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Foire de tous les espoirs

La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté.

Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités  lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la FEPA a gagné son pari.

Dans une démarche résolue vers plus de transparence et d'efficacité pour la conduite des affaires, Madagascar a inauguré le Portail d'informations commerciales de Madagascar (PICM), mardi dernier à Anosy. Ce lancement marque un tournant dans la façon dont les entreprises, les entrepreneurs, les agriculteurs, les producteurs, les coopératives, les chercheurs et le grand public interagissent avec les processus commerciaux dans le pays. Le ministre de la Promotion de l'industrie et du commerce, Edgard Razafindravahy, a exprimé son engagement à lutter contre la corruption et à promouvoir la transparence dans toutes les sphères de l'activité économique.

Que ce soit l’aspect de la vie quotidienne, la mode et même dans la  gastronomie, Andrianina Rajoelisoa surnommé « C’est du Joely » apporte une touche d’humour avec des vidéos qu’il poste sur Facebook.  Cet influenceur, stand-upper et humoriste-ambiance les facebookers  et est  suivi à la trace par de nombreux  internautes. Portrait.

Des rumeurs persistantes ont circulé l'année dernière sur la possible visite du Roi du Maroc, Mohammed VI, à Madagascar. Cependant, aucune confirmation officielle n'avait été émise, tant du côté du ministère des Affaires étrangères malgache que de l'ambassade du Maroc à Madagascar, et cette visite n'a pas eu lieu.

Cette fois-ci, une source officielle confirme que le Roi du Maroc se prépare à effectuer une visite officielle à Madagascar. La confirmation de cette visite émane du dernier Conseil des ministres qui s'est tenu mercredi dernier. Le compte rendu de cette réunion hebdomadaire de l'Exécutif malgache indique en effet de manière explicite que le souverain marocain "s'apprête à effectuer une visite officielle à Madagascar".

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ACTU-BREVES

Formation sur la prise en charge des victimes de violences sexuelles. Les autorités malagasy et françaises partagent des objectifs communs en matière de lutte contre ces phénomènes et de protection des victimes. Cette collaboration vise à renforcer les capacités des enquêteurs et améliorer la prise en charge des victimes de violences sexuelles. Ainsi, du 22 au 26 avril, deux enquêtrices expertes de la Maison de la protection et de la famille de la Gendarmerie de La Réunion ont assuré une formation au profit de 20 enquêteurs malagasy. Ces enquêteurs sont affectés au sein du Service de protection de l’enfant et des mœurs (SPEM) de la Gendarmerie et du Service central de la Police des mœurs et de la protection des mineurs (SCPMPM) de la Police. Ces unités sont spécifiquement chargées de la lutte contre la délinquance sexuelle et les violences intra-familiales.

Au cours de la formation, les enquêteurs ont bénéficié de rappels théoriques et ont participé à des exercices pratiques. Les deux expertes françaises ont abordé les aspects psychologiques et procéduraux liés à ces types de délits, mettant l'accent sur les techniques d'enquête spécifiques. Une attention particulière a été accordée à la manière de prendre en compte et d'auditionner les victimes, qu'elles soient majeures ou mineures.

Adopter des solutions innovantes pour résoudre le problème d’insuffisance d’approvisionnement en eau. La saison des pluies touche à sa fin et ce avec la pénurie en eau qui affecte plusieurs villes, notamment la capitale. Afin de se préparer à cela et de trouver des solutions à court et à long terme, un atelier stratégique et technique sur l’alimentation en eau d'Antananarivo s'est déroulé les 29 et 30 avril à l’espace « WELLSPRING » Ambohimangakely. Celui-ci a été organisé par le ministère de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène (MEAH) et visait à trouver des solutions innovantes pour résoudre le problème d’insuffisance d’approvisionnement en eau. Conduit par Fidiniavo Ravokatra, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène, et en présence du secrétaire général du Gouvernement, Miadantsata Indriamanga Rakotoarisoa, cet événement a rassemblé des représentants de la Présidence, de la Primature, du MEAH, de la JIRAMA, des chercheurs scientifiques, de bureaux d’études, des partenaires techniques et financiers, des projets et du secteur privé, favorisant ainsi un dialogue inclusif et un échange d'expertises. A l'issue de cet atelier, une feuille de route de résolution a été élaborée, traduite en plans d’actions concrets. Ces plans comprennent des solutions à court terme, à moyen terme et à long terme pour améliorer l'approvisionnement en eau à Antananarivo et assurer un avenir durable pour les générations futures.

