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L’octroi de maisons pour la population malagasy se poursuit. Cette fois-ci, les habitants de Morondava et ceux de l’île de Nosy Be en sont les bénéficiaires. En tout, 160 personnes ont rejoint les autres qui ont déjà acquis un de ces logements sociaux à travers toute l’île, soit 80 nouveaux propriétaires à Morondava et 80 autres à Nosy Be.
Le secrétaire d’Etat en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat a procédé à un tirage au sort pour désigner les gagnants de « Trano Mora » dans la ville de Nosy Be. Cette initiative garantit l’égalité de chance de ceux qui ont fait la demande pour être parmi les acquéreurs de ces maisons. Le site de Nosy Be se situe à Tsararivotra, près du stade de football. Quant à celui de Morondava, les maisons sont bâties à Bemokijy. Le ministre de la Jeunesse est des Sports a représenté le Gouvernement lors du tirage au sort qui s’est déroulé dans cette ville.
« Les efforts entrepris pour que chaque Malagasy bénéficie d’un habitat digne et construit aux normes internationales doivent continuer. D’ailleurs, le Secrétariat  d’Etat en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat a reçu beaucoup de demandes et la recherche de nouveaux sites pour construire d’autres logements sociaux va continuer », s’est exprimé le secrétaire d’Etat en charge des nouvelles villes et de l’Habitat, Gérard Andriamanohisoa. Il a ajouté que c’est la première fois que ce type de projet a été réalisé sur l’île aux parfums. A cette occasion, la pose de la première pierre pour l’immeuble Mora a été également effectuée hier. Le début de la réception des demandes pour bénéficier des appartements dans cet immeuble sera communiqué ultérieurement.
Toujours au sujet de ces nouvelles « Trano Mora », la finition des ornements et autres embellissements des sites est en cours. Cela inclut l’adduction d’eau et d’électricité, les espaces verts et les clôtures. Les nouveaux propriétaires pourront y emménager bientôt.
N.R.

L’aventure continue. La chanteuse Poopy tient à marquer ses 40 ans de scène d’une pierre blanche. A cet effet, après avoir enflammé les différentes scènes de la Grande île à travers une multitude de concerts, la star ne compte pas prendre congé et repart pour un autre rendez-vous. Cette fois-ci, Poopy et son équipe visent loin. En effet, la chanteuse et ses musiciens sont attendus de pied ferme en France avec quelques dates.  La tournée s’étalera en ce mois d’octobre jusqu’au 25 novembre prochain. Une occasion pour la diaspora malagasy en France de revivre avec la chanteuse ses 40 ans de carrière musicale. A cet effet, six dates sont à retenir. Le 21 octobre, elle donnera un spectacle à Paris, le 28 à Angers, le 30 à Lyon. Pour le mois de novembre, elle sera à Marseille le 4, en Haute-Savoie le 5 et à Strasbourg le 11 novembre. Elle terminera son périple à Nice le 25 novembre.

L’année 2023 a été festive, importante et laborieuse pour la chanteuse. Cela faisait un long moment qu’elle n’a pas fait des concerts en France. Et ses fans de l’hexagone ont toujours envie de la voir sur scène durant ces 4 décennies de partage. 40 années durant lesquelles la chanteuse continue de bercer les ouïes des mélomanes avec ses morceaux indémodables, mais également les nouveaux titres.

Au sujet de son parcours, Poopy a fait ses débuts en 1983 avec le groupe Njila, où elle a déjà subjugué le public, notamment les jeunes. Pour elle, les choses ont évolué très vite. En 1990, elle a volé de ses propres ailes et sort son premier album « Andao handihy ». En seulement quelques temps, la jeune femme est devenue une icône de la variété malagasy. Ses tubes les plus populaires ne sont d’ailleurs plus à présenter. Et sa carrière continue de se développer à mesure que le temps passe. Cette artiste est dotée d’une carrière impressionnante, ponctuée par de nombreuses chansons à succès que le public aime encore fredonner jusqu’à ce jour. D’ailleurs, les amateurs de karaoké ne cessent de demander au DJ de faire passer en boucle les perles de ses riches interprétations.

Avec cette tournée en France, Poopy continue de susciter l’attention de ses fans. D’ailleurs, ces derniers attendent déjà ces retrouvailles avec impatience. Comme à l’accoutumée, l’artiste et ses musiciens préparent des surprises pour le public, en concoctant un grand concert digne de leur réputation. Un privilège pour toute la diaspora malagasy qui découvrira à nouveau celle qui a émerveillé les jeunes des générations 80 et 90 et qui collectionne plus de 14 albums. Sans aucun doute, ses fans seront toujours séduits par la voix et la simplicité de cette star romantique qui chante l’amour depuis maintenant 40 ans.

Si.R

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Dilemme !

