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Ce jour marque le début d’une session spéciale cruciale pour l’Assemblée nationale malgache, avec les projecteurs braqués sur la composition du Bureau permanent et des commissions permanentes. Douze postes clés sont en jeu : un président, six vice-présidents, trois questeurs et deux rapporteurs généraux. Le nom de celui qui occupera le poste de président de cette institution devrait figurer au menu des nouveaux députés dès ce jour, après la cérémonie officielle d’ouverture dirigée par le doyen d’âge et le benjamin des députés. Comme indiqué dans notre édition d’hier, Marie Michelle Sahondrarimalala reste en pole position pour occuper le perchoir de Tsimbazaza. Les noms des autres  membres du bureau permanent seront probablement connus le lendemain. Entre les anciens, qui ont de l’expérience et les jeunes aux dents longues, pleins d’ambition, les tractations battent leur plein dans le camp de la coalition majoritaire « Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina », qui détient la majorité absolue à l’Assemblée, et est donc en pole position pour remporter la majorité de ces postes convoités. Cependant, la politique malgache est aussi parsemée d’alliances stratégiques, et les députés indépendants pourraient jouer un rôle, grâce aux alliances qu’ils auront nouées avec la majorité. L’Opposition, quant à elle, semble être confrontée à un défi de taille. Avec une vingtaine de députés, il y a peu de chances qu’elle revienne dans le bureau permanent, même si tout peut arriver. L’Opposition a en revanche, plus de chances d’occuper l’un des 34 postes de présidents de Commission permanentes dont les élections se tiendront après l’élection du Bureau permanent. Ces commissions, chacune spécialisée dans des domaines variés allant de l’économie à la santé en passant par l’éducation et l’environnement, jouent un rôle important dans l’élaboration des politiques. Ce nombre peut néanmoins être amené à être réduit ou augmenté. Toutefois, les règles de ce jeu politique sont déterminées par le règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Tout changement dans la répartition des postes ou des responsabilités nécessitera une modification de ce cadre réglementaire ayant eu l’aval de la Haute Cour constitutionnelle.
L.A.






Une dégradation de la qualité de l’air est observée à Antananarivo, selon les prévisionnistes de Météo Madagascar. Les concentrations de particules fines de diamètre inférieur à 2,5 micromètres sont toutes 3 à 5 fois au-dessus du seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au niveau d’Ampandrianomby (DGM), Andraharo (UNICEF), Soanierana (CNRE), Ambatobe et Amboditsiry (MADA-AQ). Le pic a été observé dimanche dernier.

Pour les trois prochains jours, les conditions météorologiques sont prévues rester favorables à l’accumulation des polluants, et la qualité de l’air pourrait généralement rester malsaine pour les personnes vulnérables.

Dans la semaine du 25 juin au 1er juillet, la pollution de l’air à Antananarivo est restée modérée. Malgré une légère dégradation de la qualité de l’air, les différents niveaux de cette pollution se situent autour des limites préconisées par l’OMS. L’air n’a cessé de se dégrader depuis la semaine du 2 au 7 juillet dernier.

Les personnes sensibles à la pollution atmosphérique, notamment les personnes âgées, les enfants et femmes enceintes et celles ayant des gènes respiratoires, peuvent ressentir des effets plus graves sur la santé, avertit la Météo Madagascar.

Cette dégradation de la qualité de l'air est liée à la saison hivernale. La concentration moyenne des polluants est plus élevées en hiver, et ce en raison de l'augmentation de la consommation d’énergie, en particulier pour le chauffage. Effectivement, à cause du froid, nombreux ménages se mettent à chauffer leur domicile, en utilisant des cheminées ou en ayant recours aux feux de forêts. De plus, les températures sont basses et lorsque l’air circule mal, cela contribue à solidifier les polluants sous formes de particules fines. De ce fait, ces dernières tendent à stagner et donc à contribuer à une concentration plus élevée du niveau de la pollution.
 
