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En plein essoufflement ! La manifestation du collectif des 11 candidats à la présidentielle n’a pas reçu l’adhésion des citoyens depuis son début lundi. Malgré tout, les leaders du mouvement persistent dans leur démarche et n’hésitent pas à s’engager dans des actions qui frôlent le ridicule. Dans l’après – midi d’hier, par exemple, 6 députés élus sous la bannière du « Tiako i Madagasikara » à Antananarivo ont déposé une lettre informant la Préfecture d’Antananarivo de leur projet de « faire un compte rendu à l’attention de la population de la Capitale », samedi prochain, sur la place du 13 mai à Analakely. Ils évoquent l’article 207 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale. D’après leurs propos dans la même lettre, ce sera l’occasion pour eux de « recueillir les desiderata du peuple ». Selon toujours leurs arguments, ce rassemblement serait en préparation de la session ordinaire du Parlement qui démarrera le 17 octobre prochain.
Il est pourtant clair que ce « compte rendu » n’est qu’un prétexte pour rameuter des partisans sur la place du 13 mai.  Une dernière tentative de perturber le processus électoral avant le coup d’envoi de la campagne électorale, lundi prochain. Une fois de plus, l’Opposition verse dans le ridicule et tente en vain de réanimer un mouvement déjà à l’agonie.
Des déclarations absurdes
Pour sa part, le député Roland Ratsiraka pousse le délire un peu plus loin au cours d’une conférence de presse, hier, où il a fait brandir des choux – fleurs à ses collaborateurs. Il a également annoncé qu’ils allaient distribuer ces légumes. Une initiative qui a été la risée des internautes sur les réseaux sociaux et prouve, une fois de plus, l’absurdité de la démarche du collectif des 11 candidats. Ce candidat à la Présidentielle avait également avancé que des « mercenaires étrangers » aurait intégré les rangs des Forces de l’ordre dans le but de cibler les 11 candidats.  La Gendarmerie n’a pas tardé à s’exprimer en démentant formellement l’existence hypothétique d’éléments étrangers dans ses rangs.
Hier également, l’ancien Président Marc Ravalomanana s’est exprimé à la sortie d’une réunion à l’hôtel « Le Hintsy » Ambohimanambola. Il a été le premier à sortir de la réunion pour aller à une autre réunion selon lui. Sa déclaration est des plus étonnantes puisque l’ex – Chef d’Etat a affirmé à haute voix qu’ « il est tout à fait possible de faire venir des casques bleus dans le pays ». A l’entendre, le mouvement du collectif reprendra ce jour. En revanche, il a esquivé la question concernant la campagne électorale dont le coup d’envoi est prévu le lundi 9 octobre prochain.
La Rédaction

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L’autre problème !


Et le pays continue de ramer vers nulle part. Sans but précis ni objectif bien défini, on se dirige vers l’inconnu, vers l’impasse. Et on tourne en rond plus exactement. On recule pour aller rejoindre éternellement le … point de départ. En soixante ans, depuis 1972, la Grande île vadrouille tel un c… errant. Rien ne devait nous étonner si le pays chute dans les abîmes de la pauvreté, de la détresse. La misère nous colle à la peau !
Au fait, quel est le problème ? Une question déjà mille fois posée sans que l’on parvienne à répondre clairement. Chacun y voit son « problème » ! Et chacun tente de le résoudre à sa manière.
Les acteurs politiques du pouvoir et de l’Opposition se « chamaillent ». L’image d’un couple en situation tendue, en position imminente de divorce et tiraillé par de grave altercation, tire chacun de son côté le drap. Et personne n’en veut rien céder. Chacun campe sur sa position. Parfois, l’entrée en scène des Forces de défense et de sécurité s’avère nécessaire.
Les instances censées jouer le rôle d’intermédiaire donc dans la neutralité, s’interposent de manière tendancieuse. Les unes au lieu de calmer le « jeu » jette de l’huile au feu. Et la situation se complique à tel point que le pays frôle le chaos. Le FFKM, les « Raimamendreny ara-panahy », pêche ouvertement ou tacitement par une prise de position en faveur d’une partie en conflit.
D’autres, en provenance de l’extérieur, dépêchées par des organisations internationales pour s’enquérir des nouvelles sur place, font du surplace. Elles savent pertinemment les positions figées sinon radicalisées et « s’amusent » à des jeux de rôle frisant la comédie. N’étant pas dotées du pouvoir coercitif, elles ne peuvent rien autrement que d’écouter. Ce qui nous amène d’ailleurs à se demander à quoi rime ces va-et-vient de ces missionnaires ?
Au risque d’enquiquiner les esprits sensibles, nous revenons à la charge en bétonnant qu’à Madagasikara il n’existe pas de problème ni de crise justifiant les gesticulations ici et là.
Si problème ou crise il y a, ce serait sur la question d’interprétation de la loi précisément sur l’angle de vue où l’on se place par rapport à certains Articles de la Loi fondamentale.
A notre humble avis, nous étions allés trop loin dans notre souci de démocratiser le pays. Est-ce que nous ne nous sommes pas égarés dans le « démocratisme » ?  Dans les pays dits de démocratie comme les Etats-Unis, les Européens ou autres, on n’applique pas ce principe de démission du titulaire en exercice avant le scrutin.
Un autre problème, un sujet à débat !
Ndrianaivo


