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Trop d’introuvables !

Raoul Arizaka Rabekoto disparait de la circulation. Décidément, Carlos Goen fait école à Madagasikara. Les « adeptes » de cette nébuleuse et dangereuse « école » se bousculent au portillon et augmentent au fil des jours. De quoi à inquiéter l’opinion et les observateurs. Et on s’interroge de la façon la plus logique ou normale : les responsables concernés sont-ils à la hauteur des attentes du pays ? Et la corruption et l’impunité gardent-t-elles toujours intacte leur emprise sur le système administratif ou juridico-sécuritaire du pays ? Il n’y a pas si longtemps que cela, nous avions remis en cause de façon criarde l’état déplorable lié à la porosité de nos frontières. La situation va de mal en pis. A ce rythme, ce pays qui est le nôtre risque fort de devenir s’il ne l’est pas déjà « la grande passoire de l’océan Indien » et la plaque tournante de  trafics douteux.

La longue liste de ces minables personnalités soupçonnées ou accusées de malversations graves portant atteinte mortellement aux faibles ressources du pays et qui disparaissent comme par magie de la voie publique nous agace au plus haut point d’autant plus que la maudite liste n’est point prête à clore la page.
Solonandrasana Mahafaly Olivier, l’ancien Premier ministre et chef du troisième Gouvernement cumulant le portefeuille du département de l’Intérieur et de la Décentralisation du régime HVM de Rajaonarimampianina Hery, mouillé dans des affaires de malversations causant des énormes  dégâts auprès  du fonds publics d’un montant total de 1 milliard d’ariary, disparait. Certains de ses complices ont déjà été interpellés suite aux travaux d’enquête menés par le BIANCO et le PAC.
Onitiana Realy, l’inamovible ancienne ministre de la Population et de la Condition sociale du régime HVM, ayant eu vent de l’éclaboussement sur la place publique des affaires de détournements des  deniers publics dans son ministère (Exercice 2017), ne donne plus aucun signe de vie.

Maharante Jean de Dieu, alias « Bevata », ancien ministre de la Fonction publique et ensuite de la Télécommunication toujours du régime HVM, après le constat d’irrégularités dans la gestion de l’argent public prévu à améliorer le domaine de la Communication à Toliary, est introuvable.

L’affaire Leva, Ludovic Adrien Raveloson de son vrai nom, qui défraie les chroniques embarrasse l’opinion publique. Député élu pour la seconde fois à Morondava, un nébuleux opérateur de la Région du Menabe, un milliardaire peu catholique, formellement inculpé pour des affaires malhonnêtes et de meurtre, Leva fut incarcéré à Morondava. Radié de la liste des députés, Raveloson parvient à bénéficier d’une LP et depuis malgré un nouveau mandat d’arrêt, il est en cavale. En dépit de l’appel de détresse de son épouse, l’homme reste introuvable.

Et le cas de l’ancien DG de la CNAPS, impliqué dans une grosse affaire de détournements à la Caisse nationale et frappé d’une IST, Arizaka Rabekoto réussit à se faufiler des mailles des services concernés. Lui aussi, il est introuvable !

Trop d’introuvables ! De deux choses. Ou bien, il existe quelque part une ferme volonté de jeter des peaux de banane sur le chemin du Président Rajoelina en faisant exprès d’afficher des actes compromettants (corruption et impunité)  pour salir le régime.  Sinon, ces disparitions témoignent de l’incompétence de nos FDS à maitriser la situation.
Ndrianaivo



Nicolas Dupuis, entraîneur national du football malagasy, vient d'annoncer la liste des Barea contre la Côte d'Ivoire pour la double confrontation opposant les deux équipes le vendredi 27 mars à l'extérieur et le mardi 31 mars à Madagascar. Le sélectionneur national est clair quant à son choix. « J'ai choisi la performance et la volonté», a-t-il déclaré. Le patron du banc de touche a confirmé son choix sur les trois nouveaux attaquants de pointe. Il s'agit du joueur d’As Virton Belgique, Alexandre Ramalingoum, du milieu de terrain de Lienfild FC Irlande, Hery Bastia et de Hakim Abdallah de l'équipe de réserve du FC Nantes. « Nous avons deux attaquants de pointe totalement différents. L'un qui joue à ras de terre et l'autre qui aime jouer en profondeur. Quant à Hery Bastien, c’est le moment opportun de le sélectionner dans l'équipe nationale. Il a une qualité qu'on a pas dans l'effectif précédent depuis la retraite de Faneva». Concernant Jeremy Morel, malgré sa blessure, je crois qu’il devrait être sur pied et reviendrait sur le terrain d’ici peu », préconise Nicolas Dupuis.
Pour la chance de qualification, nous avons toutes les cartes en main, 10points nous suffisent pour aller à la CAN. Il nous reste quatre matches alors que nous avons trois points d'avance sur deux équipes. «Certes, théoriquement l’équipe ivoirienne est beaucoup plus performante que nous, en plus c’est la quatrième équipe africaine. Mais malgré cela, on va jouer notre jeu et on va faire souffrir les éléphants à Abidjan. D'ailleurs ce match n’est pas décisif, il nous reste encore deux matches, un  contre l'Ethiopie et  un autre contre le Niger», rassure le coach.
Elias Fanomezantsoa
Gardiens :
- Melvin Adrien (FC Martigues, France)
- Ibrahim Dabo (JS.Saint-Pierre, La Réunion)

