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La une du 06 mars 2020

Une maison traditionnelle s’est effondrée subitement, dans la nuit du mardi, en plein cœur de la ville d’Arivonimamo. Bilan, deux locataires, des fillettes âgées de 6 et de 8 ans et qui sont issues d’une même famille, ont trouvé la mort car ayant été ensevelies sous les décombres. La pluie diluvienne qui s’est abattue sur la région serait à l’origine de l’écroulement de la bâtisse, vétuste, selon des témoins. « En réalité, la maison en question est presque inhabitable tant elle est vétuste », rapporte un habitant du secteur. 

Un point de presse des hauts cadres du ministère de l'Environnement et du Développement durable (MEDD), présidé par le nouveau secrétaire général, le magistrat Rakotoarisoa Miadantsata Indriamanga, a lieu hier à Antsahavola. Et au cours duquel Mmes Ony Rabearivololona (directeur général du Développement durable), Lovakanto Ravelomanana (directeur du bureau national des Changements climatiques), entre autres, ont martelé l'implication du département en faveur des biens sociaux et économiques de la population. Les principales axes de la ministre Vahinala Raharinala dans son contrat programme mettent en exergue un environnement propice au développement durable de Madagascar, au-delà de la dimension reforestation/reboisement.

Après Ambohimiandra en novembre 2019 et Befelatanana en janvier 2020, le Centre hospitalier universitaire Mère-enfant de Tsaralalàna (CHU Met) vient également d’ouvrir son propre centre de vaccination. Hier, Mialy Rajoelina par le biais de son association Fitia et non moins en tant qu’Ambassadrice du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), accompagnée par le Pr Ahmad Ahmad, ministre de la Santé publique et le Professeur Charlotte Faty Ndiaye, Représentante résidente de l’OMS à Madagascar, ont inauguré un point de vaccination qui accueillera à partir de la semaine prochaine des parents et mères de famille pour faire vacciner leurs enfants. « La forte concentration de la population à Antananarivo demande des capacités de réponse à une demande de vaccination assez élevée.

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En quête de confiance !

Les trois entités devant garantir et assurer la défense et la sécurité du pays se concertent. L’Armée, la Gendarmerie nationale et la Police nationale, conventionnellement appelées Forces de la Défense et de Sécurité (FDS) accordent leur violon afin de combattre ensemble l’insécurité qui règne sauvagement dans le pays et surtout dans l’optique de regagner la confiance du peuple. C’est une grande première dans la mesure où les Hauts commandements respectifs des entités sécuritaires du pays se rendent compte d’une défaillance sinon d’un dysfonctionnement des opérations sur terrain. Les échecs répétés face à la recrudescence des actes de banditisme de plus en plus menaçants et meurtriers conduisent les ayants droit vers un profond désarroi. Le peuple, non seulement il est le détenteur du pouvoir souverain (Vahoaka Manjaka) mais est aussi le principal contribuable faisant fonctionner la machine de l’Etat. Cependant, ce peuple se sent abandonné à son propre sort. Les citoyens contribuables sont devenus des « laissés-pour-compte ».

L’une des rares aires protégées du même genre à Madagascar. L’autonomie financière reste un rêve pour les aires protégées, mais surtout pour leurs gestionnaires. Toutefois, ce rêve peut prendre vie. Et le Parc national Nosy Tanihely en est la preuve. Aujourd’hui, il constitue un vrai modèle de cogestion à dupliquer dans les différentes aires protégées du pays. « Le fonctionnement, les investissements et les dépenses relatifs au parc pour son développement sont entièrement supportés par ses ressources propres. Aucun financement venu des bailleurs de fonds ou subvention n’a été reçu par le gestionnaire. Les ressources sont obtenues à partir des droits d’entrée et d’autres services tels que la vente des articles de souvenir, mais aussi des droits de recherche, de la vente de produits ou des services effectués », a expliqué Dr Mamy Rakotoarijaona, directeur général de Madagascar National Parks. 

Après les diverses interventions médiatiques du vice-président de la Commission électorale nationale indépendante, ce fut hier au tour de l'intégralité du bureau du CENI, à commencer par son président, de se présenter à la presse pour tenter d'éteindre l'incendie née dès suite de la révélation de son vice-président. Celui-ci, en fin de semaine dernière, avait révélé l'existence de plus d'un million d'électeurs ayant des numéros identiques sur leurs cartes d'identité. Une annonce qui a fait réagir les différents courants politiques dans le pays, notamment l'opposition qui, se basant sur cette révélation, demande l'annulation de l'élection présidentielle suite à l'annonce faite par la CENI. 

Une aberration. Tel pourrait – on qualifier la dernière déclaration des membres de l’opposition rassemblés au sein du RMDM (« Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny Demokrasia eto Madagasikara) avant – hier. Ce rassemblement d’opposants issus du parti « Tiako i Madagasikara » (TIM) et du « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » (HVM) a, en effet, demandé l’annulation de toutes les élections depuis l’année 2018. Ces politiciens malheureux des dernières élections – dont Marc Ravalomanana et son poulain, Tahiry Ny Riana Andriamasinoro – ont profité de la déclaration de la CENI sur les irrégularités dans la liste électorale pour exiger que la présidentielle, les législatives, les communales et municipales soient à refaire. Ils sont jusqu’à remettre en question les résultats des scrutins lors de ces différents rendez – vous électoraux.

La présidente de l'Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa, a mis la pression sur le Gouvernement, hier, lors de son allocution d'ouverture de la session extraordinaire. Elle a exhorté le Gouvernement à travailler rapidement pour la réalisation de la Politique générale de l'Etat. A défaut, la Chambre dispose de moyens constitutionnels en conséquence.

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La une du 5 mars 2020

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Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

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