L'année 2009, l'administration Marc Ravalomanana a laissé à jamais un très mauvais souvenir pour l'opinion et surtout les Forces de l'ordre. A l'époque, les Malagasy ont vécu un vrai cauchemar lorsque l'ancien Président a placé des étrangers, en particulier des Sud-africains aux commandes de certaines unités de nos Forces armées, et ce, au plus fort moment de la contestation populaire à l'époque. Actuellement, les mêmes Forces de défense et sécurité travaillent d'arrache-pied pour maintenir et rétablir l'ordre, à la suite de la volonté chez des politiciens proches du collectif des onze candidats de semer des turbulences au pays. Et cela vaut aux premières un blâme mais surtout aussi une désinformation sur leur compte. En effet, comme le commandant de la Circonscription régionale de la Gendarmerie d'Analamanga, en l'occurrence le lieutenant- colonel Tojo Raoilijon, l'a expliqué à la presse à Analakely hier, ces rumeurs reprochent justement la Gendarmerie d'avoir recruté des étrangers dont une Européenne et un Mahorais dans ses rangs. "Ils ont diffusé sur Facebook la vidéo montrant nos éléments supposément étrangers.

Or, cette information est complètement erronée. Les concernés sont bel et bien des nationaux. De toute façon, ils vont se présenter", déclare le commandant de la CIRGN Analamanga. La Gendarmette est issue de la 76e promotion et est de père et mère malagasy. Quant à celui présenté comme Mahorais est Betsileo et est de la 74e promotion. D'après toujours ses explications, la Gendarmerie ne fait pas de la discrimination pour recruter tant que les candidats sont de nationalité malagasy. A preuve, le récent examen en vue de l'admission d'élèves gendarmes l'a bel et bien prouvé. Face donc à ces rumeurs, la Gendarmerie va prendre une mesure. Car il est clair que l'objectif chez certains est de semer la discorde et la division au sein même de la Gendarmerie mais aussi chez les Forces armées. Des mesures qui visent à réparer cet affront proféré à l'endroit de cette Force et des personnes visées se profilent donc à l'horizon.
 Franck R.

