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Volera, ne volera pas. L’opinion publique reste dubitative par rapport au bourbier actuel dans lequel la compagnie Air Madagascar ou Madagascar Airlines s’enlise. Les publications tous azimuts de document officiel attestant (et non) la légalité de l’existence de la compagnie Madagascar Airlines comme substitue des compagnies Tsaradia et Air Madagascar ont mis le feu aux poudres. Les deux dernières étant présentement en redressement judiciaire, la première devait alors assurer la reprise des activités en se portant comme étant le produit de la fusion des compagnies encore en difficulté financière. Cependant, Madagascar Airlines vient de se faire couper l’herbe sous le pied à cause d’une communication officielle de l’Aviation civile attestant le fait que la compagnie n’a, pour le moment, pas encore de licence d’exploitation en sa possession. La demande du fameux sésame a effectivement été déjà envoyée par Madagascar Airlines mais le dossier est toujours en cours de traitement, selon ce document de l’ACM. D’un autre côté, la toute jeune Madagascar Airlines justifie son statut de compagnie en bonne et due forme avec la reconnaissance internationale de l’IATA ou Association du transport aérien international à travers le certificat IOSA qui est la première norme mondiale pour la vérification de la sécurité des procédures d’exploitation des transporteurs aériens. Dans tous les cas, les conflits managériaux au sein de ces compagnies en fusion risqueraient de déteindre la crédibilité même de l’Aviation civile dans le pays.
Crainte
« Il est possible que l'Organisation de l'Aviation civile internationale (OACI) prenne des mesures de sanction à notre encontre. Si jamais cette situation perdure, l’organisme international est en mesure de nous infliger les sanctions en rapport avec l’annexe A. Des mesures dont la gravité va au-delà de celles qui ont été déjà subies par Air Madagascar avec l’annexe B qui ne concernait que l’espace aérien européen », craint un responsable au sein de l’ACM. D’ailleurs, Madagascar est déjà régulièrement sanctionné comme pays générateur de PGS ou Problème grave de sécurité par l’OACI. Un fait qui, à l’extrême, peut entraîner la fermeture de l’espace aérien du pays concerné ou encore qui peut mettre les compagnies aériennes dudit pays hors course sur le plan international. Pour rappel, Madagascar Airlines est une nouvelle compagnie qui regroupe Air Madagascar et sa filiale Tsaradia afin de mutualiser les coûts et mettre chaque entité en centre de profit rentable pour la relance de la compagnie. D’après la convention de mise en location-gérance du fonds de commerce d’Air Madagascar et de Tsaradia par Madagascar Airlines. Le CTA et les licences d’exploitation d’Air Madagascar et de Tsaradia ainsi que toutes les licences d’exploitation (IOSA, EASA) de ces deux compagnies sont en pleine possession à titre locative de Madagascar Airlines. Dans ce contexte, la compagnie devrait avoir la latitude nécessaire et indépendante pour faire fonctionner les acquis de ces deux compagnies et de sélectionner les salariés qui souhaitent l’intégrer avec les conditions de travail et de mise en œuvre dictées par cette nouvelle structure tout en assurant rentabilité et aussi le paiement des créances des deux compagnies en redressement.


Les vacances sont là. Ceux qui n’ont pas la chance de partir en vacances ou ceux qui en reviennent, les portes de la Bibliothèque nationale (BNM) sise à Anosy leur restent ouvertes. De quoi occuper le temps puisque lire, c’est voyager dans le monde tout en restant chez soi.  Aussi, les responsables au sein de la BNM invitent le public, particulièrement les jeunes, à venir visiter le lieu pour mieux connaître ses richesses, tout en sollicitant chacun à adhérer comme membre du club de lecture. En adhérant à la BNM, chaque membre contribue aux missions de -préserver et enrichir le patrimoine de la Bibliothèque nationale. « C’est surtout durant ces périodes de vacances qu’il faut profiter pour en devenir membre.  En tant qu’adhérent, vous bénéficiez d'un certain nombre de privilèges : découverte des trésors de la BNM et de ses différents départements en présence de conservateurs, des auteurs, invitation à des différentes sortes d’animations culturelles autour de la lecture. Quant aux adultes, ils peuvent se distraire à travers les romans et les livres de documentaires», encourage le directeur général Njaka Raonison. En outre, les visiteurs non adhérents pourront toujours y accéder simplement avec une carte d’étudiant ou d’une carte d’identité nationale. Une invitation dans le but de favoriser la lecture chez les jeunes pendant les vacances et à les encourager à visiter la bibliothèque publique.
Des avantages
 Les visiteurs trouveront un large choix de livres malagasy, des romans, des BD, des documentaires, revues et littérature jeunesse. Sans oublier les différentes animations culturelles avec des auteurs locaux.  A mentionner que la BNM dispose plus de 500000 documents actuellement, y compris les livres, musiques, documents numériques. Encore, pour mieux inciter le public de la nouvelle génération à s’accaparer des lieux, les collaborateurs de la Bibliothèque nationale ont mis à leur disposition une bibliothèque virtuelle qui intègre des milliers d’ouvrages et des supports électroniques sur l’Histoire de Madagascar et d’autres sujets aussi intéressants. Récemment, L’Ambassade de France à Madagascar a principalement offert des abonnements à la Culturethèque, disposant de 230 000 documents en ligne dont des magazines, auto-formations et livres « jeunesse ». Pour les lecteurs fans des nouvelles technologies, une dizaine de postes d’ordinateur, d’écoute et tablettes donnant accès à des albums numériques, avec plus de  600 photos intégrées évoquant des thèmes portant sur l’Histoire, des paysages,  portraits et autres, leur sont également proposés. Et tout cela gratuitement.
Sitraka Rakotobe