Il est temps de faire le point sur la sécurité et la paix maritimes, ainsi que d'améliorer la coopération mondiale. La protection de nos côtes et des ressources maritimes doit être coordonnée pour être efficace. Dans cet objectif, des officiers supérieurs de la marine venant de 40 pays, issus des quatre continents, participent au African Maritime Forces Summit and Naval Infantry Leadership Symposium - Africa (AMFS/NILS-A) à Accra, au Ghana. Une délégation malagasy, dirigée par le contre-Amiral Gabriel Tsiriniaina, chef d'état-major de la Marine, participe aux débats du 29 avril 2024 jusqu'au 2 mai 2024. Ce rendez-vous international vise à élaborer des stratégies de coopération pour des opérations conjointes dans les opérations maritimes et côtières. Entre-temps, les efforts visant à lutter contre les activités illégales en mer sous de nombreuses formes différentes sont également discutés. Pour la première fois, ces deux conférences internationales, AMFS et NILS-A, organisées par l'US Navy et coordonnées par AFRICOM, ont été annoncées dans le but de rassembler les participants en un seul lieu, de résoudre des problèmes communs, et d'élargir et de coordonner le travail en mer. Cette initiative renforcera les relations stratégiques et contribuera à faciliter la coopération régionale face aux menaces maritimes.

 

La voie rapide d’Andranotapahana, la solution efficace pour sortir des embouteillages. Ce projet d’aménagement d’une nouvelle route pour relier la Route nationale 4 et la Commune d’Ivato est d’une importance capitale pour fluidifier la circulation dans cette partie de la Capitale. Actuellement, les travaux sont encore en cours, mais les usagers peuvent déjà emprunter ce raccourci d’Ambohitrimanjaka à Andranotapahana. « Moins de carburant au frais, rapidité, facilitation de trajet pour rejoindre l’aéroport » reviennent souvent dans les témoignages des automobilistes. Censé durer 4 ans, les litiges opposants quelques riverains et l’Etat a retardé largement le projet. Ainsi, selon les explications du ministère des Travaux publics, la procédure dans les tribunaux pour régler le conflit a grandement eu des répercussions négatives. Le ministère a cependant ajouté que tous les propriétaires de terrains touchés par le tracé seront indemnisés en bonne et due forme. Il est à noter que l’Etat malagasy a eu gain de cause auprès du tribunal. Avant l’expropriation proprement dite, des piquets de marquage ont été installés afin que les propriétaires puissent prendre en compte des parcelles qui seront utilisés pour les 4  kilomètres restants. L’entreprise en charge des travaux aura jusqu’à la fin de l’année pour tout terminer.

