Ces derniers étaient sur le point de perpétrer un sale coup dans le secteur lorsque l'alerte était donnée.


Franck R.

Dans le cadre de la Mission économique et commerciale au Canada (MECC), prévue du 6 au 20 mai,  Oliva Vanitsara, responsable de la société AGRIEXPORT SARL à Madagascar, a souligné l'importance de leur deuxième participation à une mission économique au Canada. Elle a déclaré : "Nous avons vécu une très bonne première expérience, rencontrant des acteurs potentiels l'année dernière et établissant des contacts." Elle a également noté l'évolution de leur mission, passant de la simple recherche de débouchés à l'éducation des producteurs sur les besoins spécifiques du marché canadien. "Le marché est ouvert et demande des quantités importantes", a-t-elle ajouté. Elle a souligné que 10 Régions de Madagascar collaborent avec AGRIEXPORT SARL, fournissant une variété de produits, notamment des épices, des fruits secs et du miel. En mettant l'accent sur les normes sanitaires et biologiques, elle a souligné que ces critères sont essentiels pour les acheteurs étrangers. Seize entreprises malgaches s'apprêtent à intensifier les échanges commerciaux entre Madagascar et le Canada. L'objectif principal, orchestré par la Chambre de commerce et de coopération Canada-Madagascar (CANCHAM), est de renforcer les partenariats et de promouvoir les exportations malgaches vers le marché canadien, tout en attirant davantage d'investissements canadiens à Madagascar. Haingo Randrianarivony, présidente de la CANCHAM, souligne l'importance de cette mission économique, mettant en avant les opportunités offertes par le Salon international de l'agroalimentaire (SIAL) Canada 2024, où onze des seize entreprises participantes auront l'occasion de présenter leurs produits.
Promouvoir les exportations
Pour les entrepreneurs malgaches, le SIAL représente une plateforme inestimable pour rencontrer des acheteurs mondiaux et promouvoir la qualité des produits malgaches sur la scène internationale. « Nos entrepreneurs n'y sont plus à présenter, de même pour ce qui est de la qualité des produits que nous exposons. Le plus grand défi pour nous est de pouvoir satisfaire les demandes croissantes du marché canadien. Ceci sous-entend une amélioration de la capacité de production et donc plus d'investissements », explique Haingo Randrianarivony. Cette mission économique bénéficie du soutien du Projet de transformation économique pour une croissance inclusive (PIC 3), du Trade foreign office (TFO) Canada, ainsi que des ministères et de l'Economic Development Board of Madagascar (EDBM). Ces partenariats renforcent les efforts déployés pour consolider les relations commerciales entre les deux pays. L'accent est également mis sur les rencontres B2B et B2C ainsi que sur les visites d'entreprise, offrant aux participants l'opportunité de tisser des liens commerciaux solides et de mieux comprendre les marchés respectifs. La CANCHAM vise à surpasser les résultats des éditions précédentes, où des relations commerciales et des commandes totalisant environ 5 millions de dollars avaient été établies lors de la MECC 2023. En somme, la Mission économique Madagascar-Canada s'annonce comme un événement clé dans le renforcement des liens commerciaux entre les deux nations, offrant aux entreprises malgaches une vitrine pour leurs produits et une occasion de dynamiser les échanges économiques bilatéraux.
Carinah Mamilalaina




