Victime de faux et usage de faux. « On m’a retiré mon autorité parentale basée sur une soi-disant violence conjugale qui n’a jamais eu lieu ni prouvé et été commise par ma personne sur mon ex- épouse ainsi que sur un constat d’adultère qui a été annulé car sans fondement effectué après le jugement du divorce et non frappé d’appel avec la grosse bien signifiée, sans enquête approfondie ni ma présence. » Tel est le récit d’un père, un étranger, en butte avec une saga judiciaire enclenchée par son ex- épouse, une Malagasy. Sans hésitation, il relate les faits.