Une nouvelle qui ne sera pas du goût de certains facebookers malagasy qui, profitant du fait qu’ils habitent en France, profèrent sans retenue des propos haineux sur leur page. Ceci, avec peu de risque d’être localisés grâce au refus, jusqu’ici, de Facebook de révéler leur adresse IP.Il faut savoir, en effet, qu’auparavant, Facebook révélait les adresses IP de ses utilisateurs à la Justice française uniquement s’il s’agit de cas de terrorisme ou de pédopornographie. Lorsqu’il est donc question d’autres formes de cybercriminalité, il était particulièrement difficile pour les enquêteurs de tracer les auteurs. La conséquence est que ces derniers, forts…