L’évasion de trois détenus a secoué la prison d’Ambalatavoahangy à Toamasina, vers midi hier. Mais si un fugitif nommé Jean Chris Rajoelison a été attrapé par la Police dans le secteur du Bazary kely, deux autres ont réussi à échapper aux Forces de l’ordre. Pire, ce sont des condamnés à perpétuité pour affaire attaque à main armée et de détention d’armes. Et ils sont maintenant armés en ayant réussi à s’emparer par la force du fusil MAS 36 d’un garde. Leur fuite aurait été facilitée par le fait qu’ils circulaient sur une moto d’ailleurs volé. Ils sont identifiés dont l’un s’appelle Raelison Berthin Rafanomezantsoa, alias Fano et l’autre Alexandre, alias Babaique. Mais revenons sur les faits. Les trois larrons ont profité du moment de la distribution des repas de midi pour passer à l’action. Ils ont feint de chercher de l’aide au surveillant qui se trouvait dans son guérite. 
Des coups de feu éclatent
Et sans autre forme de procès, les trois prisonniers ont alors tabassé le garde qui était loin de réaliser ce qui lui est arrivé. Ce dernier souffre d’un traumatisme crânien, nécessitant son évacuation à l’hôpital du centre-ville de la capitale Betsimisaraka. Mais sa vie n’est pas en danger. Les détenus ont pu s’emparer de l’arme de service du garde pénitentiaire blessé avant de prendre la fuite en passant par-dessus le mur d’enceinte de la prison. Pendant ce temps, les autres gardes ont ouvert le feu, mais ont raté leurs cibles, les fuyards. L’un a pris la direction du Bazary kely tandis que ses deux complices ont intercepté un motocycliste qu’ils ont menacé avec le MAS 36 volé. Les fugitifs ont alors foncé à bord du deux-roues RS rouge. Une fois arrivés à la hauteur de Verrerie-Tanambao, ils avaient abandonné la moto.
Du coup, Ladislas Rasamitiana, le procureur de Toamasina a pris ses responsabilités. D’ailleurs, c’était sur son ordre que les Forces de l’ordre ont réussi à attraper le fugitif Jean Chris Rajoelison. Ce dernier est condamné à une peine de 10 ans de réclusion, mais qu’il n’a purgé que deux ans. A l’heure où nous mettons sous presse, c’est-à-dire au cours de la soirée de mercredi dernier, on a assisté à une mobilisation sans précédente des Forces de l’ordre. A part les gardes pénitentiaires, la Police et la Gendarmerie participent à la poursuite des fuyards et surtout le ratissage de la ville. Toutes les unités locales et limitrophes ont été avisées. Entre autres mesures prises, le renforcement des barrages et de la police routière sur tous les axes routiers, notamment sur la RN2 et la RN5, enfin en rase-campagne. Ces Forces de sécurité étaient dans l’attente des portraits robots des évadés.
Surpopulation carcérale
Cette affaire a secoué la plus haute hiérarchie car on a appris la descente sur place des membres de l’Organisation mixte de conception (OMC) élargie dont le gouverneur de l’Atsinanana, le maire de la Commune urbaine de Toamasina, du procureur du tribunal de première instance de Toamasina, du colonel commandant la circonscription régionale de Gendarmerie de Toamasina ainsi que le commandant de ZDS Pangalanes.
Enfin, le procureur, lors de sa rencontre avec la presse, toujours mercredi dernier, a expliqué que le calme est revenu à Ambalatavoahangy, malgré cette situation. De leur côté, les collègues des trois fugitifs ont reconnu que ces derniers ont tort. Toutefois, force est de constater aussi qu’une surpopulation carcérale est en partie responsable du triste évènement d’hier. Car si le centre de détention d’Ambalatavoahangy a une capacité d’accueil de 350 détenus, actuellement ils sont 1200 à y séjourner.
Franck R.
 