Joely kely n'en finit plus de séduire depuis son premier « one man show » qui s’est tenu en février 2022 au Théâtre de la Clarté, sis à Boulogne-Billancourt, dans la banlieue parisienne. Samedi dernier, c’était au Théâtre Traversière, sur une scène parisienne que l'humoriste malagasy s’est produit devant le public. D’ailleurs, c’est là qu’il s'est fait connaître il y a 4 ans grâce à la création de la page Facebook « C’est du Joely ». Ce spectacle qui a été préparé depuis près de 4 mois, et proposé par Andrianina Rajoelisoa - surnommé C’est du Joely - était très attendu. La salle affichait complet et le public a été impatient de découvrir le contenu de son spectacle intitulé « Mbola mijoro ».
Comme grande surprise créée par Joely kely, le spectacle s’ouvre sur une voix, celle de Fanja Andriamanantena qui présente l’artiste et considère l’humour en tant que véritable art, et le « stand-up » comme un art vivant à part entière. Dans une salle où il ne restait aucune place libre, l’humoriste a été acclamée par le public encore secoué par les rires.  L’artiste a voulu montrer que son message était clair : « L’humour, c’est du sérieux ». Contrairement à son premier spectacle en 2022 qui parlait beaucoup de l’ancienne vie de Joely à Madagascar, de son enfance, de nostalgie, en grande partie de sa mère, ce nouveau show était rempli d’anecdotes relatant le quotidien de l’humoriste.
Ces anecdotes relatent ses nombreuses aventures ayant fait tourner doucement la page de l’épisode « Madagascar », et parlent beaucoup plus de sa vie en tant que Malagasy à l’étranger. Ainsi, chaque spectateur pouvait s’identifier ou se sentir parfois visé. L’artiste parle de ses expériences personnelles en faisant quelques comparaisons avec la vie à Madagascar. Et ça marche car le public a été séduit. Joely kely a fait littéralement hurler de rire pendant près d'une heure et demie les quelque 300 personnes qui s'étaient massées pour écouter le comédien aux mille visages. Le titre « Mbola mijoro » faisait référence au « stand-up » mais aussi au fait que le comédien est encore debout malgré toutes les intempéries survenues dans sa vie, loin de sa terre natale. Durant le show, Joely kely a également martelé que c’est grâce au public qu’il est encore debout et peut s’épanouir dans ce métier qui représente également sa passion. Selon toujours ses dires, il ne prévoit pour le moment aucune tournée en Provinces françaises. Pour le grand plaisir des fans et téléspectateurs de la Grande île, le spectacle a été enregistré en vidéo. Actuellement, toute l’équipe de « C’est du Joely » attend avec impatience l’ouverture du support ou plateforme sur lequel les Malagasy du monde entier pourraient visionner ce show inédit.
Sitraka Rakotobe


Les Ladies Makis de Madagascar ont fait un exploit à domicile en battant le Kenya par 29-22 lors de la première journée de la Coupe d’Afrique des Nations féminine du rugby à XV «  Africa Women’s Cup »2024, qui se déroule actuellement à Antananarivo. Alors que les deux équipes étaient à égalité 22-22 après le « gong », à quelques mètres de la ligne d’en-but, les Makis ont repoussé la mêlée collective du Kenya pour faire sortir le ballon et ont marqué dans l’autre camp adverse. Une belle victoire assistée par le Président de la République Andry Rajoelina et son épouse Mialy Razakandisa Rajoelina ainsi que du ministre par intérim de la Jeunesse et des Sports, Valery Ramonjavelo, venus supporter les Ladies Makis.
Une victoire cruciale pour les protégées de Mboazafy Noé dit Razily car les Ladies ont déjà un pied à la Coupe du monde. En effet, en cas de victoire contre le Cameroun ce mercredi 8 mai prochain, Madagascar pourrait déjà se positionner à la deuxième place. Synonyme de qualification à la Coupe du monde du rugby à XV féminin troisième division WXV qui aura lieu à Dubaï vers la fin de l’année. Car la première équipe au classement représentera l’Afrique à la Coupe du monde de Londres 2025 de la première division et à la Coupe du monde du rugby à XV féminin (WXV1) du 22 août au 27 septembre 2025, en Angleterre et WXV2.
Malgré cette première victoire, les Makis dames ne sont pas encore sorties de l’auberge. Pour cause, elles devront gagner le match contre le Cameroun avec bonus offensif et défensif pour espérer conforter leur avantage. Car, rien n’est prévisible pour le match Kenya # Afrique du Sud, deux pays anglophones dont le complot n’est pas à écarter entre les deux malgré le statut de favori des Spring Boks women qui ont battu 55-00 les Lionnes indomptables du rugby.
« On a eu le privilège de recevoir cette compétition chez nous. Nous n’avons pas subi trop de pression sur la sélection de nos joueuses contrairement aux compétitions internationales dont la liste reste inchangeable à un mois à l’avance à cause de diverses réservations. Les conditions météorologiques ont été aussi favorables pour nous. On  focalisera notre préparation sur la défense, la mêlée, la touche et aussi sur le coup de pied qui était notre handicap l’année dernière. La défense était déjà notre point fort doublé par le critère MAKIS (Mobilité, Agilité, K©ombativité, Intelligence, et Supporte les pressions). Les Kenyanes ont toujours mené au score, il a fallu supporter cette pression sur terrain surtout quand on joue devant son public, à la dernière minute», explique le directeur technique national Antsoniandro Andrianorosoa.
Face au Cameroun, la formation malagasy veut éviter tout contact face à une équipe costaude. Les Makis souhaiteront jouer leur propre jeu avec une touche d’amélioration pour gagner le maximum de points durant le match.
Elias Fanomezantsoa