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La une du 5 octobre 2023

Un événement  gratuit pour les amoureux de littérature et fans de l’auteure Michèle Rakotoson. La grande écrivaine présentera son livre, lors d’une  dynamique et rencontre engagée, lecture musicale et dédicace à la Galerie Mozaik à Antsahabe ce samedi 7 octobre. Encore une fois, la rencontre se fera autour de son roman « Ambatomanga, le silence et la douleur». Un récit autour de la guerre en 1895. D’ailleurs, elle sera sur les lieux  pour animer une rencontre et échange littéraire fort intéressants. Aussi, cette rencontre s’articulera autour du domaine de la littérature, du travail d’une auteure. Un échange entre les fans de lecture et Michèle Rakotoson. Une occasion de plonger dans l’ensemble de son œuvre donc, en suivant le cours de sa vie et de son évolution littéraire. Et ce, pour les personnes qui la connaissent déjà bien comme celles qui souhaitent la découvrir. Elle sera également disponible pour répondre aux questions sur son dernier livre intitulé « Ambatomanga, Le silence et la douleur ». Une manifestation qui commencera à partir de 17 heures. Il y aura également des dialogues avec Rado Andriamanambe en compagnie de quelques journalistes culturels. Pour les intéressés, ce sera une autre chance de rencontrer l’auteure pour une séance de dédicace. Un événement programmé pour permettre aux jeunes de mieux s’informer et de se familiariser avec cette auteure qui marque l’histoire de la littérature malagasy. Rappelons que son roman a encore remporté le concours littéraire international (Pola) Prix Orange du Livre en Afrique 2023. Ce roman mondialement connu est inspiré de faits réels sur la guerre de 1895. Un livre qui raconte le tracas et les inquiétudes d’un peuple face à une guerre qui se solde par une colonisation. Un œuvre composé à partir de faits réels, qui conserve encore jusqu’à aujourd’hui toute sa force saisissante. Ce livre est  sorti au mois de mai 2022 qui raconte les prémices d’une colonisation naissante par la France dans les années 1894, et ce via le regard de deux personnages, Félicien Le Guen, le soldat français et Tavao, esclave et porteur malagasy. Encore une fois, parce que ce livre mérite d’être cité, lu et qu’il est toujours exquis de parler littérature. L’entrée à cette rencontre est gratuite.
Si.R

La crise énergétique qui sévit à Antananarivo prend une envergure inquiétante, affectant presque tous les petits commerces de jour. Alors que les délestages électriques nocturnes ont fait la une ces derniers jours, avec des coupures d'électricité intempestives perturbant la vie quotidienne des résidents et des travailleurs nocturnes, les commerçants diurnes se retrouvent désormais aux prises avec des interruptions de courant pouvant survenir jusqu'à quatre ou cinq fois en une journée dans la plupart des quartiers du centre et  périphérie. La situation est devenue intenable, car aucune heure précise n'est communiquée aux usagers pour prévoir ces interruptions. A titre de comparaison, l'Afrique du Sud connaît également des délestages, mais ceux-ci sont planifiés de manière stricte, permettant aux citoyens de s'organiser en conséquence. Dans la Capitale, la compagnie nationale d'électricité et d'eau semble manquer de transparence et de communication avec les usagers, laissant ces derniers frustrés et impuissants. Les coupures d'électricité en journée ont un impact dramatique sur de nombreux secteurs, y compris les petits commerces qui ne disposent souvent pas des ressources nécessaires pour faire face à de telles interruptions imprévisibles. Les boulangers et les épiciers, par exemple, ont été touchés de plein fouet, avec une absence de livraison de pain et de produits alimentaires frais, laissant de nombreux résidents sans options pour leur petit-déjeuner. Cette crise énergétique survient alors que le pays est en période d'étiage au cours de laquelle le niveau d'eau disponible pour les centrales hydroélectriques est au plus bas.
Travaux
Cette situation entraîne également des coupures d'approvisionnement en eau dans certains quartiers de la Capitale, aggravant ainsi la situation déjà difficile pour les habitants et les entreprises locales. La JIRAMA a récemment déclaré qu'il ne s'agissait pas de délestage économique, mais plutôt de coupures nécessaires pour effectuer des travaux d'entretien des infrastructures électriques. Cependant, les habitants en souffrent énormément, sans aucune garantie que ces délestages temporaires vont résoudre les problèmes à long terme. Malgré les protestations et les critiques de la population, la compagnie d'électricité et d'eau semble peu encline à prendre des mesures pour résoudre ces problèmes de manière satisfaisante. Les habitants d'Antananarivo continuent de faire face à des incertitudes quant à la disponibilité de l'électricité, rendant difficile la gestion quotidienne de leurs activités. Les commerçants de jour doivent désormais jongler avec des horaires de travail perturbés, des pertes de revenus et une clientèle mécontente. Certains ont même dû investir dans des générateurs électriques pour maintenir leur activité. Ce qui représente une dépense supplémentaire difficile à supporter. La population espère que les autorités prendront des mesures concrètes pour résoudre cette crise énergétique et garantir un approvisionnement en électricité stable et prévisible à l'avenir. En attendant, la Capitale fait de l'obscurité un quotidien, face à un avenir incertain, où les coupures d'électricité en journée deviennent la nouvelle norme, affectant la vie quotidienne des habitants et de ses commerces.
La Rédaction