Défenseurs :
- Pascal Bapasy (JS.Saint-Pierre, La Réunion)
- Théodin  (Fosa Juniors FC, Madagascar)
- Jérôme Mombris (Grenoble Foot 38, France)
- Romain Metanire (Minnesota United, USA)
- Thomas Fontaine (FC Lorient, France)
- Jeremy Morel (Stade de Rennes, France)

Milieux de terrain :
- Anicet Abel (C) (PFC Ludogorets, Bulgarie)
- Marco Ilaimaharitra (Charleroi SC, Belgique)
- Rayan Raveloson (Estac Troyes, France)
- Ibrahim Amada (Al Kohr FC, Qatar)
- Bastien Hery (Linfield FC, Irlande)
- Dimitri Caloin (Sans Club)

Attaquants :
- Carolus Andriamahitsinoro (Al Adallah FC, Arabie-Saoudite)
- Alexandre Ramalingoum (RE Virton, Belgique)
- Lalaina Nomenjanahary (Paris FC, France)
- Hakim Abdallah (FC Nantes B, France)
- Paulin Voavy (Misr Al Makasa, Egypte)
- William Gros (AS Vitre, France)

Cinq joueurs locaux  joindront la liste au match retour à Madagascar le 31/03/2020 :

- Razakanirina Rakotoasimbola (GB - AS Adema)
- Arnaud Randrianantenaina (ATT - Cnaps)
- Ando Manoelantsoa (DEF - Cnaps)
- Maminiaina Safidy Rafenoarisoa (MIL - Elgeco Plus)
- Jean Claude Marobe (DEF - Fosa Junior)



A & C n’est que le début. Le Fisc ne lâchera pas facilement le redressement fiscal infligé à Claudine Razaimamonjy. Pour rappel, l’Etat a procédé vendredi dernier, en présence des représentants de l’Administration fiscale, d’un huissier de justice et des Forces de l’ordre, à la saisie de son hôtel sis à Ivato. D’après les autorités, sa fraude fiscale s’élève à 59 milliards avec une amende de 20 milliards d’ariary. Ce chiffre englobe le redressement dans toutes l’administration tant sur le marché public que sur les déclarations fiscales. « Nous avons réuni les renseignements obtenus du Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) et du Service des renseignements financiers (SAMIFIN) ainsi que des informations en possession de l’Administration fiscale. Par ailleurs, une précision doit être apportée que la saisie porte sur l'ensemble du patrimoine de madame Razaimamonjy, et non uniquement sur l’hôtel A&C. On répertorie en ce moment tout ce qu’elle possède. On vérifie même auprès des notaires. Même si ses biens portent le nom d’une autre personne, on le saura toujours », déclare Germain, directeur général de l’impôt. Vu que Madagascar se trouve dans un système déclaratif, ce sont les contribuables qui communiquent leur comptabilité auprès du service de l’impôt. Selon le DG, la dame possédait trois ans comme droit de communication mais elle a choisi de ne pas le faire, d’où cette sanction. Ses biens seront vendus aux enchères publiques le 4 mars prochain afin de combler ce manque à gagner de l’Etat.

Outre cette fraude fiscale, le Pôle anti-corruption (PAC) a condamné la dame de huit ans de travaux forcés avec une amende de 100 milliards d’ariary.
En matière fiscale, les procédures sont ouvertes par des enquêtes pour fraudes fiscales, suivies de notification par toutes les voies de droit des actes d’imposition, puis par des titres de perception. Ces derniers constituent les titres de créance de l’Administration et, au même titre que les condamnations émanant de l’autorité judiciaire, conduisent à la saisie exécution. La saisie des biens meubles, effectuée ce jour, est une exécution par voie d’huissier desdits titres, dans le respect de toutes les procédures.
La Rédaction