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La une du 30 avril 2024


Arrivé au Kenya dans la matinée d’hier, le Président Andry Rajoelina prend part au sommet IDA2024 à Nairobi, au Kenya aux côtés de 12 autres Chefs d’Etat africains et trois Premiers ministres. Le Chef de l’Etat malgache a fait un discours à la tribune du sommet IDA (International Development Association), une institution de la Banque mondiale. Le Président malgache a saisi cette occasion pour un énième plaidoyer sur la situation climatique qui a des répercussions sur Madagascar. « (…) les cyclones sont de plus en plus fréquents et violents. Le pays est fortement exposé au changement climatique par son caractère insulaire et la vulnérabilité de sa population », souligne d’emblée le Chef de l’Etat. Il évoque notamment le dernier cyclone Gamane qui a frappé la Grande île au mois de mars dernier et a fait des ravages dans le Nord, notamment des kilomètres d’infrastructures routières détruites et des milliers d’hectares de terres agricoles inondées.
Le Président souligne particulièrement le fait que ces catastrophes affaiblissent fortement le pays. « Un seul jour de cyclone demande en moyenne 3 ans de reconstruction », souligne – t – il tout en citant la situation de grande famine et de sècheresse dans le Sud du pays.
Des menaces pour l’humanité
« Aujourd’hui, vous n’êtes pas sans savoir que les dépenses militaires mondiales ont enregistré en 2023 leur plus forte augmentation en dix ans, atteignant 2.400 milliards de dollars en raison des multiples conflits, notamment à cause de la guerre en Ukraine », souligne toujours le Président malgache. Il attire l’attention des grandes puissances sur d’autres fléaux qui sont tout autant une menace pour l’humanité.
Et le Président de constater que « actuellement des milliards de dollars sont investis pour soutenir les guerres. Mais ce ne sont pas seulement les armes conventionnelles telles que les bombes et les missiles qui tuent mais il existe des armes beaucoup plus dévastatrices telles que la faim, la famine, les maladies et les catastrophes naturelles engendrées par le changement climatique. Ces fléaux tuent et déplacent des millions de personnes chaque année, créant des crises humanitaires sans précédent ».
Il déplore également le sort des victimes, dont des enfants, à cause de la famine, la malnutrition ou encore les effets dévastateurs du changement climatique.
Réalisations et défis
Il ne manque, cependant, pas d’adresser des remerciements à la Banque mondiale ainsi qu’aux donateurs de l’IDA pour les soutiens fournis en faveur de Madagascar dans la lutte contre la malnutrition. Il note que la coopération avec la Banque mondiale a permis une évolution positive de la croissance grâce à un programme décennal, diminuant le taux de malnutrition chronique de 42% à 38% entre 2018 et 2021.
A cela s’ajoutent les autres projets mis en œuvre dans le pays et qui reçoivent l’appui financier de cette institution financière tels que la réhabilitation des infrastructures routières, la distribution de titres fonciers à travers le projet CASEF. Malgré ces nombreuses avancées, le Président Andry Rajoelina fait part des défis liés à l’accès à l’électricité, entre autres, qui nécessite encore le soutien des partenaires financiers.
La Rédaction