Concernant la météo en général, des cumuls de précipitations faibles allant de 10 à 50 mm sont prévus pour les Districts des Régions d’Analanjirofo, Atsimo-Atsinanana, ainsi que les Districts d’Antalaha, Toamasina, Brickaville, Vatomandry et Taolagnaro. Dans les trois prochains jours, la température minimale repartira de nouveau à la hausse dans la Capitale. Elle variera de 11 à 12° C. Tandis que dans la Région de Vakinankaratra, le thermomètre pourrait descendre jusqu’à 2 voire 1° C.

Anatra R.

Parmi les défis lancés dans le cadre de l’éducation pour tous. Certains établissements scolaires disposent ces derniers temps de classes intégrées et classes inclusives, lesquelles accueillent des enfants en situation de handicap. Ces derniers y trouvent leur place et s’épanouissent mieux. « La classe intégrée est un genre de classe transitoire pour les enfants ayant un handicap, où ils apprennent à s’adapter avant de rejoindre la classe inclusive. Celle-ci se démarque par le fait que les enfants normaux et ceux en situation de handicap sont dans la même classe », informe Sitraka Fabrice Ratsimbazafy, éducateur spécialisé. Ces deux classes mettent en avant non seulement le volet « scolarisation » basé sur l’alphabétisation, mais aussi l’éducation dans laquelle les enfants sont élevés à partir de leurs habitudes, comportements, etc. « L’on doit connaître au préalable si l’enfant a une mémoire visuelle ou auditive ou autres, avant de choisir la méthode éducative adaptée. L’entretien avec les parents et les tests avec les enfants nous aident à identifier ces faits », ajoute notre interlocuteur. L’éducation est ainsi personnalisée, selon le cas et le degré d’handicap de chaque élève, selon les informations recueillies.
Une classe intégrée à l’EPP d’Analakely
Pour l’école primaire publique (EPP) d’Analakely, une classe intégrée accueille actuellement environ 40 enfants autistes et trisomiques. Ces enfants en situation de handicap, âgés de 7 à 36 ans, sont sous tutelle de 4 éducateurs spécialisés au sein de l’association « Espoir Malinjo ». Les enfants handicapés sont inscrits en tant qu’élèves de l’EPP, tout comme les éducateurs même s’ils ne sont pas encore fonctionnaires. « Les parents commencent à envoyer leurs enfants en classe. Leur honte d’avant s’est transformée en motivation, grâce aux avantages avérés de l’éducation inclusive », constate Fenosoa Tantelinirina Rasoamihanta, présidente de ladite association. Suzette Yolande Raelisoa, mère d’un enfant trisomique, confirme ce fait. « Ma fille est inscrite ici depuis maintenant un an et elle s’est bien intégrée. Pendant plusieurs années, elle était exclue par la société du fait que des parents prennent nos enfants pour des fous et en éloignent les leurs », se désole cette mère de famille. Toutefois, cette période de vacances constitue un moment d’angoisse pour ces parents d’enfants en situation de handicap puisqu’ils devront les garder à la maison. D’un côté, ces élèves « extraordinaires » ont l’habitude d’être avec leurs camarades de classe. De l’autre, certains parents interdisent leurs enfants de jouer ou d’avoir des contacts avec eux, en pensant que la trisomie est contagieuse, à en croire la mère de famille...
P.R.



Créée en 2007 par 8 parents d’élèves, l’association « Malinjo » a accueilli au début moins de 10 enfants autistes et trisomiques. En 2016, elle a changé de nom en association des éducateurs « Espoir Malinjo » et accueille actuellement près de 40 enfants. D’après sa présidente, l’association a eu des difficultés à payer son loyer durant la période de la pandémie de Covid-19, avant d’obtenir une salle de classe à l’EPP d’Analakely. Selon les informations recueillies, les enfants trisomiques et autistes sont différents. Les trisomiques ont des traits physiques distinctifs, tels que des yeux en amande, une petite taille ainsi qu’un retard intellectuel modéré. Les autistes ont, quant à eux, des difficultés sociales et de communication, des comportements répétitifs, des intérêts restreints ainsi qu’une sensibilité sensorielle. Leur handicap n’est pas visible physiquement, mais à partir de leurs comportements.