%PM, %03 %024 %2024 %23:%Mai

La une du 4 mai 2024

Démarrée depuis le mois de mai 2023, l’édition 2023-2024 du plus grand  tournoi intercommunal de Madagascar, Atsimondrano Champions League (ACL), connaîtra son épilogue avec les  Poules des As à partir du 12 mai. Il s’agit des play-offs mettant aux prises les huit équipes demi-finalistes des deux zones A et B qui se disputeront sur deux sites de compétition à savoir Ambohimamory et Ambohijanaka. Les affiches des Poules des As ont été dévoilées : RN1 Fenoarivo #  FCB Bongatsara et Valence FC Andranohanoatra # Zazamola Itaosy sur le  terrain Ambohimamory. Les chocs FC Samada # Voromahery Tsiafahy et Tambatra FC Ambohimiadana # FC Loharano Fiombonana sont prévus sur le terrain d’Ambohijanaka.

Comme ils l'ont fait savoir, les étudiants mécontents et en grève à l'université d'Ankatso se sont de nouveau affrontés aux Forces anti-émeute, hier. Cette fois, les émeutes étaient plus violentes, une véritable escalade au cours de laquelle les universitaires ont échangé des jets de pierre contre les bombes lacrymogènes lancées par ces Forces sur les premiers.
Vers 11h, les tensions et les escarmouches observées sur place étaient telles qu'un élément des Forces, un gendarme, selon des sources, a été grièvement blessé en recevant un projectile lancé à toute volée sur son visage. Le colonel Tojo, commandant l'EMMO, a confirmé l'information. Il a ajouté qu'il a fallu transporté d'urgence la victime à l'hôpital Mpitsabo Mikambana à Tsiadana. Par la suite, le gendarme blessé fut transféré à l'hôpital militaire de Soavinandriana.

Un bloc de chirurgie cardiaque au Centre hospitalier de Soavinandriana (CENHOSOA). Il s’agit du premier bloc opératoire qui va accueillir une intervention à cœur ouvert à Madagascar. Les premières interventions s’y feront du 20 mai au 2 juin prochain. Quatre enfants ayant des malformations cardiaques seront privilégiés. En fait, les interventions chirurgicales à cœur ouvert peuvent désormais se faire dans le pays, et ce grâce à la mise en place de ce bloc spécialisé. Son opérationnalisation nécessite l’utilisation de nouvelles technologies ainsi que des matériels du dernier cri.

Le Gouvernement fait un pas vers la protection de son environnement en annonçant un partenariat avec les gestionnaires des aires protégées, intégrant l'utilisation des drones pour renforcer la surveillance. Cette initiative a été dévoilée hier à Antanimena par le ministre de l'Environnement et du Développement durable, Andonirina Max Fontaine. « Les drones sont l'une des innovations que nous pouvons utiliser pour protéger l'environnement », a déclaré le ministre Max Fontaine, en soulignant l'importance de cette technologie dans la surveillance des vastes zones protégées de Madagascar. La collaboration entre les gestionnaires des zones protégées et les militaires sera essentielle pour garantir le succès de cette initiative. Des plans détaillés doivent être établis, et une coopération étroite est nécessaire pour définir les conditions d'utilisation des différents types de drones afin d'obtenir des résultats efficaces.

Fil infos

  • Actu-brèves
  • Districts de Vohibato, Ikongo et Ivohibe - Vers un avenir lumineux et développé
  • Soins de proximité - De nouveaux bénéficiaires à Fianarantsoa
  • Développement - Le Président veut enclencher la vitesse supérieure 
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Réhabilitation de la RN7 - Le Président annonce des travaux imminents
  • Regards croisés sur la corruption à l'aéroport d’Ivato - Douanes et Sécurité publique s'expriment
  • ACTU-BREVES
  • Réinspection du Stade Barea - La non-homologation du stade confirmée

La Une

Recherche par date

« May 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

A bout portant

AutoDiff