La poursuite du processus électoral et rien d’autre. Sénateurs et députés majoritaires, des partis et groupements politiques ainsi que des associations sont unanimes dans leurs déclarations. Ils condamnent l’appel à la suspension du processus électoral émis par la présidente de l’Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa et consorts réunis au sein d’une pseudo-plateforme de médiation. Les sénateurs de la majorité présidentielle, affiliés à l’IRD, ont émis une réaction véhémente, soulignant que toute tentative d’entraver le processus électoral serait une voie extra-constitutionnelle. Ils insistent sur le maintien du calendrier établi, considérant les élections comme le seul moyen de mesurer la puissance des entités…