 


La situation d’Alaotra-Mangoro est préoccupante. Les autorités et les responsables locaux affichent une extrême prudence. Ils se gardent de voyager la nuit à présent. Les mesures de sécurité sont plus que renforcées en cas de visite de haute importance. Ceci a été observé lors du récent passage des délégations venant d’Antananarivo sur la route nationale 44 Sud dont la reconstruction est financée par la Banque mondiale.
Cette Région regorgeant de ressources considérables donne l’impression d’être le nouvel eldorado des kidnappeurs. Ces criminels ont écumé les Régions voisines comme la Betsiboka et l’Analamanga quelques années auparavant. La récurrence des enlèvements dans le District de Tsaratanàna avant 2019 reste gravée dans la mémoire. Les méfaits des bandes à Del Kely dans la même circonscription et celle d’Anjozorobe laissent encore et toujours des traces de traumatisme.
Le calme semble revenir à ces endroits. Mais à côté de l’accalmie relative dans la Betsiboka et l’Analamanga émerge l’horreur pour l’Alaotra-Mangoro. La Région est le théâtre d’au moins trois cas de rapt rien qu’en ce mois de juillet. Les derniers en date se sont produits dans le courant de la semaine du 18 juillet où une adolescente de 16 ans a été nuitamment enlevée à son domicile à Antsangasanga, Ambatondrazaka. Les autorités régionales ont aussi parlé d’un autre kidnapping sans livrer aucune information.
Renforts
Sur son lit d’hôpital à Ambatondrazaka, un résident d’Anosiboribory, Amparafaravola, est nuit et jour placé sous haute surveillance policière. Le père de famille a survécu à ses blessures par balles à l’issue d’une tentative d’enlèvement chez lui mais auquel il a pu par chance échapper. Sa femme n’a malheureusement pas eu cette chance. Elle est toujours entre les mains des ravisseurs qui demandent le versement de plusieurs dizaines de millions de rançon.
Cette occurrence, loin de clore la série noire dans l’Alaotra-Mangoro, a dégagé un parfum de conflit d’intérêts ayant poussé les autorités gouvernementales à bouger. Des renforts venant d’Antananarivo ont été déployés sur le terrain. Les gendarmes ont ainsi neutralisé six suspects dans la journée du 18 juillet. La traque des bandits impitoyables continue jusqu’à maintenant. Le ratissage et le contrôle sur les axes routiers sont réguliers. Les observateurs sont impatients de voir le résultat.
Depuis l’an passé, les Districts de Moramanga, d’Ambatondrazaka et d’Amparafaravola apparaissent comme les principaux foyers d’enlèvements dans la Région Alaotra-Mangoro. L’on se demande du réel mobile derrière ces crimes qui ont un point commun : viser ceux qui ont de l’argent. La lecture hâtive qui s’en dégage laisse entrevoir que les réseaux criminels auraient abandonné le vol de bovidés au profit des rapts. C’est parce que le cheptel est en déclin.
Campagne rizicole
L’interprétation possible aussi indique la migration de proximité des kidnappeurs. A Analamanga, la compagnie territoriale de la Gendarmerie d’Imerina centrale ne badine pas avec les ravisseurs. Ses éléments les ont débusqués sans ménagement de leurs repaires. Les responsables estiment que les membres actifs des réseaux criminels auraient rejoint le bassin de Mangoro et celui d’Alaotra pour y perpétrer leurs agissements.
En outre, ces déplorables kidnappings dans l’Alaotra-Mangoro ont commencé à faire leur apparition après la ruée vers les pierres précieuses dans cette Région en 2019-2020 où un riche gisement de béryl était découvert à Andilana Avaratra, Amparafaravola. Le prix des quantités de pierre qui y ont été extraites s’élève à plusieurs dizaines de milliards d’ariary. Mais les chanceux ne sont forcément pas les résidents locaux. Il reste à prouver en tout cas le lien entre ces enlèvements et les activités minières au niveau régional.
Un autre point à considérer aussi est la coïncidence entre ces enlèvements et la campagne rizicole dans le premier grenier à riz de Madagascar. Chaque année, la collecte fait circuler abondamment de billets de banque en ville comme dans la campagne. Des collecteurs sont parmi les victimes. Ceci dit, toute l’Alaotra-Mangoro est sur le qui-vive. En attendant le dénouement de la crise de rapt, qui n’y a jamais été connue, la Région est en bon droit de porter le nom de nouvel eldorado des kidnappeurs.
M.R.