Que faire ! Quelle option  adopter !
La campagne électorale démarre officiellement, seulement le Collectif des onze candidats fait face à un nœud gordien à deux étages. Un dilemme, à deux niveaux, qu’il faille trouver urgemment des issues.
D’abord, au niveau collectif. Les Ravalomanana et consorts sont confrontés à un problème de comportement d’ensemble vis-à-vis de l’évolution de la situation. Pour rappel, les bases de leurs revendications reposent essentiellement sur le rejet de la candidature de l’ex- Président de la République Rajoelina Andry Nirina, portant dossard numéro 3. En cause, la double nationalité de ce dernier, et de un. Ils rejettent la constitutionnalité de la nomination du Gouvernement collégial. Selon le Collectif, ce Gouvernement collégial est dénué d’un fondement légal. Ils taclent frontalement le président de la Haute Cour constitutionnelle, et de deux. Seulement voilà, le candidat n°3 ne se sent nullement inquiété. Et les mouvements occupant les rues de la Capitale  semblent ne pas l’impressionner. Il a débuté sa campagne dans le Nord du pays. De son côté, le Gouvernement collégial, dirigé d’une main de fer par Ntsay Christian, continue placidement son travail comme si de rien n’était. Pour sa part, la HCC ignore vertement les gesticulations du Collectif. Alors, que faire au niveau du Collectif ! Vont-ils continuer à manifester ensemble sans que l’espoir d’être écoutés ou de se faire entendre n’apparaisse à l’horizon. Au cas où ils optent pour un « mouvement d’ensemble », quel programme commun vont-ils présenter et comment ? C’est bizarre voire drôle de voir un Collectif de onze candidats faire ensemble une campagne électorale sans pouvoir présenter un candidat … unique. Evidemment, le ridicule ne tue pas mais il faut le faire ! Un dilemme !
Ensuite, au niveau de chaque membre du Collectif. Les onze candidats iraient-ils en rang dispersé pour faire chacun sa campagne ! Au final, ce sera de la cacophonie. L’électorat ne se retrouve plus. Et le drame pour eux, la confusion des démarches sur terrain tournera en ridicule au détriment du Collectif et donnera faveur au poulain de la plateforme IRD ou autres.
Il y a une troisième option, ne pas participer à la campagne électorale. Autrement dit, laisser le terrain libre au candidat numéro 3. Apparemment, c’est la voie choisie. Les candidats réfractaires vont boycotter le processus électoral. Le fait de bouder la campagne conduit le Collectif vers l’impasse.  Certainement, ce sera la catastrophe !
L’avenir nous le dira si la prise de position de certaines personnalités face à la tournure des évènements contribuera-t-elle à apaiser la tension ou au contraire rallumera le feu.
De toute façon, le « jusqu’au-boutisme » mis en avant des onze candidats ne va pas dans le sens de leur faveur sinon de leurs intérêts. Ils risquent de tout perdre en faveur du candidat Orange. Les Ravalo, les Rajao, les Hajo, les Behozatse et compagnie mettront en danger leur avenir politique dans leur « entêtement » à poursuivre un chemin qui leur mène nulle part.
Le dilemme auquel le Collectif doit faire face se transpose aussi à leurs sympathisants respectifs. Les citoyens électeurs se sentent gênés face à la complication de la situation. En tout cas, l’abstention massive n’a jamais arrangé le cas à ceux qui le provoquent.
Ndrianaivo

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Météo - Canicule dans la Capitale

Canicule en vue à Antanarivo pendant les trois jours à venir. En effet, les températures maximales dans la Capitale atteindront les 34° C au cours de cette semaine. Les hautes terres centrales sont régies par un faible régime d’alizé. Le temps sera sec et chaud. Le service de la météorologie malagasy a ainsi préconisé le port de chapeau et en privilégiant les endroits à l’ombre pour les Tananariviens. En plus, il faut boire de l’eau fréquemment, surtout pour les personnes sensibles comme les bébés et les personnes âgées.
Presque tous les Districts de la Région d’Analamanga sont touchés par cette montée de la température. On citera par exemple l’Atsimondrano, Andramasina, Ankazobe, Anjozorobe, Ambohidratrimo et même Manjakandriana.
Les risques engendrés par une forte chaleur
Les fortes chaleurs peuvent causer un état de fatigue généralisé, provoqué par le manque d'eau et de sel. Cela peut se manifester par des étourdissements, fatigues, faiblesse, insomnie, maux de tête, nausées et de crampes musculaires. Le risque le plus grave est le coup de chaleur, qui pourrait entraîner le décès.
Ainsi, il convient de se réhydrater avec un apport renforcé en sels minéraux. Néanmoins, les boissons à effet diurétiques comme le café, le thé ou encore les sodas sont absolument à éviter. Ils ne permettent pas de garder les molécules d’eau dans le corps et les évacuent très rapidement. D’où une forte envie d’aller uriner après les avoir consommées. L’alcool aussi favorise la déshydratation.
Bien que le matin, les températures restent dans les normes de la saison, soit entre 12 et 14° C, le thermomètre va grimper très vite après la dissipation des brouillards matinaux. Par ailleurs, les automobilistes doivent être vigilants. Il s’agit de vérifier entre autres les feux de leur véhicule avant chaque départ afin d’éviter les accidents.
N.R.