Les cancers du sein et du col de l'utérus sont encore un problème majeur de santé à Madagascar. 14% des femmes malagasy souffrent d'un cancer du col de l'utérus et du sein. Ce taux figure parmi les plus élevés au monde, apparemment depuis cinq ans, d'après les statistiques publiées par la Fondation Akbaraly. 60% des cas de cancer concernent le sein.
Selon les chercheurs, les gènes malagasy en sont la principale raison, viennent ensuite les maladies sexuellement transmissibles. Chaque année, la fondation Akbaraly organise des dépistages gratuits des cancers du sein et du col de l'utérus durant le mois d'octobre. Il se tient au Centre médical kintana à Ambatomena.
 Durant l’octobre rose, si le résultat du test est positif, le groupe prendra en charge la patiente. D'autre part, le dépistage gratuit est un événement annuel ouvert à tout public. Il est également possible de faire des tests au niveau des centres ou bureaux du groupe Akbaraly, tout au long de l'année.
Au cours des cinq dernières années, 200 000 femmes ont bénéficié d’un dépistage gratuit. La Municipalité d'Antananarivo, à travers les sapeurs- pompiers, a accompagné la fondation dans cette opération.
Le coût du traitement des cancers du col de l'utérus et du sein est encore hors de portée des bourses des ménages malagasy autant que le dépistage dans les établissements privés. Dernièrement, le ministère de la Santé publique a annoncé l'achat de deux mammographies. Ce projet entre dans le cadre de la lutte contre le cancer du sein. Le cancer peut être guéri s'il est dépisté à temps. C'est l'importance du dépistage.
Anatra R.



Le VIH/Sida est devenu une menace de première importance pour le monde du travail, affectant la santé et la sécurité des travailleurs exposés à cette maladie. Allant de la discrimination des personnes atteintes par ses collègues au pur renvoi par les entreprises.
En effet, la discrimination et la stigmatisation dont sont victimes les travailleurs séropositifs constituent une menace pour les droits fondamentaux au travail. « Malgré les efforts déployés par les organismes internationaux pour sensibiliser les entreprises aux risques liés au VIH/Sida, il reste encore beaucoup à faire pour protéger la santé et les droits de dizaines de millions de travailleurs qui sont confrontés à cette maladie au quotidien », indiqua l'Organisation internationale du travail (OIT).
D’abord, il y a les coûts inhérents à la prise en charge des travailleurs infectés qui se traduisent par la réduction des gains et la baisse de production. Cela constitue un problème pour les entreprises de tous les secteurs d'activité. Le VIH/Sida accroît également les coûts du travail, réduisant l'expérience et les compétences des travailleurs les plus qualifiés.
Le Sida en 2023
En 2023, 39 millions de personnes vivent avec le VIH/Sida dans le monde. Bien que 76% d'entre elles aient accès à un traitement, 5,5 millions de personnes ne savaient pas qu'elles étaient infectées. Parmi les malades, 53% sont des femmes et des filles dont 82% ont accès au traitement. Tandis que seulement 72% des hommes âgés de plus de 15 ans y ont accès. Malgré une baisse de 38% des nouvelles contaminations au VIH depuis 2010, passant de 2,1 à 1,3 million de personnes en 2022, la statistique pour Madagascar a augmenté de 239%. Malgré cette diminution, l’on compte encore 4 000 adolescents et jeunes hommes âgés de 15 à 24 ans contractant le virus chaque semaine, dans le monde. En Afrique subsaharienne, 3 100 cas d'infection ont été recensés en 2022.
Détecter le plus tôt possible
L’infection par le VIH peut être détectée avec une grande précision à l’aide de tests préqualifiés par l’OMS dans le cadre d’une stratégie et d’un algorithme de dépistage approuvés au niveau national. Le VIH peut être diagnostiqué au moyen de tests de diagnostic rapide qui donnent des résultats le jour même. Ce qui facilite grandement le diagnostic précoce et les liens avec le traitement et les soins.
Il n’existe pas de moyen de guérir l’infection à VIH. Cependant, grâce à l’accès à une prévention, à un diagnostic, à un traitement et à des soins efficaces, y compris pour les infections opportunistes, l’infection à VIH est devenue une pathologie chronique qui peut être prise en charge avec la possibilité de vivre longtemps et en bonne santé.
Traitement du VIH
A l’heure actuelle, le traitement antirétroviral (TAR) ne guérit pas de l’infection à VIH, mais permet au système immunitaire de la personne infectée de se renforcer, leur permettant ainsi de combattre d’autres infections. Actuellement, le TAR est un traitement à vie qui doit être pris tous les jours.