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Constat accablant


Lors de son périple qui devait l’amener à Amboasary-Atsimo et de retour pour rallier Taolagnaro, le Chef de l’Etat Rajoelina a eu droit à une douche froide qui l’a irrité. En effet, le numéro un du pays se mit en colère en constatant de visu des dysfonctionnements et des négligences des agents locaux en liaison avec des responsables à l’étage supérieur. Rajoelina s’insurge du fait que des responsables au niveau des Fokontany snobent carrément des consignes et instructions qu’il avait bien voulues transmettre lors de ses passages précédents notamment concernant le carnet biométrique pour chaque famille.
L’Etat misait beaucoup sur l’usage à bon escient de cet instrument que chaque famille membre de la communauté (Fokontany) doit obligatoirement avoir en possession. Le père ou la mère de famille, selon le cas, est censé disposer et le garder soigneusement ce précieux outil. D’abord, on doit le remplir soigneusement avec l’aide des responsables dudit Fokontany des renseignements exacts et précis de chaque membre de la famille avec en tête le chef (le père ou la mère ou autre). Une erreur ou des manquements voulus ou involontaires qui se glissent dans le Carnet biométrique vont certainement fausser tout calcul ou induire en erreur les responsables à tous les niveaux. Le Chef de l’Etat, lui-même, devait préciser que ce Carnet est d’une utilité sans faille dans les actions de secours ou de remise de dons à l’intention de chaque famille bénéficiaire. Cela va sans dire que c’est un bien de premier plan servant d’abord à identifier chaque membre du Fokontany. Il s’agit là d’une utilité incontournable dans toutes les démarches relatives aux intérêts de base de la communauté villageoise ou des membres des quartiers urbains.
Le constat sur terrain des défaillances sur le traitement du Carnet biométrique que le locataire du Palais d’Iavoloha en personne a dû constater, dans une localité sise dans la Région d’Anôsy, ne représente en réalité que l’infime partie des cas accablants sur le territoire national. Rien que la « petite » partie  visible de l’iceberg et cela dans tous les domaines d’activités de la vie nationale. Des contrôles inopinés du genre qui s’était produit à Amboasary-Sud dans certains services sensibles mettront en lumière des cas de détournements de fonds ou de deniers publics par ici, des gestions douteuses du patrimoine national par là. Des trafics illicites des ressources naturelles endémiques pour certains, des vols ou détournements des aides allouées aux sinistrés pour d’autres, etc. Et pour couronner le tout, cerise sur le gâteau, la corruption et l’impunité. Le dernier rapport en date établi par World Justice Project, un très sérieux organisme ayant comme siège à Washington, place Madagasikara parmi les 10 pays les plus corrompus du monde. Trentième sur trente-quatre évalués, on est parmi les « cancres ». Si des pays comme Ile Maurice et Rwanda montrent une santé économique, c’est grâce à leur performance en termes de lutte contre la corruption. La simple volonté en tout cas verbale manifestée pour le combat ne suffit pas s’il ne s’est fait suivre des actes concrets dont entre autres l’éradication de l’impunité.
Les Institutions de Bretton Woods brandissent haut et fort la conditionnalité liée aux décaissements des fonds par l’effectivité de la bataille contre la corruption.
Ndrianaivo

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Actu-brèves


Vaccination efficace : Fondation Bill et Melinda Gates met en avant l'approche de la population dans les zones enclavées. Christopher Elias, président de la Fondation Gates, est optimiste quant à sa mission à Madagascar, mais il identifie comme principal défi l'approche des populations dans les zones enclavées. Chaque communauté possède sa propre culture et compréhension de la vaccination, menant à une certaine réticence. Il insiste sur un suivi rigoureux du calendrier de vaccination pour améliorer la routine d'immunisation, surtout pour les enfants qui n'ont pas complété leurs vaccins correctement. Cela a été évoqué lors de sa rencontre avec la ministre des Affaires étrangères, Rafaravavitafika Rasata. Cette dernière n’a pas manqué d’exprimer la gratitude du Gouvernement malagasy envers l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite à Madagascar (IMEP), en particulier la GAVI Alliance, pour leur visite durant la semaine internationale de la vaccination. Elle a souligné l'importance de cette campagne pour le Président et son épouse, marraine de la vaccination.



Coopération franco-malagasy : Elisabeth Claverie de Saint-Martin, PDG du CIRAD dans nos murs. Une réception a été récemment organisée à la Résidence de France à Madagascar pour célébrer la visite du PDG du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD). L'événement a rassemblé des représentants du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, du ministère de l’Environnement et du Développement durable, du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de l’ambassadrice de l’Union européenne ainsi que des acteurs de la recherche agricole et leurs partenaires. L'ambassadeur de France a souligné l'importance de la mission du CIRAD à Madagascar, démontrant l'engagement de la France envers la coopération dans la recherche agricole et le développement durable. En effet, Madagascar offre une grande diversité de terrains propices à l'observation, à l'expérimentation et à l'application dans des agroécosystèmes variés tels que les Hautes terres, le lac Alaotra, la côte Est, etc. Les activités de recherche du Centre à Madagascar sont en adéquation avec les 6 thématiques de recherche prioritaires de l'organisation, notamment la gouvernance et politiques publiques, les systèmes de production durables, l’Agroécologie, et bien d'autres.