L’occasion de faire le plein de cinéma durant cette période de vacances. Dans le cadre de la célébration du Mois de la culture coréenne, l'Ambassade de la République de Corée à Madagascar organise le Festival du film coréen. Une manifestation qui se bonifie d’année en année car cette édition s’annonce encore plus riche et plus attrayante. Afin de rendre ce festival plus joyeux et marrant, les responsables ont décidé de diffuser cinq longs métrages dignes de satisfaire les cinéphiles de la Capitale. Les projections se tiendront dans la salle du Cinepax, Ambodivona, les 19 et 20 juillet. Au menu, il y aura des films tels que « Wonderful Nightmare, The Face Reader », Little Forest », « Time Traveler Luke » et enfin le fameux « The Outlaws ».
Cet évènement s'annonce plus passionnant que jamais, avec une sélection de films qui promettent de captiver les spectateurs. L'événement mettra en avant le talent et la diversité du cinéma coréen, avec des œuvres allant du drame à la comédie, en passant par le suspens. Il s’agira d’une sélection de films variés et de qualité, mettant en avant la richesse et la diversité de la cinématographie coréenne. Avec des films cultes et les dernières productions en vogue, les spectateurs auront l'opportunité de découvrir ou de redécouvrir des chefs-d'œuvre du cinéma coréen. De quoi satisfaire les cinéphiles les plus exigeants et susciter l'enthousiasme du public.
Par ailleurs, ce Festival du film coréen s’avère une excellente initiative pour promouvoir la culture cinématographique coréenne et renforcer les échanges culturels entre la Corée et Madagascar. Tout cela offrira aux cinéphiles malagasy une opportunité de découvrir des films coréens de qualité et de divers genres, ainsi que de rencontrer des réalisateurs et acteurs sud-coréens. Enfin, cet événement contribuera à renforcer les liens culturels et à promouvoir la diversité culturelle dans les deux pays.
Notons qu’en parallèle avec ce festival, l'Ambassade de la République de Corée à Madagascar a également organisé des concerts de musique qui se sont déroulés les 28 et 29 juin derniers au Canal Olympia, situé à Andohatapenaka, toujours en marge du Mois de la culture coréenne. A ces occasions, « Gong Myung », un groupe musical coréen, a été invité pour jouer de la musique coréenne basée sur le gugak - la musique traditionnelle coréenne - à l’aide des instruments traditionnels et modernes. La formation musicale malagasy « Sodiala » a aussi performé, ce qui a mis en valeur le côté de l’échange culturel entre les deux pays lors du show.
Si.R


Le calendrier sera chargé pour les pays en lice pour la qualification à la CAN 2025. La Confédération africaine de football (CAF) a dévoilé les différentes dates des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 (CAN 2025). Selon cette dernière, les qualifications se dérouleront de septembre à novembre 2025 pour laisser la place aux éliminatoires de la Coupe du monde de la FIFA 2026. La première et la deuxième journée de la qualification à la Coupe d’Afrique des nations 2025 au Maroc se disputeront entre les 2 et 10 septembre de l’année en cours. Les Barea débuteront la compétition face aux Aigles de Carthage à Tunis avant de recevoir les Cœlacanthes plutôt que prévu à domicile pour le compte de la deuxième journée. Sauf que le stade Barea Mahamasina reste encore incertain pour l’équipe nationale et ses supporters et espérer qu’il soit prêt à temps. La troisième journée et la quatrième sont programmés pour les 7 et 15 octobre avec deux matchs en aller (à domicile) et retour contre la Gambie. Avant de faire le déplacement contre les Comores en dernière journée, Madagascar recevra la Tunisie pour la cinquième journée prévue entre le 11 et 19 novembre de cette année. Les deux premiers du groupe se qualifieront pour la 35e édition de la Coupe d’Afrique des Nations qui se tiendra au Maroc l’an prochain.
Elias Fanomezantsoa

Mpikifa Sneakers, une entreprise de Madagascar, se distingue par sa passion pour le basket-ball et la culture locale. Dans cet entretien, nous découvrons l'histoire, les défis et les ambitions de cette entreprise à travers les yeux de son fondateur.