Il réduit la quantité de virus dans l’organisme, ce qui met fin aux symptômes et permet aux personnes touchées de vivre une vie pleine et saine. Les personnes vivant avec le VIH qui sont sous TAR et qui ne présentent aucun signe du virus dans le sang ne transmettront pas le virus à leurs partenaires sexuels.
Les femmes enceintes vivant avec le VIH doivent avoir accès au TAR et prendre ce traitement dès que possible. Cela protège la santé de la mère et aide à prévenir la transmission du VIH au fœtus avant la naissance ou au nourrisson par le lait maternel.
Avec l’avancée de la médecine sur les antiviraux, les séropositifs ne sont plus obligés de suivre des traitements lourds et s’intègrent parfaitement au travail. Il reste ainsi aux collègues et aux patrons à se débarrasser des préjugés et de ne pas mettre à l’écart les personnes atteintes par le virus. Car bien que le patient gagne contre la maladie, il reste une bataille plus importante celle de changer le regard et les préjugés des autres.
Nikki Razaf

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LA UNE DU 04 OCTOBRE 2023

Le District d'Ankazobe est en alerte depuis la semaine dernière. Selon les autorités sanitaires de cette localité, au moins dix personnes ont déjà succombé à la peste dans le Fokontany d'Ambohitsoa, tandis que plusieurs personnes suivent encore des traitements au niveau du centre de santé. 

Fil infos

  • Carburants - L'Opposition souhaite une hausse vertigineuse 
  • Critiques contre le projet « Lac Iarivo » - La société civile conforte sa position tendancieuse 
  • ACTUS BREVES
  • Interception de 53 kg d’or à Ivato - Une prime de 97 millions d'ariary pour des douaniers exemplaires
  • Partenariat stratégique - Les Emirats arabes unis réaffirment leur intérêt d’investir à Madagascar
  • Ankoay interceptés sur la RN2 - Des oiseaux dressés par son propriétaire depuis 2023
  • Carburant - Les prix à la pompe en…baisse !
  • Municipales - La destinée de la Capitale entre les mains de Harilala Ramanantsoa
  • Carburant - Application incontournable de la vérité des prix
  • Télécommunication - Patrick Pisal Hamida nommé vice-président d'AXIAN Telecom

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Editorial

  • Dans l’œil !
    Attention ! Le pays court un danger de … mort. On n’est plus en situation de « menace » mais déjà en « péril », dans le rouge. On est dans la gueule du loup ! Dans l’œil du cyclone. Delphin, ce digne père de famille, a été lynché à … mort, sans autre forme de procès. Un énergumène fils enterre sa propre mère à… domicile. Un époux lambda tue sa femme ou sa compagne comme si de rien n’était. Et ainsi de suite ! La liste de faits troublants et inquiétants est longue. Si rien de sérieux ne soit pas mis en branle, la société malagasy courrale risque de la désintégration.

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