La CENI ne lésine pas pour bien préparer les législatives. Une formation de formateurs est en cours de dispensation aux membres des bureaux de vote et des Sections recensements matériels de vote (SRMV) au siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à Alarobia. Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la préparation des élections législatives à venir. La formation, d'une durée de deux jours, a pour objectif de permettre aux participants d'acquérir les compétences nécessaires pour ensuite se rendre dans les différentes régions du pays afin de former les responsables locaux. Elle est conçue pour renforcer les capacités des formateurs en vue d'une préparation adéquate des prochaines élections. Selon le président de la Commission, Arsène Dama, cette formation vise à atteindre les objectifs fixés par la CENI. Ces objectifs incluent la préparation minutieuse des élections, en veillant à ce qu'elles soient inclusives, garantes de la paix et du calme dans le pays. La formation s'inscrit donc dans une démarche globale visant à assurer le bon déroulement du processus électoral et à garantir la légitimité des résultats.



CPGU : Distribution de repas chauds pour les personnes touchées par la malnutrition. Dans le District de Beloha, environ 1 250 personnes qui souffrent de malnutrition aiguë et chronique auront l'opportunité de recevoir des repas chauds du Gouvernement pendant une période de 20 jours. Cette initiative vise à répondre aux besoins alimentaires immédiats des populations vulnérables de la région. Le secrétaire exécutif par intérim de la Cellule de prévention et d'appui à la gestion des urgences (CPGU), le colonel Rolland Andriamanalinarivo, s'est rendu sur place pour le lancement officiel de la distribution. Dans son discours, il a souligné l'engagement du Gouvernement actuel à apporter une assistance rapide aux personnes affectées par la sécheresse dans le Sud de l'île. La pénurie alimentaire qui sévit dans la partie sud de l'île est principalement due à un déficit de précipitations lors des saisons de production agricole précédentes. Cette situation a entraîné des difficultés d'accès à une alimentation adéquate pour de nombreuses familles dans la région. Cette distribution de repas chauds à Beloha s'inscrit dans une série d'actions similaires menées par le Gouvernement. Des initiatives similaires ont été mises en place dans d'autres Districts tels qu'Amboasary, Betroka et Tsihombe au cours des derniers mois. Le Gouvernement actuel demeure engagé à renforcer ses efforts pour garantir le bien-être social et nutritionnel de la population, en particulier dans les régions les plus touchées par la malnutrition et la sécheresse.


Promouvoir la durabilité de la gestion des ressources marines et améliorer l’adaptation de la communauté face aux défis du changement climatique. Tel est l’objectif principal du projet BIOPAMA, axé sur le renforcement de la cogestion du parc national marin de Nosy Hara. C3 Madagascar a mené une étude sur la chaîne de valeur de la pêche aux poulpes sur deux villages cibles, à savoir Antsako et Lalandaka. Ceci en collaboration avec l’ONG « Zoology Society of London », ainsi que la Direction régionale de la Pêche et de l'Economie Bleue dans la Région DIANA. Les recherches se sont également étendues sur Ampasindava, étant donné la centralisation de la collecte des produits dans ce village.

C3 Madagascar a facilité l’obtention des cartes professionnelles de 911 pêcheurs, dont 34 % sont des femmes, travaillant quotidiennement au niveau des 21 villages, zones d’intervention du projet. Une association de pêcheurs a été primordialement constituée dans chacun des villages.  Cet effort a été mené afin de régulariser les captures et de faire respecter les normes applicables en l’occurrence. Pour pouvoir apprécier l’efficience de cette étude, arrivée aux termes de la mise en œuvre du projet, une évaluation de l’amélioration des revenus des ménages sera effectuée.

Compte tenu des résultats de l’analyse faite, tant auprès des membres de la communauté travaillant dans la filière que les entités concernées, des recommandations ont émergé afin d’améliorer ce secteur d’activité. Ces recommandations ont été discutées et partagées avec les partenaires collaborateurs de C3 sur toute la Région de DIANA durant l’atelier de présentation mené par le consultant expert Dr. Stephen Long. Elles touchent non seulement l’amélioration du marché, en valorisant les produits et en révisant les prix, mais également sur le plan juridique, notamment l’application du « Dina »…

Recueillis par P.R.



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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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