Les activités des transporteurs ont des impacts sur l’environnement, principalement la pollution atmosphérique. Une raison pour que ces derniers aient réalisé samedi dernier un reboisement au site du Régiment d’artillerie lourde (RAL), situé à Imerintsiatosika. 3 000 jeunes plants, composés d’eucalyptus, pins, « ravintsara » et de jacarandas ont été ainsi mis en terre. D’après Andry Andriamampianina, président de l’Association Professionnelle des Transporteurs Routiers (APTR), ce reboisement qui est actuellement à sa deuxième édition, entre dans le cadre de la vision du Président de la république, qui est de recouvrir Madagascar de forêts ainsi que de renforcer la fraternité et l’union entre les transporteurs. D’ailleurs, toutes les associations et groupements des transporteurs dans tout Madagascar ont été représentés durant cette opération dont l’APTR, l’Association Professionnelle des Transporteurs d’Hydrocarbures (APTH), l’Association des transporteurs camionneurs (ATC), l’Union des Coopératives de Transports Urbains (UCTU), l’association « Fitaterana Mendrika an’Antananarivo » (FMA). Non seulement, ils ont mis en terre ces jeunes plants, mais assureront également leur suivi régulier.
 

L’affaire se rapportant au kidnapping d’une fillette de 2 ans vers la fin de la semaine dernière à Sakaraha, a soulevé des vagues dans le pays. D’abord, parce que la victime est un « zaza varira », littéralement une fillette albinos. Cependant, les sept individus, des « dahalo » qui ont perpétré l’acte, avaient été arrêtés à temps. Ces derniers suscitent surtout la stupéfaction et la peur du fait qu’on leur avait trouvé 8 yeux sur eux. Ces faits nourrissent le soupçon sur le compte des ravisseurs, qualifiés par les habitants de la région comme des voleurs d’organes. « Concernant les yeux trouvés sur les ravisseurs, ils devront passer sous analyse au laboratoire à Toliara, histoire de vérifier et confirmer s’il s’agit bien des yeux humains ou non », affirme une source auprès de la Gendarmerie locale.
 
En attendant, la fillette qui est saine et sauve, est entre de bonnes mains. Elle a été pour le moment confiée au délégué local de la population. Le seul problème, c’est que la petite ne sait pas encore parler. Et on ne sait rien sur elle. « On ne connaît pas ses parents et on les recherche justement »,  confie notre source auprès de la Gendarmerie de Toliara.

D’après toujours cette dernière, les bandits ont pu être arrêtés grâce à un guet-apens. Les Forces de l’ordre les ont appâtés avec une somme mirobolante de 200 millions Fmg contre la liberté de la petite fille. Bien sûr, il ne s’agissait que d’un leurre. Une source venant de Sakaraha a avancé que ce sont le « fokonolona » et les militaires qui ont capturé les ravisseurs grâce à un renseignement.

Les autorités de Sakaraha ont décidé de transférer les suspects récemment arrêtés  à Toliara, dans l’attente de leur prochain déferrement, prévu lundi ou mardi. Actuellement, ils sont placés en garde à vue dans les locaux de la Gendarmerie à Toliara qui participe dans l’enquête, à l’instar des gendarmes de Sakaraha. « La Gendarmerie de Sakaraha a jugé bon de les transférer à Toliara afin d’éviter tout risque de vindicte populaire », confie une source auprès de la compagnie de gendarmerie à Toliara.

Toujours sans aucune nouvelle de l’autre petit « zaza varira »  

Si l’affaire connaît un dénouement heureux à Sakaraha, la situation est loin de l’être à Manja. La nuit du 27 février dernier, précisément vers 1h du matin, Tovonazy, un petit garçon albinos, âgé de 6 ans, fut également enlevé chez lui. D’après une information glanée par le commandant de la Brigade de gendarmerie locale, les faits se sont déroulés sur une rive du fleuve Mangoky, dans le quartier de Fenoarivo, Commune d’Ankiliabo, une zone limitrophe de la région du Sud-ouest, dans le District de Manja.

Là, ce sont quatre inconnus équipés d’au moins deux fusils de chasse, qui ont perpétré l’acte. Les ravisseurs et leur otage ont pris la direction du Sud-ouest. Des villageois ont tenté d’intercepter la pirogue qui les transportait. Mais l’issue de cette tentative fut sanglante : les bandits ont ouvert le feu sur leurs poursuvants. Résultat : deux membres du fokonolona sont blessés. Actuellement, les habitants des rives dudit fleuve sont en état d’alerte maximale, tandis que six gendarmes participent dans les recherches au côté du « fokonolona ».

Franck R.
 

Plus d’un million de cartes d’identité nationale disposent de numéros identiques. L’information avait été révélée par le vice-président de la Commission électorale nationale indépendante en fin de semaine dernière, faisant le rapport sur la révision annuelle de la liste électorale. Une information qui a suscité diverses interprétations au niveau de la sphère politique malagasy. Les détracteurs du régime Rajoelina ont rapidement saisi l’information, pour alléguer une fois de plus des fraudes de la part du camp des Orange, durant la présidentielle. Ils attribuent les « erreurs » ayant entraîné  cette supposée augmentation massive du nombre de doublons sur les détenteurs de carte d’identité nationale, au camp de l’actuel Président da République. Une version que récuserait tout observateur averti de la vie politique malagasy, lequel ne manquera certainement pas de porter un doigt accusateur à l’endroit du HVM.

