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La Société Agricole et Sucrière Malagasy (SASM) ne se limite pas seulement à ses activités principales consistant à relancer la filière canne et à réhabiliter l’usine sucrière à Brickaville. Elle œuvre également dans le volet social notamment dans le domaine de la sécurité. La SASM, en partenariat avec le Général Bertrand Cavallier, a remis des dons au bénéfice de la brigade de la Gendarmerie de Brickaville, la semaine dernière. Ce don comprend des tenues et des équipements de travail, des tables et des chaises et même la peinture pour le bâtiment.

Les Tananariviens ont subi des coupures à répétition et de plusieurs heures durant le week-end. Renvoyé dare-dare par le Président de la République de Madagascar de Morondava, le président du conseil d’administration de la JIRAMA et son staff ont tenu, hier, une conférence de presse en leur siège à Faravohitra. Le vrai fond du problème est d’origine technique lié aux infrastructures vétustes qui datent de 1975 et qui n’ont jamais connu d’amélioration. Alors que l’effectif de la population a doublé pendant ces quarante-cinq dernières années. La situation devient de plus en plus alarmante face à la grogne des abonnés. L’entreprise prend ainsi des mesures d’urgence pour résoudre le problème.

Le candidat n°4 aux communales d’Antananarivo, Naina Andriantsitohaina, accompagné des candidats conseillers municipaux, du député Lanto Rakotomanga, a poursuivi ses descentes dans le cadre de la campagne électorale, samedi, dans le troisième Arrondissement de la Capitale. Il est notamment descendu à Ampamatanana, Ambohitsoa, Saropody et Androndra où il a notamment tenu un meeting. « Nous n’avons pas attendu d’être élu pour travailler. Des engins sont déjà prêts pour débuter la construction des routes dans le quartier de Saropody.

Régulièrement privés d’électricité et d’eau depuis quelques jours, les usagers évoquent leur exaspération face à la situation. Ces derniers jours, une colère froide gronde auprès des usagers de la compagnie nationale malagasy de distribution d’eau et d’électricité. La raison : les coupures répétées de l’approvisionnement en électricité et les problèmes de fourniture en eau potable. Le week-end dernier, plus de cinq coupures d’électricité par jour ont été enregistrées dans de nombreux quartiers voire la quasi- intégralité des quartiers de la Capitale. Ces délestages, petites coupures d’électricité ou coupures d’électricité, la conséquence est la même, perturbent fortement les activités quotidiennes des usagers. Par ailleurs, ces coupures de courant répétées détériorent le matériel électrique.

Après 05 années de fermeture, la société SUCOMA pourra bientôt rouvrir ses portes. La relance de cette usine de transformation figure parmi les grands projets annoncés par le Président Andry Rajoelina, lors de son déplacement à Morondava pendant le week – end. D’ailleurs, le Chef de l’Etat en personne s’est déplacé sur les lieux accompagné du ministre de l’Industrie, entre autres personnalités. « Nous produisons 90 000 tonnes de sucre alors que notre besoin s’élève à 200 000 tonnes. Il faut donc produire davantage », a soutenu le Président Andry Rajoelina. Et lui d’annoncer qu’avant la fin de cette année, des experts internationaux vont faire le déplacement à Morondava pour constater l’état des travaux à faire.

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LA UNE DU 11 NOVEMBRE 2019

L’Afrique pour l’Afrique. Des mots qui résument le onzième forum de secteur privé. En marge de l’événement organisé au Centre de Conférence international (CCI) Ivato, l’Institut National en Science comptable et Administration des entreprises (INSCAE) a dispensé une formation intitulée « Empowering women and youth with entrepreneurial skills ». Ce séminaire destiné aux jeunes entrepreneurs africains s’est tenu au Nexta Andranomena pendant trois jours et ce depuis dimanche jusqu’à mardi dernier. En effet, face à la révolution industrielle qui attend l’Afrique notamment dans la transformation productive, il est indispensable de donner aux femmes et jeunes du continent les moyens d’acquérir les compétences entrepreneuriales. Les 87 participants vont alors devenir un grand acteur dans cette dynamique qui est en train de se développer en Afrique. « Un grand marché nous attend sur le continent africain. En 2017, l’Afrique a importé 17 millions de tonnes de riz. Désormais, nous allons transformer nos matières premières et cela à travers la promotion du secteur privé. 87 jeunes africains ont ainsi bénéficié d’une formation pour qu’ils développent leur capacité entrepreneuriale », explique le professeur Victor Harison, commissaire aux affaires économiques de l’Union Africaine, lors de son discours.

