Société

Cela fait maintenant 3 ans, jour pour jour, que Jo Willy Rabe, Pdg de Jk Group et Sourc’in Voyage, est recherché pour arnaque et abus de confiance. Car l’homme a commencé à disparaître totalement du circuit à partir du 21 octobre 2019 à la suite des plaintes de ses victimes, plus de 200, dont des personnes venant des différentes Régions du pays, à propos de son refus obstiné pour les rembourser après un soi-disant report, puis finalement l’interruption subite de tous ces voyages groupés.
Une alternative énergétique. Un groupe de 6 étudiants a pu concevoir une start-up baptisée « Input/Output for a Proper Impact » (IOPI). Ce projet innovant valorise l'urine afin de résoudre deux problèmes sociétaux majeurs, à savoir les coupures fréquentes d'électricité et la pollution. « 1,5 litre d'urine sort quotidiennement du corps d'une personne. Une fois exploitée, cette quantité peut allumer une lampe de 12 watts pendant 6 heures et charger un téléphone portable. En fait, la substance appelée "urée" dans l'urine nourrit les microbes, lesquels produisent un faible taux de courant électrique pouvant être stocké dans un accumulateur d'énergie.
Le Programme d’amélioration des bidonvilles ou Programme participatif d’amélioration des bidonvilles (PPAB) a pour objectif de développer et d’améliorer les conditions de vie de la population et le cadre de vie des personnes vivant dans des bidonvilles. Le taux de citadins vivant dans des bidonvilles s’élève à 77 %, selon la statistique de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Un bidonville est défini comme un ensemble de logements sans aucun droit ou sécurité foncière.
L’artisanat malagasy a de nombreux potentiels. Mais seulement, afin qu’il apporte son soutien au développement économique de notre pays, il faudra désormais franchir un pas et miser un peu plus sur l’aspect économique de ce secteur. En effet, l’artisanat a été toujours rangé parmi les secteurs réservés aux touristes de passage et réservé à une clientèle restreinte. En plus, la production reste limitée.C’est afin de remédier à la stagnation du secteur de l’artisanat que la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo (CCIA) va lancer du 26 au 29 octobre au Stade Barea sis à Mahamasina un salon dédié spécialement à…
Une cause du taux d’absentéisme assez élevé chaque mois. Bon nombre de jeunes filles âgées de 10 ans et plus cessent les cours durant leur période de menstruation, notamment en milieu rural. Ceci d’autant plus que bon nombre d’entre elles utilisent juste des bouts de tissu ou autres à la place des serviettes hygiéniques. L’accès à ces dernières reste limité, tout comme les infrastructures sanitaires qui se font rares, tant dans les établissements publics que ceux privés. Pour la Circonscription scolaire (CISCO) d’Ambositra, dans la Région d’Amoron’i Mania, « seuls 2 % des établissements publics disposent de douches, dont les…
Après que les taxis-motos ont eu l'autorisation d'exercer dans la ville d'Antananarivo, les taxis-bicyclettes ont effectué une manifestation, hier, à Anosizato, engendrant un embouteillage monstre sur cet axe. " Nous avons été poursuivis par la Police municipale et quelques-uns d' entre nos camarades ont été mis en fourrière", explique un des leurs. Les vélos demandent une autorisation d'exercer librement, comme les taxis-motos. Une demande qui a été, tout de suite, rejetée par la CUA.
Les déchets plastiques constituent le premier polluant qui menace l’environnement marin dans le monde. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastiques sont jetés dans les mers du globe. Dans les mers de l’océan Indien du sud dans lesquelles se trouve Madagascar, Maurice ou les Comores, les chiffres sont encore flous faute de documentation fiable. C’est afin de trouver une solution pérenne face à cette menace et réutiliser le plastique dans d’autres applications qu’une réunion internationale sur le plastique dans l’océan Indien a été effectuée au Carlton Anosy.

Fil infos

  • Ve Sommet de la COI - Mobilisation exceptionnelle des Forces de l’ordre
  • Actu-brèves
  • Décès du Pape François - Andry Rajoelina salue la mémoire d’un homme de paix
  • Intégration régionale - Andry Rajoelina plaide pour la libre circulation dans la COI
  • Visite d'Etat d'Emmanuel Macron à Madagascar - Des signatures d'accords en perspective
  • Trafic de tortues protégées - Un député et ses complices envoyés à Tsiafahy
  • Route des Hydrocarbures - Fin du chantier avant les fêtes de Pâques
  • Actu-brèves
  • Visite du Président Macron à Madagascar - L’Opposition malgache se couvre de ridicule
  • Projets stratégiques - Le Japon injecte plus de 65 milliards d’ariary à Madagascar

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

A bout portant

AutoDiff