Il faut en effet rappeler que la révision annuelle de la liste électorale, utilisée pour la présidentielle de fin 2018, a débuté au mois de décembre 2017 à janvier 2018, comme prescrit par les lois en vigueur. Une période durant laquelle, il est important de le souligner, les relations entre le HVM et le président national du Tiako i Madagasikara, Marc Ravalomanana, étaient au beau fixe… A l’époque, le Premier ministre était Mahafaly Solonandrasana Olivier. Le Chef du gouvernement était également le ministre de l’Intérieur. Ntsay Christian était arrivé à la Primature au mois de juin 2018 et le nouveau ministre de l’Intérieur était nommé quelques jours plus tard. En clair, à l’époque, où le nouveau PM avait été installé, la liste électorale était déjà bouclée. Tout cela pour dire que le fichier électoral utilisé lors de l’élection présidentielle est le bébé du HVM.

En outre, il faut aussi noter que depuis 2016, le HVM n’a cessé de mener des campagnes pour l’octroi de cartes d’identité nationale. Ce qui pourrait susciter les appréhensions. D’ailleurs, une campagne avait été menée juste avant la dernière révision de la liste électorale en septembre 2017 qui sera utilisée pour l’élection qui propulsera Andry Rajoelina au sommet de l’Etat. Chose étrange, le HVM a obtenu des scores élevés dans la Région SAVA et le Sud du pays particulièrement dans l’Androy durant la présidentielle. Dans ce dernier District en particulier, beaucoup avaient remarqué des hausses non négligeables du nombre d’inscrit dans la liste électorale à l’époque. Notons également qu’entre 2014 et 2018, une hausse de 2 millions d’électeurs avait été enregistrée dans le pays. Pourtant le dernier rapport 2019-2020 de la CENI ne fait état que d’une hausse de 200 000 électeurs…

Par ailleurs, pour ce qui est des accusations visant le pouvoir actuel, il faut rappeler que pendant la campagne électorale, le candidat Andry Rajoelina n’avait eu de cesse de dénoncer les irrégularités du fichier électoral publiquement et le manque de professionnalisme de la Commission électorale nationale indépendante. La plateforme de soutien au candidat Andry Rajoelina avait émis des doutes sur les résultats du premier tour de l’élection présidentielle. Mais dans un souci d’apaisement notamment, le camp des Orange avait accepté les résultats officiels proclamés par la Haute Cour constitutionnelle.




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La une du 2 mars 2020

Comme promis, le soleil était au rendez-vous, hier, lors des championnats en bassin de 25m au collège Saint-Gabriel à Mahajanga. La première journée des championnats de Madagascar battait son plein avec les longues distances : 200m nage libre, 400m quatre nages et 800m nage libre toutes catégories. Pas moins de 288 nageurs issus de 16 clubs des 5 ligues y ont répondu présent. Bezanozano club Natation (BCN) et le club  SFX Haute Matsiatra ont disputé leurs premières compétitions officielles.

Un homme prétendant être agent pénitentiaire a été placé sous mandat de dépôt pour une affaire de détournement de mineure et d’imposture. C’est ce qu’a ressorti de son long déferrement qui s’est poursuivi jusque dans le milieu de la nuit à Anosy, hier. En revanche, sa compagne supposée, une adolescente de 16 ans, a été placée sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur cette affaire. Cette dernière est  soupçonnée de complicité mais son âge ainsi que son cas méritent  encore d’être étudiés avec prudence, côté Justice.

Sur les 24 personnes supposées être atteintes du coronavirus et qui ont été mises en quarantaine au Centre hospitalier universitaire  (CHU) d’Anosiala depuis le 25  janvier, seules trois d’entre elles s’y trouvaient encore hier. Deux parmi ces patients sont des passagers étrangers accueillis auprès dudit établissement sanitaire le 13 février dernier. Leur date de sortie est prévue pour dimanche prochain. Et le dernier entrant, datant du jeudi dernier, est l’étudiant malagasy en provenance de Chine. En suivant les procédures médicales, il pourra intégrer sa communauté après avoir passé 14 jours dans la salle d’observation. La semaine dernière, l’hôpital d’Anosiala enregistrait encore 12 patients dont la moitié est composée de ressortissant chinois. Après avoir rempli toutes les conditions sanitaires, les 6 étrangers et 4 citoyens malagasy ont rejoint leur famille respective cette semaine.

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Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

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