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LA UNE DU 10 OCTOBRE 2023

L’équipe nationale féminine de football, les Ladies Barea, n’a réussi à faire mieux au Cosafa Cup. En effet, les Barea de Madagascar dames enchaînent une série de défaites dans cette compétition opposant les équipes nationales d’Afrique australe. Battue 2 buts à 1 par l’Eswatini en premier match, l’équipe nationale malagasy s’est également inclinée devant sa bête noire, les Banyana Banyana d’Afrique du Sud, sur le score de 3 buts à 1 lors de son deuxième match.  La faille se trouvait dans la défense malagasy.

Ras-le-bol. C'est le message véhiculé par des citoyens lors des manifestations instantanées, visibles un peu partout dans la ville, hier en milieu de journée. Plusieurs centaines de personnes ont agité des banderoles et des pancartes dans plusieurs Arrondissements de la Capitale. Voilà ce que l'on pouvait voir sur les photos et les vidéos de ces manifestations qui ont circulé en ligne. Une marche instantanée au cours de laquelle ces citoyens ont exprimé leur ras-le-bol face aux manœuvres du collectif des candidats. 

Les abonnés qui ont fait la demande de raccordement aux réseaux électriques de la JIRAMA doivent être patients. En effet, les dossiers de 17.200 clients potentiels sur tout le territoire malagasy, envoyés au sein de la compagnie nationale d'électricité, sont encore en attente. La compagnie a cependant déclaré hier que ces demandes seront traitées le plus tôt possible afin de désengorger la liste d'attente, mais surtout de satisfaire les demandeurs. Ainsi, la JIRAMA a indiqué qu' « au plus tard tous les dossiers seront traités ce mois-ci ». Outre le manque de matériel, le nombre de poteaux opérationnels est également mis en cause, ce qui ralentit les opérations. Actuellement, plus de 2.800 demandes de mise en place de poteaux électriques sont également en suspens.

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Timidement !

Le pays se reprend tout doucement.

Les crises cycliques que l’on a vécues depuis 1972 mettent à mal l’essor du développement du pays. Les aléas climatiques ou naturels à l’instar des intempéries et des récurrentes épidémies freinent les résultats des efforts soutenus. La pandémie de 2020 et suite aggrave la situation. L’économie, la victime principale, s’agenouille, rampe au sol.

Timidement, la relance se remet en marche. A moins que les soubresauts de la politique ne viennent tout gâcher. Madagasikara reprend modestement le rythme de croissance sensiblement égal à celle des années 90 – 00. Evidemment, ce n’est pas la croissance des années 70 seulement, on redémarre.

Madagascar se positionne de plus en plus comme une destination de choix pour les événements d'affaires. Avec ses établissements hôteliers de haut standing et son potentiel naturel unique, l'île attire de plus en plus l'attention des professionnels du tourisme et des voyageurs d'affaires. La semaine dernière, le ministère du Tourisme et l'Office national du tourisme de Madagascar ont organisé une soirée gastronomique à Paris. Le but étant de promouvoir Madagascar en tant que destination MICE (« Meetings, Incentives, Conferences and Exhibitions »). Cette initiative vise à attirer les entreprises et les organisateurs d'événements à considérer Madagascar pour leurs prochains rassemblements professionnels. L'événement a réuni près d'une trentaine d'agences spécialisées en MICE ainsi que les grands groupes hôteliers de Madagascar. 

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  • Critiques contre le projet « Lac Iarivo » - La société civile conforte sa position tendancieuse 
  • ACTUS BREVES
  • Interception de 53 kg d’or à Ivato - Une prime de 97 millions d'ariary pour des douaniers exemplaires
  • Partenariat stratégique - Les Emirats arabes unis réaffirment leur intérêt d’investir à Madagascar
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Editorial

  • Dans l’œil !
    Attention ! Le pays court un danger de … mort. On n’est plus en situation de « menace » mais déjà en « péril », dans le rouge. On est dans la gueule du loup ! Dans l’œil du cyclone. Delphin, ce digne père de famille, a été lynché à … mort, sans autre forme de procès. Un énergumène fils enterre sa propre mère à… domicile. Un époux lambda tue sa femme ou sa compagne comme si de rien n’était. Et ainsi de suite ! La liste de faits troublants et inquiétants est longue. Si rien de sérieux ne soit pas mis en branle, la société malagasy courrale risque de la désintégration.

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