La Vérité (+) : Pouvez-vous nous raconter la genèse de Mpikifa Sneakers ? Comment est née l’idée de créer des accessoires et des maillots pour les basketteurs ?
Gérant de la société (-) : Notre entreprise a démarré en 2018, même si l'idée a germé bien avant. A ce moment-là, nous avons vraiment commencé à travailler avec l'objectif de montrer que les Malagasy ont une culture unique. Nous voulions exprimer notre amour pour le basket-ball à travers des produits comme des tee-shirts, joggings, sweat-shirts, etc. Pour l'avenir, nous espérons continuer à trouver de nouvelles façons de partager cette passion. Nous avons commencé l'entreprise à deux. Mais aujourd'hui, plusieurs personnes travaillent avec nous. La majorité de nos produits sont fabriqués sur commande. Et en général, nous ne produisons pas plus de 100 modèles tous les deux ou trois mois.
(+) : Quels sont les principaux produits que vous proposez et en quoi diffèrent-ils de ceux de vos concurrents ?
(-) : Nous proposons des tee-shirts, des joggings, des sweats, des capuches et des maillots de basket. Nous produisons également quelques maillots de football et de volley, mais notre cœur de métier reste le basket. Nos produits permettent d'afficher l’amour pour ce sport et pour Madagascar. Il existe beaucoup de concurrents, mais chaque fabricant a sa propre identité. Ce qui nous différencie des autres, c'est la qualité de nos produits. Nous mettons un point d'honneur à offrir des articles de haute qualité.
(+) : Quelle est la philosophie de votre marque en termes de design et de fonctionnalité ?
(-) : Notre design est pensé pour être ample, permettant une grande liberté de mouvement, et mettant en avant le basket. En termes de fonctionnalité, nos produits sont respirants, adaptés au sport, et ne retiennent pas beaucoup la transpiration.
(+) : Pouvez-vous nous expliquer le processus de fabrication de vos accessoires et maillots ? Utilisez-vous des matériaux spécifiques ou des technologies innovantes ?
(-) : Nous utilisons un processus de fabrication standard, sans innovation particulière. Cependant, nous accordons une grande importance au contrôle qualité. Nos tissus sont synthétiques, ne retiennent pas la transpiration, et leur grammage est toujours élevé pour assurer leur durabilité.
(+) : Comment envisagez-vous l’évolution du marché des accessoires de basket dans les prochaines années et quel rôle jouera Mpikifa Sneakers ?
(-) : Les sneakers et le basket-ball restent populaires, même si l'amour des gens pour le basket semble avoir diminué. Par contre, les tee-shirts devraient rester à la mode pendant longtemps. « Mpikifa Sneakers » continuera à jouer un rôle important en offrant des produits de qualité qui célèbrent cette passion.
(+) : Travaillez-vous en partenariat avec des athlètes ou des équipes de basket pour développer vos produits ? Si oui, comment ces collaborations influencent-elles vos offres ?
(-) : Oui, nous travaillons en partenariat étroit avec Ankoay, Bolo, pour qui nous confectionnons sans cesse des tee-shirts. Ces collaborations nous sont très bénéfiques, que ce soit avec des personnes physiques comme Bolo ou des entités comme la Fédération. Elles nous permettent de nous améliorer constamment.
(+) : Quels sont les plus grands défis auxquels vous avez été confrontés en tant qu'entreprise dans ce secteur et comment les avez-vous surmontés ?
(-) : Les défis sont nombreux. Par exemple, nous avons fait un partenariat avec deux équipes au Canada qui ont passé une grosse commande. Il a fallu respecter des normes de qualité et de quantité élevées, ce qui n'a pas été facile. Cependant, nous avons réussi en nous concentrant sur notre engagement envers la qualité et en travaillant dur pour respecter nos délais de livraison.
Carinah Mamilalaina