Issus des 6 lycées publics de la Capitale. La campagne de sensibilisation sur les droits des enfants, la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et contre le mariage précoce a pu toucher un millier de lycéens. Les 3 jours de campagne ont été une occasion pour l’association Fitia et ses partenaires de renforcer leurs activités dans cette lutte de longue haleine. D’ailleurs, cette action de ladite association, présidée et fondée par la Première Dame Mialy Rajoelina et non moins ambassadrice du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) dans la lutte contre les VBG, se fait chaque début d’année scolaire.
Hier, les élèves en classe de seconde et première auprès du lycée Jules Ferry Faravohitra (LJF) et ceux du lycée Andohalo (LAA) ont reçu leur part de conscientisation et de sensibilisation. « C’est la première fois que j’assiste à ce genre de campagne. Désormais, je connais les formes de violence et de non respect des droits de l’enfant ainsi que les autorités à consulter pour signaler des cas », avance Niriantsoa, lycéen du LAA. « Je suis surprise du fait qu’une personne témoin d’un cas de violence mais qui ne fait aucun signalement soit considérée comme un complice.

En réalité, nous ignorons si tel est vraiment le titre de la chanson. Celle-ci, à notre connaissance, n’a été immortalisée dans aucun album de Mahaleo et de mémoire, sauf lorsqu’elle a été enregistrée en live, elle n’a plus été incluse dans les playlist des concerts du groupe auxquels nous avons assisté. Il s’agit pourtant, à notre avis, de l’une des plus belles compositions du regretté Dadah, l’artiste ayant su parfaitement traduire dans la mélodie et son accompagnement, les sentiments exprimés par les paroles. Dans la version dont nous avions pu nous procurer dans les années 80, « Manina anao ‘nge aho » a été interprétée en medley avec deux autres titres mythiques, à savoir « Andro ririnina » et « Hanaraka anao » (entre les deux, plus précisément). Malheureusement, à force d’être repassée, la cassette qui renfermait cet enregistrement inédit a fini par rendre l’âme. Par la suite, nos recherches auprès de nombreux inconditionnels du groupe Mahaleo sont restées vaines. Si certains avouent avoir un vague souvenir de la chanson, d’autres n’en connaissaient pas l’existence. Gageons que si « Manina anao ‘nge aho » est ressuscité, il connaîtra autant de succès  -  sinon plus  - que les deux autres titres avec lesquels il était enchaîné, même s’il est dommage que l’on ne puisse plus l’apprécier avec la voix inégalable de son auteur, à laquelle s’ajoutait dans les refrains celle du non moins regretté Fafah.
Hery M.

Une touche de nouveauté dans le monde de l’artisanat malagasy. Les artisans seront désormais dotés d’une carte professionnelle numérique. La nouvelle carte a été présentée au cours d’une réunion des acteurs dans le secteur de l’artisanat hier au bureau de  la direction régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat à Antsirabe.Ladite réunion – à laquelle a participé les hauts responsables du ministère de tutelle et une centaine d’artisans – a permis d’aborder les nombreux avantages dans la possession de cette nouvelle carte. En premier lieu, elle servira de moyen de reconnaissance des artisans mais constitue également un critère de professionnalisation. La carte permet aussi aux artisans d’obtenir des offres de formation et facilite leur participation aux foires. A cela s’ajoutent d’autres formes d’appui dont pourront bénéficier les titulaires de cette carte.

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Editorial

  • Paradigme spécial !
    Les Partenaires techniques et financiers (PTF), délégation de l’Union européenne, France, Royaume Uni, Allemagne, Japon, Corée du Sud, Etats-Unis, Canada englobés dans ce qu’on appelle la Communauté internationale s’interrogent pourquoi la Grande île ne parvient-elle pas à se décoller ! Ils ont adressé à l’intention des dirigeants du pays, des leaders politiques, des intellectuels, de la presse, de l’opinion publique en général, une étrange sinon inédite lettre leur posant la question : « pourquoi Madagascar se trouve-t-il dans de telle situation ? ». Une situation de misère intenable alors que le pays dispose des atouts divers et multiples que certains n’en peuvent pas se permettre d’avoir entre les mains ! En fait, il s’agit concrètement d’une interpellation directe de la Communauté internationale à l’encontre des dirigeants et des responsables à tous les niveaux du pays. Une mise en réflexion de chacun sur la gravité de la situation dans laquelle les…

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