En déplacement aux Seychelles, les Barea de Madagascar Beach Soccer (BBS) se trouvent à un pas du Mozambique, pays hôte de la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations de Beach Soccer 2022. La formation de Solofo, coach de l’équipe a déjà rejoint Mahajanga, ce mardi pour préparer le match retour qui se tiendra dans la ville des fleurs le 7 août prochain. A la veille de leur départ, les joueurs et le staff ont été reçus par le ministre de la Jeunesse et des Sports à Ambohijatovo et ont eu le fameux « Tso-drano du Raiamandreny » et une enveloppe de consolation pour les motiver à faire encore mieux afin que la qualification soit assurée. 

Les accidents de la circulation s'enchaînent ces derniers temps au niveau des Routes nationales. Selon les constatations, les coopératives profitent de la période des grandes vacances pour en tirer plus de bénéfices. D'après les explications d'un chauffeur œuvrant sur une ligne nationale reliant Antananarivo et Toamasina, le nombre de taxis-brousse qui circulent ne suffit plus pour transporter les passagers en ce moment. Alors, ils sont obligés de faire des heures supplémentaires. Une fois arrivés à Antananarivo, ils se reposent tout juste dans leur véhicule en attendant le prochain départ. 

Dédiée pour les professionnels des médias. Chaque Maison de la communication et de la culture (MCC) dispose d’un espace « presse ». Celle-ci se compose d’une salle de conférence, d’une salle informatique, d’un espace de documentation ainsi que d’un bureau pour la branche locale de l’Ordre des journalistes de Madagascar. Les journalistes peuvent y suivre des formations, faire des recoupements, travailler, etc. L’accès aux infrastructures équipées et à la connexion Internet y est gratuit, d’après Fetraniaina Rakotondrasoava, directeur général de la Communication auprès du ministère de tutelle.

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Aucun droit 

Mais où va-t-il le monde ? Continue-t-il de tourner dans le sens de l’aiguille d’une montre ou le sens inverse ? En tout cas, il ne tourne pas rond du moins pour certains acteurs de la vie politique nationale. Tellement leur monde tourne de travers et ce avec une vitesse vertigineuse qu’ils ont le … vertige et disent des bêtises d’enfants mal élevés ou des délires de fou aliéné. Ils crachent leur venin en pleine figure !

Incontournable pour le développement de la Région. C’est en ce sens que les notables du sud-ouest qualifient la nécessité de déblocage du projet Base Toliara. « Un projet ne pourra développer à lui tout seul notre Région. Le déblocage de la situation de cette compagnie incitera toutefois d’autres investisseurs à venir. Ces investissements génèreront des emplois et amélioreront notre situation socio-économique » explique Mana Parfait, membre de la plateforme des notables de Toliara.

Un long-métrage 100 % malagasy qui gagne en notoriété au paysage du 7ème art local. Depuis sa diffusion en avant-première au mois d’avril dernier, « Joe », l’œuvre de Zo Tahiana continue d’émerveiller les pupilles des fans du cinéma malagasy. Toute l’équipe chargée de la production et de la réalisation du film misait beaucoup sur ce film. Et elle n’a pas été déçue. La longueur des applaudissements à l’issue de chaque projection en témoigne. Après 1h 45 de tension haletante, tous les spectateurs ont réussi à se décontracter quelque peu afin de saluer comme il se doit le travail cinématographique de Zo Tahiana. D’ailleurs, on a remarqué l’enthousiasme  et l’engouement des cinéphiles à aller dans une salle obscure pour voir ou revoir le film.

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Editorial

  • Adieu … !
    Adieu l’Amérique aux poches ouvertes ! Adieu l’Amérique au grand cœur ! Bonjour à l’Amérique aux américains ! Salut à l’ « America first » ! L’USAID ferme ses portes. Le 47 ème Président des Etats-Unis d’Amérique, Donald Trump, s’apprête à signer, sitôt après la cérémonie officielle d’investiture, le décret portant sur la mise en arrêt définitif de l’ « United States Agency for the International Development » (USAID), Agence des Etats-Unis pour le Développement International. Donald Trump mit à exécution l’une de ses promesses électorales phares. Le milliardaire croit dur comme fer que les Etats-Unis n’ont plus vocation à soutenir les « autres ». Il faut désormais se concentrer sur des actes, en interne ou en externe, propres à produire des intérêts aux américains. Fini les œuvres de philanthropie ! L’USAID, créé le 3 novembre 1961 sous l’impulsion du président démocrate John Fitzgerald Kennedy dont le siège social se…

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