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LA UNE 08 JUILLET 2024

Elgeco Plus garde son bien en gagnant la Telma Coupe de Madagascar pour la deuxième fois consécutive, cette saison. Ce énième trophée permet à l’Elgeco Plus d’égaliser le record de la Fortior de la côte est sur le nombre de palmarès avec 5 coupes de Madagascar en battant hier le club du CFFA. Ce dernier s'est incliné sur un petit but (1-0) au score à l’Elgeco Plus stadium By- pass. Un but de Jean-Yves, ancien attaquant de Fosa Juniors, à la 16e minute a donné la victoire à son équipe. La formation d’Andoharanofotsy a tenté de recoller au score en livrant une belle bataille, mais Nina, la dernière charnière des Oranges, a enchaîné les parades. Ce gardien des Barea de Madagascar mérite son titre de meilleur gardien de la compétition. Par ailleurs, le trophée d’Elgeco Plus a été orné par les titres individuels que les clubs ont tous gagnés. Le meilleur entraîneur a été coach Dekera, le meilleur joueur Gilles Fenohasina , le meilleur gardien de but Rakotoasimbola, tous d’Elgeco Plus, et le meilleur buteur Jessica, l’attaquant de l’Asa Diana.

Un rebondissement dans l'affaire liée à l'assassinat de Harisoa Zouzier Noelina, cette ancienne employée de la Commune urbaine d'Antsirabe, fait qui remonte le 12 septembre 2023. Grâce à la poursuite sans relâche de leurs enquêtes et surtout des renseignements, les quatre unités de la Gendarmerie de la Capitale en charge de l'enquête dont les brigades et compagnie de Tanà-ville, celle de Talatamaty, d'Ambohidratrimo, enfin par la brigade d'Antsirabe ont finalement réussi à mettre une fin à la cavale de l'un des présumés cerveaux de l'assassinat, en l'occurrence Narindra Arthur Randriamasiarivelo (37 ans). En effet, cet agent de sécurité activement recherché, car en fuite depuis le drame, a été finalement arrêté dans la Capitale, précisément dans le quartier d'Ambanidia, le week-end dernier. C'est le commandant de brigade d'Antsirabe qui fut informé sur le fait que le fugitif se terre quelque part à Ambanidia.

Le ministère de l'Education nationale (MEN) a commencé à publier les résultats de l'examen du BEPC (Brevet d'études du premier cycle) depuis samedi dernier. « Plusieurs Circonscriptions scolaires (CISCO) ont déjà affiché leurs résultats sur le site officiel, tandis que d'autres attendent encore. Antananarivo-ville est actuellement en phase de transcription », selon des informations obtenues hier auprès du MEN. La correction a commencé mardi, avec l'objectif de publier les résultats le plus rapidement possible pour ne pas retarder les élèves dans leur parcours académique, selon toujours notre source ministérielle.

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  • Le Président Rajoelina à Fianarantsoa - Série d’inaugurations d’infrastructures au programme
  • Tensions à la JIRAMA - La population, éternelle victime !

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Editorial

  • Fianar jubile !
    Alors que cinq des six Chefs-lieux de Province sont, pour certains, fiers de leurs atouts économiques et touristiques, et pour d'autres, empêtrés dans un cimetière de projets inaboutis, Fianarantsoa, capitale du pays Betsileo, semble quant à elle sombrer dans une léthargie faite d’immobilisme. D’Antsiranana à Toliara en passant par Mahajanga, Toamasina et Antananarivo, les cinq Provinces possèdent chacune des éléments pouvant contribuer à leur développement notamment cultures de rente (vanille, girofle, …), atouts touristiques, grand port, grandes installations industrielles, réserves minières.

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